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Trouble bipolaire

Trouble bipolaire
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La cause n'est pas clairement déterminée. Elle associe à la fois des facteurs de vulnérabilité génétique et des facteurs environnementaux[1]. Le traitement des troubles bipolaires repose sur une aide psychologique adaptée au patient et des médicaments psychotropes et antipsychotiques[1]. La prévalence des troubles bipolaires est estimée à environ 1 à 2% de la population[1]. Terminologie et définition[modifier | modifier le code] Le trouble bipolaire est un trouble de l’humeur qui se définit par une variation anormale de l’humeur : alternance de périodes d’excitation et de dépression. Jusqu’en 1980, le trouble bipolaire était dénommé psychose maniaco-dépressive[1] (PMD) ou maladie maniaco-dépressive (MMD). Diagnostic[modifier | modifier le code] Signes et symptômes[modifier | modifier le code] Le trouble bipolaire peut se caractériser par une phase maniaque sans présence de phase dépressive. Épisodes dépressifs[modifier | modifier le code]

Peur du téléphone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La peur du téléphone[1] (phobie du téléphone, peur téléphonique ou téléphonophobie[2]) est une peur ou angoisse de passer ou de prendre des appels téléphoniques. La peur du téléphone est également considérée être un type de phobie sociale ou un trouble anxieux[1]. Les individus qui en souffrent exposent typiquement une peur de se tromper lors d'une conversation téléphonique[1] ou une peur de ne savoir que dire, ce qui pourrait résulter en un silence embarrassant, un balbutiement ou un bégaiement[1]. Une autre raison de la peur du téléphone peut aussi être la crainte que le correspondant n'ait de mauvaises intentions ou qu'il n'annonce de mauvaises nouvelles. Comme pour de nombreuses phobies et angoisses, il existe un spectre sévère de peur des conversations téléphoniques accompagné de difficultés[1]. Articles connexes[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Portail de la psychologie

De l'importance du père pour son fils | Science Photo : iStockphoto Des interactions positives entre le père et son bébé dès l'âge de 3 mois permettent de réduire les problèmes de comportement du nourrisson à partir de l'âge de 1 an, montre une étude américaine. Selon le Dr Paul Ramchandani et ses collègues de l'Université d'Oxford, c'est la première fois qu'un tel impact est démontré chez des enfants aussi jeunes. « Nous avons découvert que les enfants avec lesquels les pères avaient plus de contacts avaient de meilleurs résultats et, par la suite, moins de problèmes de comportement. » — Dr Paul Ramchandani Les auteurs expliquent qu'à l'inverse, les troubles du comportement étaient plus nombreux lorsque les pères étaient plus distants, perdus dans leurs pensées ou avaient moins de contacts avec leurs enfants. Quelque 192 familles ont été recrutées dans deux maternités britanniques aux fins de cette étude. oppositionnelagressif hyperactif Le mécanisme de cette influence reste inexpliqué.

Peur du téléphone ? 8 astuces pour la surmonter Selon certaines études, 40 % des travailleurs souffrent de cette crainte. Et selon ces mêmes études, cette angoisse sociale est la principale raison pour laquelle les vendeurs échouent dans leur branche. En suivant ces quelques conseils, vous pouvez essayer de la contrôler. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

Facebook, Facebook, dis-moi qui est la plus populaire? | La sphère Internet Facebook, Facebook, dis-moi qui est la plus populaire? Le samedi 16 juin 2012 Facebook peut favoriser la dépression chez les adolescents. Créer un compte Des services professionnels nettement insuffisants ! Reprise des cours dans les cégeps - Dès la semaine prochaine, des milliers d’étudiants du collégial prendront le chemin des salles de cours pour compléter leur session d’hiver de manière intensive. À cet égard, les membres de la Fédération du personnel professionnel des collèges (FPPC-CSQ) appréhendent la rentrée des étudiants puisqu’aucun plan de services professionnels n’est prévu dans les cégeps. « On sait très bien que la réussite scolaire des étudiants est directement liée à la qualité des services professionnels, d’autant plus qu’ils auront à fournir des efforts supplémentaires afin de compléter leur session d’hiver. Les services de psychologie, d’orientation, de gestion pédagogique seront à plus forte raison indispensables aux étudiants », affirme Bernard Bérubé, président de la FPPC-CSQ. Pourtant, la majorité des collèges ne prévoit aucun ajout de services professionnels sauf pour des demandes en heures supplémentaires.

Les effets collatéraux du conflit sur la santé psychologique des étudiants | Maisonneuve en direct Société Les effets collatéraux du conflit sur la santé psychologique des étudiants Le mardi 8 mai 2012 Après plus de deux mois de conflit, de nombreux étudiants se trouvent dans une situation difficile : session menacée, incertitude quant à leur été, détresse psychologique, abandon de leurs études pour certains d'entre eux. Qui se préoccupe des dommages collatéraux de la crise étudiante? Peut-on mesurer la détresse psychologique de nombreux étudiants? Créer un compte De l'importance de la réceptivité des parents | Science Photo : iStockphoto Repousser un jeune enfant lorsque celui-ci recherche l'attention peut influencer son développement. Pour la première fois, des chercheurs de l'Université Concordia et leurs collègues américains ont montré un lien entre les attentes qu'ont les petits de la réceptivité de leurs parents face à leurs demandes et leur volonté de coopérer et d'apprendre. L'étudiante Marie-Pierre Gosselin, doctorante au Département de psychologie, explique : « Les tout-petits dont les parents répondent toujours positivement à leur besoin d'attention s'attendent à des échanges pleinement satisfaisants. Les auteurs de ces travaux publiés ans la revue Child Development expliquent que la coopération chez les tout-petits est liée à l'acquisition des normes et des règles sociales plus tard dans l'enfance.

L'humain peine à prévoir les changements dans sa vie, selon Science | Jean-François Cliche | Science Pourquoi les adultes paient-ils pour faire effacer des tatouages dont ils raffolaient à l'adolescence? Pourquoi les gens d'âge mûr divorcent-ils des conjoints dont ils étaient épris dans leur jeunesse? «Pourquoi les gens prennent-ils si souvent des décisions qu'ils finissent par regretter?» se demandent les chercheurs en psychologie Jordi Quoidbach et Daniel Gilbert, de l'Université Harvard, et Timothy Wilson, de l'Université de Virginie, dans une étude parue début janvier dans la revue Science. En fait, répondent-ils, il semble que l'on a beaucoup, beaucoup de difficulté à envisager que l'on puisse changer. Et, si étonnant que cela puisse paraître, il semble que nous sommes à la fois très conscients des changements du passé, et systématiquement ignorants de ceux qui s'en viennent. Comparaisons Deux possibilités semblent pouvoir expliquer l'effet observé, que les auteurs nomment illusion de la fin de l'histoire.

Une dérogation pour entrer à l'école plus tôt? | Nathalie Côté, collaboration spéciale | Enfants Tout d'abord, il faut comprendre que la dérogation à l'âge d'admissibilité est une mesure d'exception. Elle est loin d'être automatique, même si l'enfant atteint ses 5 ans une journée après la date limite du 30 septembre. La loi est ainsi faite. Pour l'obtenir, les parents doivent avoir un rapport favorable d'un psychologue ou d'un psychoéducateur. Selon elle, il y a effectivement un risque à retarder l'entrée à l'école d'un enfant en avance pour son âge. Il est insuffisant que Junior impressionne la parenté en récitant son alphabet et en comptant jusqu'à 30. «Plus l'anniversaire de l'enfant est éloigné du 30 septembre, plus il doit se démarquer. L'évaluation de l'enfant L'évaluation comporte des entrevues avec les parents et l'enfant, des tests sous forme de jeu (blocs, casse-tête, association d'images, devinettes, etc.) et un questionnaire à remplir par l'éducatrice en garderie. Le professionnel tiendra également compte de l'environnement familial. Saviez-vous que?

Psychologie à deux vitesses | Points de vue Selon les conclusions d'un récent sondage effectué pour le compte de la Société canadienne de psychologie, 80% de la population juge qu'il est important que les services de psychologie soient couverts par les régimes de santé publics. Qu'il s'agisse de détresse, de difficultés d'apprentissage, de démence ou de deuils, le soutien éclairé des psychologues est nécessaire et grandement apprécié. On fait appel à leurs services pour identifier la source des problèmes vécus par des enfants, des jeunes, des adultes ou des personnes âgées. Or, faute d'offrir des conditions de travail satisfaisantes, le réseau public se prive de l'expertise de centaines de psychologues. À l'heure actuelle, il manque 240 psychologues dans le réseau public de la santé et des services sociaux, qui en compte 2000. Et selon un document de travail du ministère il en manquera 400 en 2013-2014. Le recours à la psychothérapie constitue un autre exemple de l'impact d'un accès inéquitable aux services psychologiques.

L'effet néfaste de l'enfant favori | Laurie Richard | Famille Dans l'étude de Jennifer Jenkins, professeure au département de psychologie de l'Université de Toronto, publiée dans le journal Child Development de février, on parle de l'adoption d'un «comportement parental différentiel» pour décrire le phénomène. Il se produit lorsqu'un enfant reçoit plus ou moins de réactions négatives ou positives de la part d'un parent qu'un autre membre de la même fratrie. L'étude a été menée auprès de 400 familles de deux à quatre enfants âgés en moyenne de deux à cinq ans. Elle a été davantage axée sur les mères, et basée sur beaucoup d'observations; on ne s'est donc pas contenté de considérer les réponses rapportées par les parents eux-mêmes lors de sondages. «Je pense que tous les parents veulent se croire aussi égalitaires qu'ils le disent», souligne André Plamondon, stagiaire postdoctoral au laboratoire du Dr Jenkins. Pas toujours négatif «C'est pas juste!»

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