background preloader

Comment détruire une puce RFID ?

Comment détruire une puce RFID ?
Les puces RFID (Radio Frequency IDentification) sont des puces électroniques constituée d'une antenne et d'un microprocesseur. On peut y stocker pas mal d'informations, et contrairement aux cartes à puces (carte bancaire, téléphonique...etc), on peut lire ces informations et les mettre à jour sans inserer la puce dans un lecteur. Tout passe par l'antenne sur des fréquences plus ou moins haute. Actuellement, les puces RFID sont utilisées pour un tas de choses comme l'identification d'animaux, les controles d'acces par badge, l'ouverture de serrures (sur les voitures par exemple), la traçabilité des livres dans les bibliothèques, pour l'acheminement des marchandises, pour les péages automatiques et même la carte Navigo. C'est donc l'avenir en matière de traçabilité. Une puce RFID dans toute sa splendeur Dans le futur, elles seront implantées dans les produits au supermarché, remplaçant ainsi les codes barres traditionnels. Facile, grâce au RFID Zapper ! A bon entendeur, salut.

Des élèves sous surveillance électronique Recevez nos newsletters : Des lycées américains du Texas imposent un badge de géolocalisation, pour mesurer l’assuidité en cours. Une lycéenne qui refusait d’être tracée vient d’être exclue et la polémique fait rage. Plus de cinq mois déjà qu’Andrea Hernandez se bat contre son lycée John Jay à San Antonio (Texas). Mis en place depuis l’été dernier, il comprend la photo et le nom de chaque élève, un code-barre lié au numéro de Sécurité sociale, ainsi qu’une puce RFID (radio-identification). La jeune femme a immédiatement ressenti ce badge comme une intrusion dans sa vie privée, notamment religieuse. L’histoire paraît loufoque, mais elle met en lumière un système déjà très controversé aux États-Unis . Les responsables de l’établissement texan ont déclaré que ce système devait permettre d’améliorer la sécurité. Le projet a nécessité 400.000 euros d’investissement et 100.000 pour chaque année suivante. L’Institut Rutherford de défense des libertés a dénoncé cette politique.

Les virements par PC banking massivement piratés Belgique Depuis plusieurs jours, des dizaines de clients ont vu leurs comptes fondre BRUXELLES Grande inquiétude dans nos banques du pays. Des quatre grandes banques belges, seule ING confirme l’intrusion, tout en minimisant les faits. La Federal Computer Crime Unit (FFCU) ne confirme pas l’invasion actuelle, ni le fait qu’elle soit commune aux quatre grandes banques belges. Plus largement, “nous ne sommes pas dans le déni complet. Nous savons, de source sûre, que six clients ont été illégalement débités le samedi 13 août, plusieurs dizaines ces dix derniers jours. Hier matin, BNP Paribas Fortis a d’ailleurs fermé son application home-banking pour ne la rouvrir qu’en début d’après-midi. La banque franco-belge confirme néanmoins que les tentatives de fraude sur Internet via PC banking arrivent parfois. ING, par contre, reconnaît avoir rencontré quelques soucis la semaine passée. Les comptes de ces usagers ont-ils été débités ? Nul ne semble savoir d’où vient ce virus.

Le superordinateur japonais K au-delà des 10 pétaflops K, le superordinateur fabriqué par Fujitsu, détenait déjà le record du monde... mais il n'était pas terminé ! Avec l'adjonction de 19.584 processeurs, K vient de faire mieux. Le supercalculateur K, le plus puissant du monde depuis le mois de juin, a pulvérisé ses propres performances, dépassant les 10 pétaflops (millions de milliards d'opérations par seconde), selon ses créateurs japonais, le groupe informatique Fujitsu et l'institut de recherche Riken. K avait pris la première place du 37e classement mondial Top 500, lors de la conférence ISC'11 de juin 2011, à Hambourg, en Allemagne. L'ordinateur géant embarquait alors 68.544 processeurs. Encore un peu juste. En août, le dernier des 864 ensembles constitutifs de ce gigantesque calculateur a été livré et installé sur le site de Kobe (ouest du Japon), amenant le système à sa configuration finale. L'engin a alors affiché une performance de 10,51 pétaflops, soit 10,51 millions de milliards d'opérations en virgule flottante par seconde.

la caverne de kibiLa Caverne de Kibi Petit retour sur une très joli figurine tirée du 3 ème film Transformers : Dark of The Moon avec Skyhammer Autobot de son état... La très grosse boîte. Skyhammer est un class 2, un Voyager Class autrement dit. En mode robot, le visuel est très sympa. Fixe sur ses jambes haut de 25 centimètres, il est plein de petites astuces comme, par ex, le rotor de l'helicoptère qui lui entoure le poitrail. En mode véhicule, un hélicoptère, donc, après une 1ère transformation d'environ 20 minutes, on a un très bon rendu de la machine. Longueur de l'hélico : 23 centimètres. A noter, sur la dernière vue l'arme du robot qui devient mitrailleuse. Très bonne surprise pour ce robot Mechtech de très bonne qualité.

» A Family’s Fight for Freedom: Lawyers Move to Block RFID Expulsion Alex Jones Preliminary Injunction Sought in School RFID Tracking Badge Case Melissa Melton Infowars.com November 20, 2012 Related: Student Expelled for Refusing Location Tracking RFID Badge A Texas school district has come under legal fire after a student was expelled for failure to comply with the “School Locator Project,” an RFID chip tracking program currently being piloted in a San Antonio middle and high school. John Jay High School sophomore Andrea Hernandez was involuntarily withdrawn after protesting her school’s tracking badge policy for months. In a just-released statement, civil liberties organization The Rutherford Institute, which represents the Hernandez family, has announced it will immediately seek a preliminary injunction against the district to prevent Andrea from being moved to another school. Under the “Smart ID” program, all 4,200 students are forced to wear an ID badge with an RFID tracking chip in it at all times to attend school. “16. “Regimes are formulated in the schools.

Un réseau satellitaire de hackers pour lutter contre la censure Crédit D.R. L'opposition au projet de loi américain Stop Online Piracy Act (SOPA), qui selon certains, menace la liberté en ligne, prend une nouvelle tournure avec un projet de satellites indépendants des gouvernements. Des pirates auraient l'intention de se battre contre la censure sur Internet en mettant en orbite leurs propres satellites de communication et en développant un maillage de stations au sol pour les suivre et communiquer avec eux. L'information est tombée alors que le secteur des technologies marque son opposition au projet de loi SOPA (Stop Online Piracy Act). Selon BBC News, le projet « Hackerspace Global Grid » de mise en orbite d'un premier satellite a été récemment présenté au Chaos Communication Congress qui s'est tenu la semaine dernière à Berlin. Des solutions pour pallier au manque de budget L'espace n'est pas à l'abri des gouvernements Mais le projet n'est pas sans contraintes.

Facebook : la mémoire cachée L'appétit vorace de Facebook pour les données personnelles n'est un secret pour personne. Régulièrement, son estomac numérique gargouille auprès de ses membres pour réclamer son dû. «Donnez-moi votre numéro de mobile, que je puisse renvoyer votre mot de passe en cas d'oubli !» «Expliquez-moi vos opinions politiques, que je puisse mieux cibler mes publicités !» «Dites-moi ce que vous lisez, ce que vous écoutez, ce que vous regardez, ce que vous cuisinez, que vos amis puissent en profiter !» Et la plupart des 800 millions d'inscrits, dociles, jettent leurs gros steaks de vie privée dans la gueule béante du réseau social. Les découvertes du jeune Max Schrems sont effarantes. «Statut : effacé» «Je ne cherche aucun gain financier ou personnel. Dégainant sa directive 95/46/CE qui garantit un tel droit à tout citoyen européen, Max Schrems écrit à Facebook pour réclamer l'accès à l'ensemble des données le concernant, via un formulaire très bien caché sur le site du réseau. «Shadow profiles»

Site personnel de Pierre DAL ZOTTO Alors, comme vous le savez, je suis très orienté en faveur du logiciel libre, et du libre en général. J’en ai déjà d’ailleurs parlé ici : libre vs open source. J’ai aussi aborder les débats philosophique entre privateur et libre. Je soutiens comme je peux Wikimédia, LQDN (mon pixel), FDN ou encore Framasoft. Mais beaucoup parlent bien mieux que moi de cela (Ploum, ou encore Richard M. Stallman). Cependant, je ne suis pas un modèle, oùùùùù non, je ne suis pas un modèle ! Je vais relater dans une suite de billets mon histoire du passage au libre, les différentes étapes, les galères, les succès, idem sur la mise en place d’outils de protection de ma vie privée et celle de ma petite famille… Tout ça, déjà pour aider les « non-full-geek » comme moi n’ayant que très peu de connaissances dans ces machins, en bref des utilisateurs « avertis », et aussi un peu pour m’obliger à passer au libre, comme un engagement entre vous et moi. Lire la suite Ni une ni deux c’est partie. Lire la suite

Related: