Nombre d'or et règle des tiers - cours composition
Le placement d’un sujet sur une photo doit obéir à la règle du nombre d’or. Cette règle d’or a été définie à l’origine par un architecte romain afin d’établir une division inégale et dissymétrique des espaces qui paraîtrait très agréable et esthétique pour l’œil humain. La règle dit que le rapport entre la plus petite et la plus grande partie de l’image doit être équivalente au rapport entre la plus grande partie et le tout. Mathématiquement parlant, 1.618 représente cette proportion idéale. Concrètement, les formats correspondant à la règle du nombre d’or sont par exemple : 13 x 21 cm, 18 x 30 cm, 24 x 39 cm soit des formats proches des standards de la photographie... Plus intéressant encore, on s’est servi de ce nombre d’or pour établir des lignes imaginaires qui découpent l’image en trois parties horizontales et verticales égales.Ces lignes sont appelées lignes de forces. Il en ressort la règle des tiers, qui doit être utilisée pour son cadrage. Il faut éviter de centrer la photo...
Composition photographique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La composition photographique consiste en l'arrangement délibéré des éléments d'une scène. Le but est de choisir et de disposer les éléments de façon harmonieuse de façon à communiquer des idées et des impressions au lecteur. Les facteurs sur lesquels joue la composition sont : L'artiste décide du point d'attention de son œuvre et compose son travail en fonction. Concrètement, une photographie incorporera rarement un seul élément des règles de compositions ; dans l'immense majorité des cas, c'est la mise à profit de plusieurs des règles qui concourent à un effet. Règles planes[modifier | modifier le code] La composition photographique comporte un certain nombre de règles canoniques purement liées aux partis pris du photographe. Règle des tiers[modifier | modifier le code] Réticule pour visualiser la « règle des tiers ». Simplification de la vue[modifier | modifier le code] Champ de vision[modifier | modifier le code] Perspectives convergentes.
La règle des tiers | PHOTO-PAYSAGE.COM : LE BLOG
Vous souvenez vous de vos dernières vacances, lorsque vous avez demandé à un ami de vous prendre en photo devant ce beau monument ou ce joli paysage ? Vous souvenez vous de la dernière fois où ce couple de touristes japonais ou américains vous a demandé de le photographier devant la Tour Eiffel ou le Mont Saint Michel ? Quel est souvent le point commun à toutes ces photographies ? Le sujet, c’est à dire la ou les personnes photographié(es) est au centre de la photographie, quant au monument devant lequel elles sont photographiées, eh bien on n’en voie plus grand chose… Cette photo sera toujours un sympathique souvenir de vacances, mais bien souvent cette composition très classique donnera un résultat plutôt banal. Maintenant, décalez dans votre viseur les personnes photographiées légèrement sur la droite ou la gauche, afin de laisser apparaître ce fameux monument ou paysage en arrière plan. D’où vient cette règle des tiers ? Quel est le meilleur emplacement pour le sujet ?
Le plan au cinéma, nombre de plans, échelle des plans et plan-séquence
Le plan peut être défini du point de l'opérateur ou du spectateur après intervention du monteur. Pour l'opérateur, il s'agit du fragment de pellicule impressionné entre le moment où le moteur de la caméra est mis en route et celui où il a stoppé. Mais le plan tourné peut être fractionné au montage, coupé aux ciseaux et la première partie collée avec un autre plan, lui-même collé avec la partie suivante du premier plan tourné. On pourra aussi dire que le plan est le morceau de pellicule, sélectionné au montage, ayant défilé de façon ininterrompue dans la caméra, entre le déclenchement du moteur et son arrêt ou Le plan est le morceau de film tourné sans interruption et sélectionné au montage entre deux raccords. L'analyse du plan suit habituellement celle du cadre et précède celle du montage. Les premiers films du cinéma ne comportent qu'un plan, un plan de trois secondes pour Le salut de Dickson (Laurie Dickson, 1891) ou de cinquante secondes pour les "vues" des films lumières.
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