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"La science n'est nullement réservée à quelques esprits supérieurement doués" Albert Jacquard

"La science n'est nullement réservée à quelques esprits supérieurement doués" Albert Jacquard
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La technologie est-elle toujours la solution ? (2/2) : le risque du solutionnisme Dans une récente tribune pour le New York Times, l’essayiste et chercheur Evgeny Morozov (@evgenymorozov) expliquait assez clairement ce qu’il définit comme le « solutionnisme », qui est le second concept au coeur de la critique du livre qu’il vient de publier Pour tout sauver, cliquez-là. L’actualité apporte chaque jour son lot de nouveaux services en ligne, tous plus indispensables les uns que les autres, comme LivesOn, le service qui vous propose une vie sociale après la mort, en vous permettant de continuer à twitter après votre mort, grâce à l’analyse des tweets que vous avez publiés jusque-là, via un algorithme capable de prolonger vos goûts et votre syntaxe en les greffant à l’actualité. Ce service (qui semble être une parodie) « met en évidence l’idéologie dominante de la Silicon Valley aujourd’hui » estime Morozov : « ce qui doit pouvoir être perturbé doit l’être, même la mort ». La technologie veut tout transformer, tout socialiser Même l’ennui pourrait bien disparaître demain.

Site d'information français d'actualités indépendant et participatif en ligne | Mediapart Numérique : cette empreinte écologique que les consommateurs ont bien du mal à voir Envoyer un mail, transférer ou répondre à un message... Autant de banals clics qui génèrent pourtant une quantité non négligeable d’émissions de CO2. L’envoi de courrier électronique dans une entreprise de 100 personnes équivaut à quatorze allers-retours Paris – New York (13,6 tonnes de CO2) chaque année. Quant aux requêtes Internet, via un moteur de recherche, elles représentent en moyenne 9,9 kg de CO2 par an et par internaute. « On estime qu’un data center moyen consomme autour de quatre mégawatts par heure, ce qui équivaut environ à la consommation de 3 000 foyers américains », remarquent les auteurs de La face cachée du numérique [2]. Réduire la part des énergies fossiles Greenpeace, qui fait partie des rares organisations qui travaillent sur l’impact environnemental des technologies de l’information et de la communication (ou TIC) [3], a rappelé à leurs responsabilités les géants du secteur : Apple, Microsoft, Google, Facebook et Amazon. Des calculs de consommation difficiles

Piratebox, ou comment échapper au Big Brother de l'Internet Partager anonymement des photos ou des documents lors d’une rencontre ou d’une mobilisation, mettre à disposition de tous des ebooks, des films ou de la musique : c’est ce que permettent entre autres les piratebox. Cet outil crée un réseau informatique local accessible en wifi, totalement anonyme et gratuit. Tout le monde peut s’y connecter avec un ordinateur ou un smartphone, pour télécharger des documents, en ajouter ou échanger par chat. Comme pour notre alimentation, les circuits courts ont de beaux jours devant eux ! Et si lors d’un prochain évènement, manifestation ou meeting, contre l’austérité ou l’oligarchie des « 1% », en plus des habituels appels à mobilisation et textes plus ou moins subversifs qui encombrent poches et sacoches des participants, les organisateurs proposaient une alternative ? Un outil, une philosophie, un état d’esprit Une piratebox prend généralement la forme d’un petit boitier (voir photo). La force de ces initiatives « libres » ? Mathieu Lapprand

Back to Light – Quand un artiste utilise le potentiel électrique des fruits et des arbres Skip to content ufunk ufunk La Sélectiondu Week-End [74 images] La Sélection du Week-End n°230 Toutes les Sélections du Week-End Featured Quand les super-héros donnaient la fessée aux femmes L’incroyable plage de verre de Ussuri Bay Prendre des photos de couple quand vous êtes célibataire Les lieux de travail des séries cultes recréés en 3D Quand les personnages cultes manquent de sommeil Made in China – Des sculptures satiriques contre la surconsommation Hater – Le Tinder pour trouver ceux qui détestent les mêmes choses que vous Une simple goutte d’eau de mer agrandie 25 fois Les vidéos bonus 50 Years of Freeskiing – L’évolution du ski freestyle vue par Red Bull Tu pensais qu’c’tait ça que c’tait Toutes les vidéos Un autre article ? Le Bullshit Bingo des tendances marketing 2014

Birdeo | Recrutement européen en CDI et Freelance, spécialiste du Développement DurableBirdeo | Recrutement européen en CDI et Freelance, spécialiste du Développement Durable Classe maternelle, Gennevilliers | Recherche pédagogique guidée par les enfants | ZEP – Plan Violence James Lovelock: 'enjoy life while you can: in 20 years global warming will hit the fan' | Environment In 1965 executives at Shell wanted to know what the world would look like in the year 2000. They consulted a range of experts, who speculated about fusion-powered hovercrafts and "all sorts of fanciful technological stuff". When the oil company asked the scientist James Lovelock, he predicted that the main problem in 2000 would be the environment. "It will be worsening then to such an extent that it will seriously affect their business," he said. "And of course," Lovelock says, with a smile 43 years later, "that's almost exactly what's happened." Lovelock has been dispensing predictions from his one-man laboratory in an old mill in Cornwall since the mid-1960s, the consistent accuracy of which have earned him a reputation as one of Britain's most respected - if maverick - independent scientists. For decades, his advocacy of nuclear power appalled fellow environmentalists - but recently increasing numbers of them have come around to his way of thinking. "Not a bit!

Tempête à l'INRA autour d'un rapport sur l'agriculture biologique Ils sont agronomes, géographes, économistes, sociologues, généticiens ou encore chercheurs en cancérologie. Ils travaillent dans des écoles d’agronomie, des universités ou des instituts reconnus de la recherche française, tels que le CNRS (Centre national de la recherche scientifique), l’INRA (Institut national de la recherche agronomique) et l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale). Ce matin, ils sont cent seize chercheurs à avoir signé en leur nom propre une longue lettre adressée au PDG de l’INRA. Reporterre a pu se la procurer : elle demande le retrait de ce qui était présenté comme une grande synthèse scientifique de l’institut sur l’agriculture biologique. Lettre à télécharger : L’étude contestée est le volume 1 du rapport Vers des agricultures à hautes performances, intitulé Analyse des performances de l’agriculture biologique. "Ce rapport jouit de la légitimité scientifique de l’INRA, il sera repris et cité dans beaucoup de travaux scientifiques.

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