Gagarine, vénéré 60 ans après son vol : la Russie célèbre la mémoire de son héros 60 ans après, la légende de Iouri Gagarine reste intacte en Russie. C'était le 12 avril 1961, Iouri Alexeevitch Gagarine décolle et passe 1 h 48 en orbite autour de la terre. Contrairement au gigantisme de sa statue qui surplombe Moscou, le premier homme dans l'espace n'était pas grand. Il mesurait 1,58 mètres, son père était charpentier, sa mère paysanne et le pouvoir soviétique en a fait l'incarnation du héros populaire. Iouri Gagarine était né dans un petit village de l'ouest de la Russie où un musée lui est consacré. Tamara Filatova, nièce de Iouri Gagarine : "Il aimait beaucoup les gens. Anatoly Derbenkov vit dans le village où Gagarine est né. Anatoly Derbenkov, habitant du village de Gagarine : "Juste là, plus haut, le village, c'est grâce à lui qu'il a été construit. Chaque année, le 12 avril, la Russie célèbre en grande pompe la mémoire du plus consensuel de ses héros. Anton Pervuchine, biographe de Iouri Gagarine : "Le vol de Gagarine, c'est notre fierté.
Joseph Almudever Cet article ou cette section traite d’une personne morte récemment(23 mai 2021). Le texte peut changer fréquemment, n’est peut-être pas à jour et peut manquer de recul. N’hésitez pas à participer, en veillant à citer vos sources. Les biographies étant habituellement écrites au présent de narration, merci de ne pas mettre au passé les verbes qui sont actuellement au présent. L'emploi des mots « mort » et « décès » est discuté sur cette page.La dernière modification de cette page a été faite le 27 mai 2021 à 15:17. Biographie[modifier | modifier le code] Il témoigne sur les débuts de son militantisme politique à la La Dépêche du Midi en 2016 : « Ma mère était socialiste et quand la révolte des Asturies a éclaté en 1934, mon père venait me chercher pour que je lise le journal aux ouvriers et que je leur explique. Guerre d'Espagne[modifier | modifier le code] Blessé au front Teruel par un tir de mortier en mai 1938, Almudéver est envoyé à l'arrière. Guérilla[modifier | modifier le code]
George Blake (espion) George Blake dans les années 1950. George Blake, né George Behar le 11 novembre 1922 à Rotterdam et mort le 26 décembre 2020[1] à Moscou, était une taupe du KGB au sein du Secret Intelligence Service (SIS ou MI6)[2]. Démasqué, jugé et condamné en 1961 à quarante-deux ans de détention, il a été emprisonné. Il a réussi à s'enfuir de la prison Wormwood Scrubs en 1966 pour se réfugier en URSS. Il est l'un des agents qui ont miné la confiance des Britanniques dans le SIS pendant des décennies. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] George[3] Behar naît d'une mère néerlandaise protestante et d'un père juif sépharade[4] originaire de l'Empire ottoman, naturalisé britannique, Albert Behar. George Behar devient un porteur de messages de la Résistance intérieure aux Pays-Bas à la suite de l'occupation par les armées du Troisième Reich. Agent britannique[modifier | modifier le code] Il apprend le russe à Cambridge[7]. Après son procès[modifier | modifier le code]
Pierre Semard Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et Jeunesse[modifier | modifier le code] Il passe alors un examen pour entrer aux chemins de fer comme facteur aux écritures. Militant syndical[modifier | modifier le code] À la déclaration de guerre, en 1914, étant père de trois enfants, il est mobilisé sur place. Sa femme atteinte par la grippe espagnole meurt le 3 mars 1919. C'est à partir de 1920 que Pierre Semard commence à jouer un rôle national. Pierre Semard joue alors un rôle de première importance dans la fondation de la CGTU. Lors du Ier congrès de la CGTU, à Saint-Étienne, en juin 1922, il prend la parole comme membre de la tendance Monmousseau, défendant une position centriste : il plaide pour l'adhésion à une Internationale révolutionnaire, jugeant que la CGTU ne peut pas rester isolée dans le monde, mais il refuse fermement la liaison avec le parti communiste et propose que la CGTU entre dans l'ISR pour y défendre son point de vue. Œuvres[modifier | modifier le code]
Léo Figuères Léo Figuères en 1992 à l'Hôtel de Ville de Malakoff Léopold Figuères (dit Léo), né le 27 mars 1918 à Perpignan (Pyrénées-Orientales) et mort le 1er août 2011 à Perpignan (Pyrénées-Orientales), est un homme politique français, grande figure de la Résistance et du Parti communiste français. Biographie[modifier | modifier le code] À 19 ans en 1937 il fonde l’Union de la jeunesse agricole de France (UJAF), il en sera le représentant au Congrès mondial de la Jeunesse pour la Paix qui se tient à New York en août 1938. Parti à l’armée en Corse en 1938, il participe aux activités de résistance dans l’île à partir de 1940. Puis il dirige depuis Lyon entre mai 1941 et septembre 1944, l’ensemble de l’organisation des Jeunesses communistes clandestines pour la zone sud de la France. C’est en 1941 qu’il rencontre sa future compagne, Léa Lamoureux (dit Andrée dans la Résistance). Il meurt le 1er août 2011 à Perpignan[7], à l’âge de 93 ans. Honneurs[modifier | modifier le code]
Waldeck Rochet Biographie[modifier | modifier le code] Origines et formation[modifier | modifier le code] En 1917, il obtient le certificat d'études primaires et va travailler comme ouvrier (les recensements écrivent « domestique ») « jardinier » ou maraîcher pour divers petits patrons des villages environnants, en particulier à Branges, où le recensement de la population de 1926 l'enregistre[8]. C'est dans cette période, avant son service militaire, qu'il adhère aux Jeunesses communistes, en 1923, et au Parti communiste français en 1924. Son service militaire qu'il accomplit en 1926-1927 est émaillé de sanctions à son égard, en raison de son action « antimilitariste » (plus simplement politique) auprès de ses camarades de caserne et lors de ses permissions[9]. Militant et responsable régional[modifier | modifier le code] À son retour de l'armée, selon ses biographes, il s'établit maraîcher à son compte sur un lopin de terre qu'il achète. Dirigeant national paysan[modifier | modifier le code]
Maurice Goldring Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article ou cette section traite d’une personne morte récemment(30 octobre 2020). Le texte peut changer fréquemment, n’est peut-être pas à jour et peut manquer de recul. N’hésitez pas à participer, en veillant à citer vos sources. Les biographies étant habituellement écrites au présent de narration, merci de ne pas mettre au passé les verbes qui sont actuellement au présent. Biographie[modifier | modifier le code] Né dans une famille aux sympathies communistes, il entre dans les organisations de jeunesse du PCF durant son adolescence, et adhère au parti à l'âge de 17 ans. Membre du Conseil fédéral du PCF de Paris en 1964, au bureau fédéral de 1964 à 1968, il suit les cours de l'école centrale du parti en 1971. En 1974, il quitte ses responsabilités militantes pour aller enseigner à la New York University. Il se consacre alors cependant essentiellement à l'activité de recherche. Bibliographie[modifier | modifier le code]
Лазо, Сергей Георгиевич Достаточно ли быстро загрузилась эта страница? Спасибо за отзыв! Благодаря ему Википедия станет ещё лучше. Биография[править | править код] Родился 23 февраля (7 марта) 1894 года в селе Пятра Оргеевского уезда Бессарабской губернии (ныне — в Оргеевском районе Республики Молдова) в дворянской семье молдавского происхождения, Георгия Ивановича и Елены Степановны Лазо. В 1907 году, после смерти отца, семья переехала в Езорены. Осенью 1912 года, окончив гимназию, Лазо поступил в Петербургский технологический институт, но в 1914 году возвратился в Бессарабию и в связи с болезнью матери некоторое время жил в деревне и в Кишинёве. В июле 1916 года был мобилизован в армию, окончил Алексеевское пехотное училище в Москве и был произведён в офицеры (прапорщик, затем — подпоручик). Февральская революция[править | править код] 2 марта 1917 года по Красноярску начали распространяться слухи о событиях в Петрограде. Осень-зима 1917. Гражданская война (1918—1920)[править | править код] В России: В Молдавии:
Georges Gastaud Georges Gastaud, né le 2 juillet 1951, est un professeur de philosophie, syndicaliste enseignant et militant communiste français. Il est depuis 2004 le secrétaire national du Pôle de renaissance communiste en France (PRCF), dont il dirige également le journal mensuel Initiative communiste. Il milite également pour la défense de la langue française et contre le franglais. Biographie[modifier | modifier le code] Né le 2 juillet 1951[1], il est le fils de Raymond Gastaud, ancien résistant[2] et maire adjoint de la ville de Cap-d'Ail (Alpes-Maritimes). Enseignant et syndicaliste[modifier | modifier le code] Engagement communiste[modifier | modifier le code] Militant du PCF, puis du PRCF[modifier | modifier le code] Engagé en politique auprès du Parti communiste français, il se porte candidat sous cette étiquette à plusieurs d'élections. Philosophe marxiste[modifier | modifier le code] Georges Gastaud est l'auteur de divers ouvrages philosophiques d'inspiration marxiste.