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Nellie Bly

Nellie Bly
Early years[edit] Nellie Bly working in a factory producing boxes At birth she was named Elizabeth Jane Cochran. She was born in "Cochran Mills", today part of the Pittsburgh suburb of Burrell Township, Armstrong County, Pennsylvania.[4][5][6] Her father, Michael Cochran, was a modest laborer and mill worker who married Mary Jane. Cochran taught his young children a cogent lesson about the virtues of hard work and determination, buying the local mill and most of the land surrounding his family farmhouse. As a young girl Elizabeth often was called "Pinky" because she so frequently wore the color. In 1880, Cochrane and her family moved to Pittsburgh. As a writer, Bly focused her early work for the Dispatch on the plight of working women, writing a series of investigative articles on women who were factory workers, but editorial pressure pushed her to the so-called "women's pages" to cover fashion, society, and gardening, the usual role for women journalists of the day. Asylum exposé[edit] Related:  Journalistes, essayistes, polémistes

Florence Aubenas Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Florence Aubenas (née le 6 février 1961 à Bruxelles) est une journaliste française. Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Florence Aubenas est la fille de Jacqueline Aubenas, journaliste, critique de cinéma et chargée de cours à l'Institut national supérieur des arts du spectacle et des techniques de diffusion INSAS (Belgique). Carrière[modifier | modifier le code] Du 2 juillet 2009 à juin 2012, elle est présidente de l’Observatoire international des prisons (OIP)[1]. De février à juillet 2009, elle prend un congé sabbatique, laissant circuler la rumeur qu'elle part au Maroc écrire un roman. Florence Aubenas se met à travailler pour Le Monde à partir d'avril 2012, où elle couvre le conflit syrien du côté des rebelles « pendant plus d'un mois »[8],[9]. Enlèvement[modifier | modifier le code] Vidéo du 1er mars 2005[modifier | modifier le code] Soutiens[modifier | modifier le code]

Natacha Polony Natacha Polony en 2015. Natacha Polony, née le 15 avril 1975 à Paris, est une journaliste et essayiste française. En 2018, elle fait son retour à Marianne, dont elle devient directrice de la rédaction. Biographie[modifier | modifier le code] Origines, famille et vie privée[modifier | modifier le code] Fille d'un gastro-entérologue et d'une ophtalmologue, ses parents la nomment Natacha en hommage à Léon Tolstoï — Natacha Rostov est l'héroïne de Guerre et paix[pertinence contestée][2]. En 2007, elle épouse le journaliste et critique gastronomique Périco Légasse[3],[4], avec qui elle a trois enfants, nés en 2007, 2011 et 2013[5]. Formation (avant 1999) puis carrière dans l'enseignement (1999-2011)[modifier | modifier le code] Elle enseigne en 1999-2000 au lycée Jacques-Feyder d'Épinay-sur-Seine comme professeur de lettres stagiaire avant de démissionner de l'Éducation nationale. 2001-2002 : engagement politique[modifier | modifier le code] En 2016, elle reçoit le prix Richelieu[25].

Géraldine Muhlmann Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Géraldine Muhlmann, née le 30 novembre 1971[1] à Strasbourg[2], est une journaliste et politologue française. Elle anime en 2011-2012 l'émission C politique sur France 5. Biographie[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] Petite fille du secrétaire de l'Organisation « Reconstruction et travail », mort à Auschwitz[3], elle est la fille de la médecin anesthésiste Michèle Muhlmann-Weill[4], qui a dirigé le SAMU de Strasbourg de 1983 à 1993 et a été une actrice important de la prévention routière en France[5]. Formation[modifier | modifier le code] Agrégée de philosophie (1994) et de science politique (2003), docteur en science politique (2001)[8], diplômée de l'Institut d'études politiques de Paris (section Service public, promotion 1995)[9], Géraldine Muhlmann obtient son diplôme de journalisme à l'université de New York en 1996. Carrière[modifier | modifier le code] Vie privée[modifier | modifier le code]

Mazarine Pingeot Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Pingeot. Biographie[modifier | modifier le code] Fille de François Mitterrand et d'Anne Pingeot[3], conservatrice au musée d'Orsay, Mazarine Marie Pingeot est reconnue par François Mitterrand devant notaire le [4]. Elle effectue sa scolarité à la Maison d'éducation de la Légion d'honneur et au lycée Henri-IV à Paris[8]. En 2003, elle est chroniqueuse littéraire dans l'émission Field dans ta chambre de Michel Field puis, à partir de 2004, dans Ça balance à Paris, toujours avec Michel Field et diffusée sur la chaîne de télévision Paris Première. En février 2005 est publié son quatrième ouvrage Bouche cousue (Julliard). En octobre 2012 sort Bon petit soldat. Un centre d'études consacré à son œuvre a été créé[16]. Elle intervient toujours, de manière aléatoire avec d'autres chroniqueurs, dans l'émission Ça balance à Paris, animée depuis la rentrée 2010 par Éric Naulleau. Vie privée[modifier | modifier le code]

Anne Tronche Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Anne Tronche, née le à Paris et morte le à Toulouse (Haute-Garonne)[1], est une critique française d'art contemporain. Parcours[modifier | modifier le code] Elle est l'auteur de nombreux ouvrages et articles sur l'art contemporain ainsi que d'entretiens destinés à des films monographiques avec Bill Culbert, Daniel Spoerri, Aurélie Nemours, Denise René. Œuvres[modifier | modifier le code] Prix et récompenses[modifier | modifier le code] FILAF d'or en 2013 au Festival international du livre d'art et du film de Perpignan pour L'Art des années 60 (Éditions Hazan, 2012)[2]. Références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Notice biographique in : Hervé Télémaque, Paris: Flammarion: CNAP, 2003 Liens externes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Anne Tronche, sur Wikimedia Commons

Megyn Kelly Personal life and education[edit] Kelly was born in Syracuse, New York[5] to Edward Kelly, who taught education at the State University of New York at Albany, and Linda, a homemaker.[2] She is of Italian descent on her mother's side.[2] Kelly attended Tecumseh Elementary School, and at age 9, her family moved to the Albany, New York suburb[5] of Delmar, where she attended Bethlehem Central High School.[6] Kelly's father died when she was 15 years old.[7] After high school, she obtained an undergraduate degree in political science at Syracuse University,[2] and earned a J.D. from Albany Law School in 1995.[8] Kelly is Roman Catholic.[9] Career[edit] In law[edit] In journalism[edit] In 2003, Kelly moved to Washington, D.C., where she was hired by the ABC affiliate WJLA-TV as a general assignment reporter.[12] While there, she covered significant national and local events, including live coverage of the confirmation hearings for U.S. Moderator of Cleveland Republican presidential debate[edit]

Sandrine Treiner Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sandrine Treiner, née en 1964, est une journaliste et écrivaine française. Elle devient la directrice de France Culture en août 2015, succédant à Olivier Poivre d'Arvor[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Formation[modifier | modifier le code] Sandrine Treiner est diplômée d'études approfondies d'histoire du temps présent à l'Institut d'études politiques de Paris (1987)[2]. Carrière[modifier | modifier le code] En 1986, elle débute sa carrière professionnelle au journal Le Monde au service littéraire et supplément radio-télévision. De 1998 à 2008, Sandrine Treiner intègre France 3 comme rédactrice en chef et coproductrice de l’émission Un livre, un jour, présentée par Olivier Barrot. En , elle rejoint France Culture comme chroniqueuse pour la littérature et le cinéma à La grande table, l’émission de Caroline Broué et Hervé Gardette, avant d’être recommandée au poste de conseillère de programmes de la chaîne en [3].

Alice Becker-Ho Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Œuvres principales Les Princes du jargon (1990)L'Essence du jargon (1994)D'azur au triangle vidé de sable (1998)Du jargon héritier en bastardie (2002)Là s'en vont les seigneuries (2003)Le premier ghetto ou l'exemplarité vénitienne (2014) Alice Becker-Ho, née à Shanghai le 6 août 1941[1], est une écrivain et poète de langue française. Elle signe Alice Debord lorsqu'il est question des affaires de Guy Debord dont elle fut l'épouse. Biographie[modifier | modifier le code] Fille d'Anisset Becker, marin lorrain et déserteur de l'armée allemande, engagé plus tard dans la légion étrangère puis banquier en Chine, et d'une mère chinoise, Alice Becker-Ho arrive en France en 1947. À partir de 1990 elle consacre trois livres novateurs à l'argot des "classes dangereuses" : Les Princes du jargon, puis L'Essence du jargon et enfin Du Jargon héritier en bastardie. Œuvres[modifier | modifier le code] Traductions[modifier | modifier le code]

Michèle Bernstein Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Michèle Bernstein avec Guy Debord (au centre) et Asger Jorn (à droite) en 1957 à Cosio d'Arroscia. Œuvres principales Tous les chevaux du roi (1960)La Nuit (1961) Michèle Bernstein, née à Paris le 28 avril 1932, est une écrivaine française, membre fondatrice de l'Internationale situationniste. Elle participe à l'Internationale lettriste et à son bulletin Potlatch (1954-1957) puis à l'Internationale situationniste jusqu'à sa démission en 1967. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Le 17 août 1954, Michèle Bernstein épouse Guy Debord. Du lettrisme à l'Internationale situationniste[modifier | modifier le code] L'Internationale lettriste cherche à transcender les activités artistiques traditionnelles en produisant des situations en dérivant à travers Paris. Vers 1957, la plupart des membres de l'Internationale lettriste avaient quitté le groupe ou en avaient été exclus. Références[modifier | modifier le code]

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