The Lebanese Inner Circle : Blog - Mozilla Firefox Arabies : regards sur le monde arabe - Blog LeMonde.fr Chroniques persanes The Middle East en français Géopolitique du Proche-Orient. Jean-Baptiste Beauchard The Gulf blog Syria Comment by Aron Lund, editor of Syria in Crisis “We are ready to support from the air the patriotic opposition, including the so-called Free Syrian Army,” Russian Foreign Minister Sergey Lavrov recently told Russian state television. But, he said, Moscow is currently unable to do so, since it cannot figure out who leads the Free Syrian Army (FSA) and the United States won’t help identify them. But lo and behold—on October 25, the Russian state news agency RIA Novosti reported that other members of the FSA are ready for “dialogue” in the hope of Russian “assistance.” Suddenly, rumors were everywhere that FSA reprsentatives were en route to Moscow. A few days later, on October 30, Bogdanov spoke on the sidelines of a meeting on Syria in Vienna to explain that Russia wants the FSA to be included in future peace talks, while ”one of the founders of the so called FSA,” who once again turned out to be Fahd al-Masri, was heard praising Moscow’s newfound flexibility in Russian state media. Meet Mr. Why?
Oriente Miedo De Bagdad à Jérusalem : L'Orient indiscret François Hollande a raison de dire, comme il l’a fait lors de ses vœux au corps diplomatique jeudi, qu’il « ne suffit pas de répéter à l’envi qu’il faut parler à la Russie » pour régler la crise syrienne. « Nous ne cessons de le faire, a poursuivi le président de la République. Les problèmes ne disparaissent pas dès lors que nous en parlons, ce serait tellement simple ». Certes, la France parle à la Russie. Petit florilège de ce dialogue franco-russe. Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères de Nicolas Sarkozy, compare le soutien russe à Assad à une « tache indélébile » sur la réputation de la Russie. C’était l’époque, renchérit un ambassadeur arabe à Paris, « où la Direction Afrique du nord-Moyen-Orient du Quai d'Orsay nous disait que nous allions isoler la Russie ». « On n’osait pas rire », ajoute cet ambassadeur : « comment un pays comme la France pouvait-il penser sérieusement pouvoir isoler un pays de la taille de la Russie », s’interroge ce diplomate.