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Comprendre Facebook (3/3) : L’internet des API, le web des applications

Comprendre Facebook (3/3) : L’internet des API, le web des applications
Pour les 500 millions d’utilisateurs de Facebook il semble n’y avoir qu’une manière d’accéder à Facebook : celle de se connecter sur le réseau social pour consulter son mur d’activité (le « NewsFeed »). Pourtant, via Facebook Connect, on a déjà vu qu’il y en avait une autre, distante, permettant d’interagir avec les services de Facebook depuis d’autres sites. Il y en a encore une autre, réservée aux services informatiques des sites qui utilisent Facebook. Cet autre accès passe par les API, les interfaces de programmation, c’est-à-dire des jeux de données ouverts qui permettent aux développeurs d’utiliser les services proposés par Facebook et qui sont l’une des clefs du fonctionnement du web 2.0. C’est bien en tout cas dans les interfaces de programmation que se concoctent le web d’aujourd’hui et le web de demain : dans les négociations permettant d’accéder aux services des uns et des autres, dans les mashups de services où la bonne alchimie créera le bon service. Hubert Guillaud Related:  fonctionnement

Comprendre Facebook (2/3) : Facebook, technologie relationnelle La caractéristique principale du web social, dont Facebook est l’emblème, est de lier les activités des gens sur internet. Facebook n’est pas un trombinoscope ou un annuaire comme on l’entend souvent, car s’il n’était que cela, il ne permettrait pas d’action, autre que la présentation de profils. Les profils ne sont qu’une porte d’entrée : c’est l’activité communicationnelle qui fait média. En ce sens, il est bien un « média social », même si nous avons tous du mal à définir ce que c’est, comme le rapportait très justement Nicolas Vanbremeersch. Qu’est-ce qu’un média social ? Pour comprendre ce qu’est un média social, il faut en revenir à ce qu’est un média, « un support de diffusion massive de l’information ». « Les médias sociaux sont des médias pour l’interaction sociale », explique la version anglaise de la définition de Wikipédia : « C’est l’usage de technologies web ou mobile pour transformer les communications en dialogue interactif ». La précision est d’importance.

Comprendre les interfaces de programmation Par Hubert Guillaud le 24/06/11 | 6 commentaires | 5,907 lectures | Impression Les interfaces de programmation permettent à des services de s’échanger des données entre eux. Elles peuvent permettre à un site web d’utiliser le moteur de reconnaissance d’image d’une autre société pour l’intégrer à son service de stockage d’image par exemple ou à une librairie en ligne de publier sur votre profil Facebook ou Twitter le livre que vous venez de lui acheter. InternetActu.net : Qu’est-ce qu’une API, concrètement ? Karl Dubost : Une API est une interface. Selon les services Web, les API offrent un certain nombre de fonctionnalités. Image : le site des développeurs de Facebook. Johann Daigremont : Une API permet à deux programmes de s’échanger des données. L’API décrit des fonctions et des méthodes pour accéder à certaines propriétés de certains sites comme Facebook, Twitter, MySpace… Ces interfaces de programmation permettent à un développeur d’interagir avec le système. Image : OpenSocial.

Facebook s'apprête à lancer Happening Now Cet article a été publié il y a 2 ans 9 mois 22 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. La guerre entre Facebook et Twitter fait rage. Si Facebook bénéficie d’une audience bien plus large que son concurrent avec un nombre de comptes avoisinant les 700 millions, Twitter a su se développer en se concentrant sur ses forces, et principalement son instantanéité. Avec Happening Now, Facebook disposerait d’une colonne (de type sidebar) supplémentaire sur son site, qui permettrait de voir en temps réel les nouvelles publications et “like” de vos contacts, sans avoir à réactualiser votre page. Le service est actuellement en test auprès d’une minorité de membres selon Facebook. D’après la capture d’écran ci-dessus, l’outil mérite d’être amélioré puisque l’impression de doublon avec le fil d’actualité (news feed) fait perdre de l’espace disponible, ce qui nuit à la cohérence de l’information. Quid de la publicité ?

Comprendre Facebook (1/3) : Le rôle social du bavardage On le sait depuis longtemps. Accéder à un service, ne signifie par pour autant savoir l’utiliser, le comprendre, ni même le maîtriser suffisamment pour être capable d’innover, de créer avec. Les outils numériques sont familiers de ces cloisonnements. Pas seulement, les dangers de son utilisation comme aiment à nous le répéter les grands médias de manière souvent simpliste ou certains experts avec plus de finesse (je vous renvoie au livre de notre collègue Jean-Marc Manach La vie privée un problème de vieux cons pour mieux comprendre la problématique de la vie privée à l’heure des réseaux sociaux, qui ne sera pas le sujet de cette série), mais plus encore le potentiel créatif que l’outil libère, son fonctionnement intrinsèque. Comprendre les médias sociaux et leur fonctionnement social et psychologique comme technique, tel est l’enjeu de ce dossier. Apparemment, Facebook est un babillage chronophage et décérébrant Soit. La fonction phatique de l’internet De l’importance sociale du bavardage

Le Social Reader de Facebook pour les nuls n’oubliez pas de me suivre :@mattintouch sur twitter ou de me contacter pour plus d’informations (matt(at)stefani.fr) Depuis quelques mois, nous voyons apparaître ce type d’informations dans notre flux d’actualité Facebook : Ce sont des notifications de lectures de nos amis, des articles que nous aimerons probablement également si nous partageons les mêmes centres d’intérêts (ce qui est, faut-il le dire, assez fréquent). Ces notifications utilisent la fonction “read” de Facebook, sortie en Septembre 2011. Cette fonction « lire » fait partie des Facebook Actions ou “Gestures”, qui permettent d’utiliser d’autres verbes que le traditionnel « machin aime truc ». Un grand nombre de médias nationaux vont sortir cette fonctionnalité dans les prochains jours et les prochaines semaines. comment ça marche? Pour qu’un article apparaisse dans ce flux, il faut quelques conditions préalables : Quel est l’intérêt? Pour un média, le principal intérêt est la dissémination de contenu. 1- L’intégration

Flash Eco : TF1 et Facebook s'associent TF1 Vision, le service de vidéo à la demande (VOD) du groupe TF1, et Facebook ont lancé ce soir pour la première fois en Europe un nouveau mode de distribution commerciale de programmes (spectacles et films) s'appuyant sur la convivialité du réseau social. Baptisée " Social VOD ", cette expérimentation lancée au même moment dans cinq pays (France, Belgique, Suisse, Luxembourg et Canada) propose aux utilisateurs de Facebook de louer un programme, d'inviter leurs amis à faire de même, ou de le leur offrir tout en créant des discussions sur l'oeuvre visionnée. Le premier programme proposé par ce nouveau mode de consommation présenté comme révolutionnaire et expérimental par TF1 Vision, est le spectacle de l'humoriste Florence Foresti " Fucking Mother " disponible pour 3,99 euros pour 48h de visionnage. " Nous nous appuyons sur la dimension sociale pour proposer une expérience de vidéo à la demande enrichie par les membres du réseau social eux-mêmes.

Quel est le bon timing pour susciter l'engouement sur Facebook ? Les interactions suivant une publication d'une marque sur son mur se produisent surtout dans les premières minutes. L'heure de la journée à laquelle une marque publie un contenu sur Facebook a une grande importance sur la façon dont il sera reçu, affirme Dennis Yu, patron de l'agence BlitzLocal, sur le blog spécialisé "All Facebook". Raison pour laquelle les marques américaines tendent à s'exprimer en milieu de la journée, qui présente la meilleure façon de combiner les audiences des côtes Est ou Ouest du pays. Plus précisément, le spécialiste s'est rendu compte que les interactions des fans suite à une mise à jour du statut se produisent pour la plupart dans les toutes premières minutes. Une expérimentation avec la marque de mode grande taille Lane Bryant montre qu'une mise à jour de son statut suscité 41 commentaires pour 16 likes en une minute, 192 commentaires et 55 likes en 11 minutes et enfin 290 commentaires et 80 likes en 28 minutes.

Les prochaines fonctionnalités prévues par Facebook pour le Community Manager Cette semaine, je souhaiterais faire un petit récapitulatif des prochaines fonctionnalités que Facebook compte apporter pour ces prochaines semaines. Du simple bouton à la chasse aux faux likes, le premier réseau social de France nous prépare quelques nouveautés assez intéressantes. 1) La chasse aux faux likes Facebook a récemment annoncé qu’il allait très bientôt procéder à une chasse aux faux « J’aime » des Fans Page. Concrètement, cela signifie que tous les likes obtenus par des moyens frauduleux tels que l’achat de fans seront purement et simplement supprimés, ce qui peut entraîner une perte numéraire significative pour celles et ceux qui ont eu recours à ce procédé peu scrupuleux et surtout peu social. Le Community Manager a pour objectif de créer une communauté d’internautes la plus saine possible, et ce n’est pas en achetant des clics que vous pourrez profiter d’une amélioration de votre notoriété. Plus précisément, voici l’avis de Facebook (traduit) sur le sujet :

Facebook, le début d'une nouvelle bulle Internet? Combien vaut Facebook? C’est la question qui est sur toutes les lèvres à Wall Street et dans la Silicon Valley. Un récent investissement de 450 millions de dollars (330 millions d’euros) de Goldman Sachs a récemment fait grimper l’estimation de la valeur du réseau social à 50 milliards de dollars (36,7 milliards d’euros). Mais selon un sondage réalisé par Bloomberg, les investisseurs ne partagent pas l’optimisme de la banque. Plus de la moitié des investisseurs interrogés interprètent la valorisation actuelle du site de Mark Zuckerberg comme «le début d’une nouvelle bulle dangereuse», et comme un résultat de l’inquiétude du secteur financier qui ne veut pas passer à côté du «prochain Google». Mardi 11 janvier, un analyste de Wedbush estimait que si Facebook était coté en Bourse aujourd’hui (ce qui n'est toujours pas le cas), sa valeur serait plus proche de 100 milliards de dollars. Photo: Money! publicité Devenez fan sur , suivez-nous sur

Vos boutons "j'aime" ne servent à rien! Cet article a été publié il y a 2 ans 9 mois 30 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Vous voulez vendre Facebook à votre patron mais il vous pose LA question : Quel est le Retour sur Investissement ? Après être allé aux conférences de Facebook, vous décidez de mettre en place des boutons « like » sur votre site et ainsi d’amener du trafic directement depuis le 1er réseau social mondial. Malheureusement après quelques semaines vous remarquez que les boutons like de votre site ne ramènent aucun trafic (Zut alors !). Et là je me dis « Et si vous saviez ! Saviez-vous qu’il ne suffit pas d’intégrer un bouton like pour qu’il soit visible ? La raison : L’open graph tags de Facebook Il existe 2 étapes dans l’implémentation des boutons like, mais souvent, sans le savoir ou juste par manque de courage, les entreprises ne s’occupent que de la première partie et oublient l’étape la plus importante. La différence ?

Les neuf travaux de facebook XEnvoyer cet article par e-mail Les neuf travaux de facebook Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Fermer Business model Vous avez dit rentable ? Le champion du social sur le Net vit des moments délicats. Cela devait être le point d’orgue de son époustouflante success story. Quel désenchantement ! “Il y a quelques mois, Facebook était encensé pour ses 100 milliards de dollars de valorisation en Bourse. Un champion de l’audience Ce violent revers boursier fait glisser le groupe dans une sérieuse zone de turbulence, certes. Difficile en effet de péricliter quand on propose un service universellement recherché. Précoce, Facebook a identifié un nouvel usage sur Internet : la mise en relation d’individus qui en fait un outil social de première grandeur. 1. Il y a urgence actuellement. 2. De nouveaux formats sont présentés. Pour les agences, la plateforme est légitime pour la publicité à la performance – les liens sponsorisés -, comme sur le branding, les campagnes de marque. 3. 4. 5. 6.

Le jour où Facebook a perdu ma confiance - REUTERS/Michael Dalder - Vous vous souvenez de toutes les conversations que vous partagiez avec votre meilleur pote en message Facebook, dans lesquels vous disiez «putain (parce que vous êtes vulgaire en message privé), putain, si quelqu’un tombait sur la conversation qu’on est en train d’avoir!»? Hé bien voilà, tout le monde a pu ou peut encore tomber sur cette conversation, ce lundi. A moins qu’il ne s’agisse que d’une hallucination collective, comme le défend Facebook. Que l’on ait cru que ces messages avaient été privés, alors qu'ils avaient toujours été sur notre Timeline. N’empêche, quand mon voisin d'en face, à Slate a dit «trop marrant, il y a un bug Facebook, les messages privés des gens sont publiés sur leur timeline», puis quand il a ajouté: «ah trop marrant! publicité Dieu merci, mes parents ne sont pas sur Facebook. Alors oui, il est possible que j’ai mal paramétré mon accès Facebook, ou que j’ai pris mon wall pour mon inbox. Coming-out sur Facebook? Le coupable idéal...

Facebook et les widgets sociaux Je vous parlais il y a quelques jours de la stratégie de socialisation d’Internet que Facebook a su mettre en place : Facebook veut socialiser le web. Il faut dire que d’autres géants comme Google ont les dents aiguisés : Un pas de plus de Google vers le social search avec “+1 button”. Cela nous paraît être une stratégie mise en place depuis déjà quelques années par Facebook. Il est vrai qu’entre Facebook Connect et les premiers widgets autour des pages Fan, Facebook a su comprendre avant les autres l’importance du graphe social et le fait de déporter ce graphe social sur Internet. Les deux charnières sont à la fois l’année 2009 qui marque ce tournant de l’ouverture de Facebook vers les sites externes, mais aussi il y a un an avec le lancement d’un ensemble de plugins sociaux intégrables sur n’importe quel site Internet dont le fameur bouton “Like”. Pour retracer tout cet historique, je vous propose cette infographie que j’ai découverte dernièrement. Laissez un commentaire

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