Principaux secteurs d'activité en France
Une récolte de maïs à Épône, près de Paris. Malgré le maintien à un haut niveau de l'agriculture et de l'industrie, l'économie française est aujourd'hui principalement une économie de services. Le secteur tertiaire s'autonomise peu à peu et devient le principal moteur de la croissance économique du pays[1]. Agriculture et agroalimentaire[modifier | modifier le code] Industrie[modifier | modifier le code] Énergie[modifier | modifier le code] Commerce et artisanat[modifier | modifier le code] Depuis les années 1970, le secteur du commerce a été bouleversé par l'irruption de la grande distribution, qui représente les deux tiers des dépenses alimentaires des Français en 2008[j 1]. Malgré la concurrence des entreprises industrielles, l'artisanat de son côté est parvenu à conserver une place importante dans l'économie française[j 1]. Tourisme[modifier | modifier le code] La tour Eiffel à Paris, un des monuments payants les plus visités au monde. Télécoms et Internet[modifier | modifier le code]
L'opération militaire française «Barkhane» traque les groupes terroristes au nord du Mali
VIDÉO - Les hommes de l'opération déployée depuis août 2014 sur cinq pays sont actuellement engagés dans une vaste opération transfrontalière. Trois mille cinq cent hommes, 17 hélicoptères, 200 véhicules blindés, cinq drones: l'opération militaire française «Barkhane» est déployée depuis août 2014 sur cinq pays (Burkina-Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Tchad) avec pour mission de traquer les «groupes armés terroristes» (GAT). Un vrai défi, sur un territoire vaste comme l'Europe. Les djihadistes frappent à Bamako alors que 600 hommes de Barkhane sont engagés jusqu'à dimanche au nord du Mali, dans une vaste opération transfrontalière, appelée «Vignemale» visant à «ratisser» une zone au nord de Kidal et à débusquer d'éventuelles caches d'armes et autres bases logistiques terroristes. À l'incitation de la France, une coopération s'est développée entre les cinq pays sur lequel opère «Barkhane».
Soft power, hard power et smart power : le pouvoir selon Joseph Nye
En Relations Internationales, rien n'exprime mieux le succès d'une théorie que sa reprise par la sphère politique. Au XXIe siècle, seuls deux exemples ont atteint cet état : le choc des civilisations de Samuel Huntington et le soft power de Joseph Nye. Deux théories américaines, reprises par des administrations américaines. Deux théories qui, de même, ont d'abord été commentées dans les cercles internationalistes, avant de s'ouvrir aux sphères politiques et médiatiques. Le soft power comme réponse au déclinisme Joseph Nye, sous-secrétaire d'Etat sous l'administration Carter, puis secrétaire adjoint à la Défense sous celle de Bill Clinton, avance la notion de soft power dès 1990 dans son ouvrage Bound to Lead. Ce basculement de la notion de puissance est rendu possible grâce au concept même de soft power. Time to get smart ? Avec son dernier ouvrage, The Future of Power, Joseph Nye ne révolutionne pas sa réflexion sur le pouvoir. Vers la fin des hégémonies
Géopolitique
La géopolitique est une discipline à l‘intersection de la géographie, des sciences politiques et des sciences militaires, qui traite des relations entre pouvoir et territoire, dans une perspective polémo-géographique et dans des contextes où l’étude porte sur des affrontements antagonistes , réels ou potentiels. Avec une approche des problèmes essentiellement fondée sur la dialectique, elle s’attache à l’analyse de la répartition des ressources et à leur effet sur les relations entre entités politiques. Rosière (2003) la définit assez justement comme une discipline spécialisée dans « l’étude de l’espace considéré comme un enjeu ». Le terme « géopolitique » est apparu au début d’un 20ème siècle (Kjellen, 1905) tourmenté par des conflits d’une ampleur inégalée, mais aussi touché par la généralisation de la forme démocratique et marqué par la mise en place d’un nouvel équilibre politique et économique mondial. Toutefois, ce positionnement n’a pas toujours eu précisément ces contours.
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