Comprendre Facebook (2/3) : Facebook, technologie relationnelle La caractéristique principale du web social, dont Facebook est l’emblème, est de lier les activités des gens sur internet. Facebook n’est pas un trombinoscope ou un annuaire comme on l’entend souvent, car s’il n’était que cela, il ne permettrait pas d’action, autre que la présentation de profils. Les profils ne sont qu’une porte d’entrée : c’est l’activité communicationnelle qui fait média. En ce sens, il est bien un « média social », même si nous avons tous du mal à définir ce que c’est, comme le rapportait très justement Nicolas Vanbremeersch. Qu’est-ce qu’un média social ? Pour comprendre ce qu’est un média social, il faut en revenir à ce qu’est un média, « un support de diffusion massive de l’information ». « Les médias sociaux sont des médias pour l’interaction sociale », explique la version anglaise de la définition de Wikipédia : « C’est l’usage de technologies web ou mobile pour transformer les communications en dialogue interactif ». La précision est d’importance.
Les limites d’âge n’aident pas parents et enfants à comprendre les réseaux sociaux Par Hubert Guillaud le 04/11/11 | 2 commentaires | 2,575 lectures | Impression Aux Etats-Unis, l’âge légal pour rejoindre les sites sociaux est de 13 ans, selon le Children Online Privacy Protection Act (Coppa) : une mesure destinée à aider les parents à protéger leurs enfants des risques des réseaux sociaux. Ce qui n’empêche pas beaucoup d’enfants de s’inscrire sur les sites sociaux avant l’âge légal, assez souvent avec l’accord explicite de leurs parents d’ailleurs. Ce qui a donné l’idée à Eszter Hargittai, Jaso Schultz, John Palfrey et danah boyd de commettre une nouvelle étude : “Pourquoi les parents aident-ils leurs enfants à mentir à propos de leur âge sur Facebook, ou les conséquences inattendues de la Coppa”. Face à ce détournement massif, la question est de savoir si la Coppa aide à responsabiliser les parents et les enfants. Pourtant, rappellent les chercheurs, les parents souhaitent des conseils et des recommandations pour les aider à prendre des décisions éclairées.
Comprendre Facebook (1/3) : Le rôle social du bavardage On le sait depuis longtemps. Accéder à un service, ne signifie par pour autant savoir l’utiliser, le comprendre, ni même le maîtriser suffisamment pour être capable d’innover, de créer avec. Les outils numériques sont familiers de ces cloisonnements. Pas seulement, les dangers de son utilisation comme aiment à nous le répéter les grands médias de manière souvent simpliste ou certains experts avec plus de finesse (je vous renvoie au livre de notre collègue Jean-Marc Manach La vie privée un problème de vieux cons pour mieux comprendre la problématique de la vie privée à l’heure des réseaux sociaux, qui ne sera pas le sujet de cette série), mais plus encore le potentiel créatif que l’outil libère, son fonctionnement intrinsèque. Comprendre les médias sociaux et leur fonctionnement social et psychologique comme technique, tel est l’enjeu de ce dossier. Apparemment, Facebook est un babillage chronophage et décérébrant Soit. La fonction phatique de l’internet De l’importance sociale du bavardage
Marc L. Genèse d'un buzz médiatique Mis en ligne le mardi 28 avril 2009 ; mis à jour le samedi 16 mai 2009. Octobre 2008. Nous cherchons à contacter un universitaire britannique pour publier ses photos sur des murs peints à Téhéran. En quelques minutes de recherches, avant même de trouver son mail, nous connaissions l’âge et le prénom de son fils et ce qu’il avait fait lors de ses dernières vacances. Novembre 2008. 10 décembre 2008. Je lui réponds notamment (on se tutoie depuis l’accroche ironique de mon article, « je me permets de te tutoyer [...] je te connais très bien ») : « Pour ne rien te cacher, on s’est posé la question de savoir s’il fallait anonymiser complètement ou pas du tout le texte dans la version papier : on a fait le choix d’un terme intermédiaire, non pas pour appâter les lecteurs, mais pour montrer qu’il s’agissait de quelque chose de véridique (moyennant, de leur part, des recherches). Avec le recul, il paraît évident que nous avons fait une erreur. Mi-décembre 2008. 2 janvier 2009. 7 janvier 2009.
Comprendre les interfaces de programmation Par Hubert Guillaud le 24/06/11 | 6 commentaires | 5,907 lectures | Impression Les interfaces de programmation permettent à des services de s’échanger des données entre eux. Elles peuvent permettre à un site web d’utiliser le moteur de reconnaissance d’image d’une autre société pour l’intégrer à son service de stockage d’image par exemple ou à une librairie en ligne de publier sur votre profil Facebook ou Twitter le livre que vous venez de lui acheter. InternetActu.net : Qu’est-ce qu’une API, concrètement ? Karl Dubost : Une API est une interface. Selon les services Web, les API offrent un certain nombre de fonctionnalités. Image : le site des développeurs de Facebook. Johann Daigremont : Une API permet à deux programmes de s’échanger des données. L’API décrit des fonctions et des méthodes pour accéder à certaines propriétés de certains sites comme Facebook, Twitter, MySpace… Ces interfaces de programmation permettent à un développeur d’interagir avec le système. Image : OpenSocial.
Internet : Un mois d’utilisation ramené à une heure France, 5ième pays Facebook – chiffres septembre 2010 | digiCulture Montée en puissance des pays émergeants En Europe, on note la très forte progression de la Pologne (qui partait il est vrai de très bas), mais c’est surtout la monté des pays asiatiques sue les 12 derniers mois qui marque la tendance. France, cinquiéme pays Facebook Après les US, UK, Indonésie et Turquie. Focus Pays Les dernières statistiques d’utilisation Facebook par pays montrent quelques changements intéressants, en particulier la croissance en Asie avec des augmentations extraordinaires enregistrés dans des endroits comme l’Indonésie, les Philippines, Taiwan et la Malaisie.
50 outils et astuces pour mieux utiliser google plus Google plus occupe le devant de la scène depuis une semaine. Tout le monde ne parle plus que de cela. Chacun y va de son analyse, de son conseil, de ses louanges. Il faut dire que pour tout ceux qui sont réfractaires à Facebook, il n’existait jusqu’à maintenant aucune alternative crédible. C’est désormais le cas. Edit : aujourd’hui marquant l’ouverture de Google Plus au grand public accompagné de nombreuses nouveautés, nous vous proposons une mise à jour de ce billet vous présentant 50 outils pour mieux utiliser Google plus. Transférer ses photos de Facebook à Google plus avec Move2picasa Pas envie de ré-uploader toutes vos photos sur Google plus alors qu’elles sont déjà sur Facebook ? Rapatrier toutes ses données Google avec Google takeout Cette astuce est valable pour Google + mais pas seulement. Importer ses contacts Facebook dans Google plus Pourquoi repartir de zéro quand on a déjà rassemblé un vaste réseau sur Facebook ? Les raccourcis clavier Utiliser les cercles d’amis sur Facebook
Le Social Reader de Facebook pour les nuls n’oubliez pas de me suivre :@mattintouch sur twitter ou de me contacter pour plus d’informations (matt(at)stefani.fr) Depuis quelques mois, nous voyons apparaître ce type d’informations dans notre flux d’actualité Facebook : Ce sont des notifications de lectures de nos amis, des articles que nous aimerons probablement également si nous partageons les mêmes centres d’intérêts (ce qui est, faut-il le dire, assez fréquent). Ces notifications utilisent la fonction “read” de Facebook, sortie en Septembre 2011. Cette fonction « lire » fait partie des Facebook Actions ou “Gestures”, qui permettent d’utiliser d’autres verbes que le traditionnel « machin aime truc ». Un grand nombre de médias nationaux vont sortir cette fonctionnalité dans les prochains jours et les prochaines semaines. comment ça marche? Pour qu’un article apparaisse dans ce flux, il faut quelques conditions préalables : Quel est l’intérêt? Pour un média, le principal intérêt est la dissémination de contenu. 1- L’intégration
Le comportement des internautes CSP++ et Hauts Revenus Le comportement des internautes Hauts Revenus Médiamétrie//NetRatings livre des résultats exclusifs issus de sa nouvelle étude « Cibles+ 2009 » destinée aux agences, régies, éditeurs et annonceurs. Elle croise les usages des internautes et leur comportement offline – leur mode de consommation, leurs équipements, leurs habitudes d’achats, leur comportement par rapport aux loisirs,…- afin de mieux connaître certaines catégories d’entre eux. A l’occasion de la sortie de cette nouvelle vague Cibles+, Médiamétrie//NetRatings propose un focus sur les internautes « Premium » (typologie du public définie par AudiPresse dans le cadre de son étude « AudiPresse Premium ») : les internautes CSP++ (cadres et dirigeants, professions libérales, artisans et indépendants)et / ou vivant au sein d’un foyer à Hauts Revenus (c’est-à-dire supérieur ou égal à 6250€ mensuels nets). Près d’un quart des internautes sont issus de catégories socioprofessionnelles élevées … Ou vivent au sein d’un foyer à hauts revenus.
? Bible Facebook Ces derniers mois, nous avons souvent été confrontés à des clients et partenaires « pas tout à fait à jour » sur Facebook. Les questions fusent, des plus évidentes au premier abord (différence entre un groupe et une page, avantages, etc.) aux plus avancées, comment rendre une page plus personnelle, comment l’optimiser ?… Je vous propose donc une petite bible : bases, pour mieux appréhender l’environnement, et conseils. Nous nous efforcerons de mettre à jour régulièrement cet article. Audience Aujourd’hui, 13 avril 2010, Facebook compte plus de 17 millions de membres en France, soit plus d’un français sur 4… Pour 21 millions de visiteurs uniques en décembre 2009 (source Médiametrie). Avec plus de 340 millions de visiteurs uniques, selon Comscore, Facebook est devenu le quatrième site le plus visité au monde, derrière Google (844 millions de visiteurs uniques), Microsoft (691 millions de visiteurs uniques) et Yahoo! A noter : Composition socio-démographique Un profil Facebook ?
Les propos tenus sur Facebook ne sont pas publics - High-Tech La Cour de cassation a clarifié un flou juridique. Les propos que chacun publie sur des réseaux sociaux ne sont pas des propos tenus en public et ne sont donc pas susceptibles de faire l'objet de poursuites pour diffamation ou injure publiques. Seule condition émise par le Cour : que les termes employés ne soient accessibles qu'à des personnes agréées par le titulaire du compte et fort peu nombreuses. Etant peu nombreux et agréés entre eux, auteur et lecteurs se trouvent liés par une "communauté d'intérêt", selon l'expression juridique. Ce qu'ils échangent n'est donc pas "public". Le juge de proximité, compétent dans cette affaire La diffamation ou l'injure non publiques, sont en effet punies comme une "contravention de 1ère classe", soit une amende de 38 euros.
Les prochaines fonctionnalités prévues par Facebook pour le Community Manager Cette semaine, je souhaiterais faire un petit récapitulatif des prochaines fonctionnalités que Facebook compte apporter pour ces prochaines semaines. Du simple bouton à la chasse aux faux likes, le premier réseau social de France nous prépare quelques nouveautés assez intéressantes. 1) La chasse aux faux likes Facebook a récemment annoncé qu’il allait très bientôt procéder à une chasse aux faux « J’aime » des Fans Page. Concrètement, cela signifie que tous les likes obtenus par des moyens frauduleux tels que l’achat de fans seront purement et simplement supprimés, ce qui peut entraîner une perte numéraire significative pour celles et ceux qui ont eu recours à ce procédé peu scrupuleux et surtout peu social. Le Community Manager a pour objectif de créer une communauté d’internautes la plus saine possible, et ce n’est pas en achetant des clics que vous pourrez profiter d’une amélioration de votre notoriété. Plus précisément, voici l’avis de Facebook (traduit) sur le sujet :