Gagarine, vénéré 60 ans après son vol : la Russie célèbre la mémoire de son héros 60 ans après, la légende de Iouri Gagarine reste intacte en Russie. C'était le 12 avril 1961, Iouri Alexeevitch Gagarine décolle et passe 1 h 48 en orbite autour de la terre. Contrairement au gigantisme de sa statue qui surplombe Moscou, le premier homme dans l'espace n'était pas grand. Il mesurait 1,58 mètres, son père était charpentier, sa mère paysanne et le pouvoir soviétique en a fait l'incarnation du héros populaire. Iouri Gagarine était né dans un petit village de l'ouest de la Russie où un musée lui est consacré. Tamara Filatova, nièce de Iouri Gagarine : "Il aimait beaucoup les gens. Anatoly Derbenkov vit dans le village où Gagarine est né. Anatoly Derbenkov, habitant du village de Gagarine : "Juste là, plus haut, le village, c'est grâce à lui qu'il a été construit. Chaque année, le 12 avril, la Russie célèbre en grande pompe la mémoire du plus consensuel de ses héros. Anton Pervuchine, biographe de Iouri Gagarine : "Le vol de Gagarine, c'est notre fierté.
Thomas Sankara Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Thomas Sankara est un homme politique anti-impérialiste, panafricaniste et tiers-mondiste burkinabé. Il est né le à Yako en Haute-Volta et mort assassiné le à Ouagadougou au Burkina Faso. Biographie[modifier | modifier le code] En septembre 1981, il devient secrétaire d'État à l'Information dans le gouvernement du colonel Saye Zerbo. Il démissionne le 21 avril 1982, déclarant « Malheur à ceux qui bâillonnent le peuple ! Le 7 novembre 1982, un nouveau coup d'État porte au pouvoir le médecin militaire Jean-Baptiste Ouédraogo. Un nouveau coup d'État, le 4 août 1983, place Thomas Sankara à la présidence du Conseil national révolutionnaire. Le 15 octobre 1987, Thomas Sankara est assassiné lors d'un coup d'État organisé par celui qui était considéré comme son frère, Blaise Compaoré. Thomas Sankara et certains de ses camarades tués lors du coup d'État seraient enterrés sans tombe au cimetière de Dagnoën à Ouagadougou (
Révolution cubaine Batailles La révolution cubaine est l'ensemble des événements commençant en 1953[1] ayant conduit en janvier 1959 au renversement du régime de Fulgencio Batista et aboutissant à l’actuelle République cubaine. La révolution est menée par le mouvement du 26 juillet dirigé par Fidel Castro et notamment Che Guevara ainsi que leurs alliés s'opposant au gouvernement autoritaire cubain de 1902, soutenu par les États-Unis. La révolution commence en juillet 1953, et continue sporadiquement jusqu'à ce que les rebelles chassent Batista du pouvoir le 1er janvier 1959. Par la suite, le mouvement met en place des réformes plus socialistes pour ensuite devenir le Parti communiste cubain en octobre 1965[2]. Contextes[modifier | modifier le code] Économie[modifier | modifier le code] La situation économique de Cuba est à la fin des années 1950 au même niveau que celles des pays les plus développés de l'Amérique latine. Influence des États-Unis[modifier | modifier le code] 1957[modifier | modifier le code]
Mohandas Karamchand Gandhi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « article de qualité ». Mahatma Gandhi Mohandas Karamchand Gandhi, en août 1942 Mohandas Karamchand Gandhi (en gujarati મોહનદાસ કરમચંદ ગાંધી (mohandās karamcaṃd gāndhī), API [ˈmoː.ɦən.d̪aːs ˈkə.rəm.t͡ʃənd̪ ˈɡaːn.d̪ʱi ] Écouter), né à Porbandar (Gujarat) le 2 octobre 1869 et mort assassiné à Delhi le 30 janvier 1948, est un dirigeant politique, important guide spirituel de l'Inde et du mouvement pour l'indépendance de ce pays. Il a été un pionnier et un théoricien du satyagraha, de la résistance à l'oppression à l'aide de la désobéissance civile de masse, le tout fondé sur l'ahimsa (« non-violence »), qui a contribué à conduire l'Inde à l'indépendance. Gandhi conduisit la marche du sel, célèbre opposition à la taxe sur le sel. Adepte de la philosophie indienne, Gandhi vivait simplement, organisant un ashram qui était autosuffisant. Gandhi est reconnu comme le Père de la Nation en Inde, où son anniversaire est une fête nationale.
Joseph Almudever Cet article ou cette section traite d’une personne morte récemment(23 mai 2021). Le texte peut changer fréquemment, n’est peut-être pas à jour et peut manquer de recul. N’hésitez pas à participer, en veillant à citer vos sources. Les biographies étant habituellement écrites au présent de narration, merci de ne pas mettre au passé les verbes qui sont actuellement au présent. L'emploi des mots « mort » et « décès » est discuté sur cette page.La dernière modification de cette page a été faite le 27 mai 2021 à 15:17. Biographie[modifier | modifier le code] Il témoigne sur les débuts de son militantisme politique à la La Dépêche du Midi en 2016 : « Ma mère était socialiste et quand la révolte des Asturies a éclaté en 1934, mon père venait me chercher pour que je lise le journal aux ouvriers et que je leur explique. Guerre d'Espagne[modifier | modifier le code] Blessé au front Teruel par un tir de mortier en mai 1938, Almudéver est envoyé à l'arrière. Guérilla[modifier | modifier le code]
Martin Luther King Signature Il organise et dirige des actions telles que le boycott des bus de Montgomery pour défendre le droit de vote, la déségrégation et l'emploi des minorités ethniques. Martin Luther King devient le plus jeune lauréat du prix Nobel de la paix en 1964 pour sa lutte non violente contre la ségrégation raciale et pour la paix. Il se voit décerner à titre posthume la médaille présidentielle de la Liberté par Jimmy Carter en 1977, le prix des droits de l'homme des Nations unies en 1978, la médaille d'or du Congrès en 2004, et est considéré comme l'un des plus grands orateurs américains[2]. Depuis 1986, le Martin Luther King Day est un jour férié aux États-Unis. Biographie Jeunesse et formation Martin Luther King est le fils du pasteur baptiste Martin Luther King Sr. et d'Alberta Williams King, organiste d'église. Vie privée Le 18 juin 1953, il épouse Coretta Scott, qui prendra son nom pour devenir Coretta Scott King (1927-2006)[8] . Ministère Montgomery, la lutte pour les droits civiques Albany
Guérilla de Ñancahuazú Localisation du foco de l'ELN en Bolivie. La guérilla de Ñancahuazú (espagnol : Ejército de Liberación Nacional de Bolivia, ELN) est une guérilla marxiste-léniniste lancée en 1966, deux ans après le coup d'État du général René Barrientos Ortuño, par l'Argentin Che Guevara, dans le cadre de la stratégie du foco (foyer révolutionnaire rural). La Bolivie, « cœur de l'Amérique », avait été choisie en raison de sa position centrale et de la possibilité de faire tache d'huile sur les pays adjacents : en effet, bien que conçue en tant que « mouvement de libération nationale », l'ELN était aussi dotée, comme le signale également sa composition, d'une très forte composante panaméricaniste et, plus généralement, internationaliste. Chronologie[modifier | modifier le code] Le Journal du Che en Bolivie commence le 7 novembre 1966, jour qui voit l'installation de Guevara accompagné de trois autres guérilleros dans une ferme qui leur servira de campement[1]. Voir aussi[modifier | modifier le code]
Martin Luther King Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « article de qualité ». Martin Luther King, Jr. Martin Luther King en 1964. Martin Luther King devient le plus jeune lauréat du prix Nobel de la paix en 1964 pour sa lutte non-violente contre la ségrégation raciale et pour la paix. Il se voit décerner à titre posthume la médaille présidentielle de la liberté par Jimmy Carter en 1977, le prix des droits de l'homme des Nations unies en 1978, la médaille d'or du Congrès en 2004, et est considéré comme l'un des plus grands orateurs américains[1]. Biographie Jeunesse Martin Luther King est le fils du pasteur baptiste Martin Luther King Sr. et d'Alberta Williams King, organiste d'église. Des accusations de plagiat contre sa thèse de doctorat à l'université de Boston aboutissent en 1991 à une enquête officielle des responsables de cette université. Il épouse, le 18 juin 1953, Coretta Scott, qui prendra son nom pour devenir Coretta Scott King. Montgomery, la lutte pour les droits civiques
George Blake (espion) George Blake dans les années 1950. George Blake, né George Behar le 11 novembre 1922 à Rotterdam et mort le 26 décembre 2020[1] à Moscou, était une taupe du KGB au sein du Secret Intelligence Service (SIS ou MI6)[2]. Démasqué, jugé et condamné en 1961 à quarante-deux ans de détention, il a été emprisonné. Il a réussi à s'enfuir de la prison Wormwood Scrubs en 1966 pour se réfugier en URSS. Il est l'un des agents qui ont miné la confiance des Britanniques dans le SIS pendant des décennies. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] George[3] Behar naît d'une mère néerlandaise protestante et d'un père juif sépharade[4] originaire de l'Empire ottoman, naturalisé britannique, Albert Behar. George Behar devient un porteur de messages de la Résistance intérieure aux Pays-Bas à la suite de l'occupation par les armées du Troisième Reich. Agent britannique[modifier | modifier le code] Il apprend le russe à Cambridge[7]. Après son procès[modifier | modifier le code]