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Trouble bipolaire

Trouble bipolaire
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La cause n'est pas clairement déterminée. Elle associe à la fois des facteurs de vulnérabilité génétique et des facteurs environnementaux[1]. Le traitement des troubles bipolaires repose sur une aide psychologique adaptée au patient et des médicaments psychotropes et antipsychotiques[1]. La prévalence des troubles bipolaires est estimée à environ 1 à 2% de la population[1]. Terminologie et définition[modifier | modifier le code] Le trouble bipolaire est un trouble de l’humeur qui se définit par une variation anormale de l’humeur : alternance de périodes d’excitation et de dépression. Jusqu’en 1980, le trouble bipolaire était dénommé psychose maniaco-dépressive[1] (PMD) ou maladie maniaco-dépressive (MMD). Diagnostic[modifier | modifier le code] Signes et symptômes[modifier | modifier le code] Le trouble bipolaire peut se caractériser par une phase maniaque sans présence de phase dépressive. Épisodes dépressifs[modifier | modifier le code]

Trouble bipolaire | Guérir des blessures émotionnelles Information provenant de l’ A.I.T.B, site d’information sur les troubles bipolaires (conseils rassemblés par minos) Ces conseils ne prétendent en aucun cas se substituer à un avis médical spécialisé. Le diagnostic Les troubles bipolaires touchent environ 1% de la population et cependant de nombreux cas ne sont pas diagnostiqués et ne peuvent donc pas bénéficier de traitements. - tant que les épisodes dépressifs ou maniaques ne sont pas majeurs, les patients ne consultent pas de médecins ou alors seulement pour des symptômes annexes (fatigue, insomnies ….). Cette hygiène de vie concerne essentiellement le sommeil, la consommation d’alcool et de drogues, la prise de certains médicaments, les activités « stressogènes. – Le sommeil. Classiquement les épisodes maniaques commencent par une diminution du besoin de sommeil, à différencier de l’insomnie banale ou le patient à envie de dormir mais n’y arrive pas. - Ayez au moins 7 heures de sommeil par nuit – Évitez grasse matinée et sieste. – L’alcool.

Peur du téléphone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La peur du téléphone[1] (phobie du téléphone, peur téléphonique ou téléphonophobie[2]) est une peur ou angoisse de passer ou de prendre des appels téléphoniques. La peur du téléphone est également considérée être un type de phobie sociale ou un trouble anxieux[1]. Les individus qui en souffrent exposent typiquement une peur de se tromper lors d'une conversation téléphonique[1] ou une peur de ne savoir que dire, ce qui pourrait résulter en un silence embarrassant, un balbutiement ou un bégaiement[1]. Une autre raison de la peur du téléphone peut aussi être la crainte que le correspondant n'ait de mauvaises intentions ou qu'il n'annonce de mauvaises nouvelles. Comme pour de nombreuses phobies et angoisses, il existe un spectre sévère de peur des conversations téléphoniques accompagné de difficultés[1]. Articles connexes[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Portail de la psychologie

Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir DSM. Le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (également désigné par le sigle DSM, abréviation de l'anglais : Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders), publié par la Société américaine de psychiatrie (APA), est un ouvrage de référence qui classifie et catégorise des critères diagnostiques et des recherches statistiques de troubles mentaux spécifiques. Le manuel évolue à partir des statistiques collectées depuis des hôpitaux psychiatriques et depuis un manuel diffusé par l'Armée de terre des États-Unis, qui a radicalement été révisé en 1980. Utilisation[modifier | modifier le code] Il est utilisé aux États-Unis et internationalement par des cliniciens, chercheurs, sociétés d'assurances et pharmaceutiques, et par les pouvoirs publics. Le DSM, incluant le DSM-IV, est une marque appartenant à l'Association américaine de psychiatrie (APA)[3]. Historique[modifier | modifier le code]

Peur du téléphone ? 8 astuces pour la surmonter Selon certaines études, 40 % des travailleurs souffrent de cette crainte. Et selon ces mêmes études, cette angoisse sociale est la principale raison pour laquelle les vendeurs échouent dans leur branche. En suivant ces quelques conseils, vous pouvez essayer de la contrôler. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

Dépression (psychiatrie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépression (également appelée dépression caractérisée, dépression clinique ou dépression majeure) est un trouble mental caractérisé par des épisodes de baisse d'humeur accompagnée d'une faible estime de soi et d'une perte de plaisir ou d'intérêt dans des activités habituellement ressenties comme agréables par l'individu. Cet ensemble de symptômes (syndrome) est individualisé et classifié dans le groupe des troubles de l'humeur dans le manuel diagnostique de l'Association américaine de psychiatrie en 1980. Le diagnostic de la dépression se base sur plusieurs éléments : le ressenti personnel rapporté par le patient, le comportement perçu par son entourage et le résultat d'un examen psychologique. Les patients sont habituellement traités avec un médicament antidépresseur et, dans certains cas, suivent une psychothérapie. La sérotonine serait supposée réguler d'autres systèmes de neurotransmetteurs.

Trouble de la personnalité borderline Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Trouble de la personnalité borderline Classification et ressources externes Le trouble de la personnalité limite (TPL) ou trouble de la personnalité borderline[1] (TPB) est un trouble de la personnalité caractérisé par une impulsivité majeure et une instabilité marquée des émotions, des relations interpersonnelles et de l'image de soi [2]. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR) définit deux comportements principaux liés au trouble de la personnalité borderline : un comportement impulsif, et une instabilité émotionnelle ainsi que dans les relations sociales et sur l'image de soi, spécifiant neuf critères pour démontrer la présence de ces comportements[3]. Émotions[modifier | modifier le code] Les individus souffrant de TPB ressentent les émotions plus sensiblement, plus profondément et plus longtemps que la normale[5]. Comportement[modifier | modifier le code]

Automutilation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article concerne l'automutilation infligée lors d'un trouble mental. Pour l'automutilation physique durant les guerres ou les jeux sexuels, voir Modification corporelle et Algolagnie. L’automutilation est caractérisée par des blessures et dommages physiques directes[1], exclue d'intention suicidaire. Ce terme est utilisé depuis l'ancienne littérature dans le but d'atteindre une terminologie neutre, ainsi que dans le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR). La forme la plus répandue d'automutilation est la dégradation cutanée, mais l'automutilation se réfère à un large rang comportemental, ce qui inclut (mais ne s'y limite pas) brûlures, griffures, cognement de certaines parties du corps, réouverture d'anciennes plaies cutanées, arrachage de cheveux (trichotillomanie) et ingestion de substances ou objets toxiques[2],[3]. Définition[modifier | modifier le code] Signes et symptômes[modifier | modifier le code]

Trouble obsessionnel compulsif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec Tic. Les symptômes peuvent s'exprimer de façon très variable d'un patient à l'autre (incluant phobie de la saleté, lavage des mains, vérifications répétées, obsessions sexuelles). Approximativement, entre un tiers et la moitié des adultes présentant un TOC rapportent que les premiers symptômes sont apparus dans l'enfance, ce qui suggère un continuum des troubles de la personnalité tout au long de la vie. Malgré ces comportements irrationnels, le TOC est parfois associé à une intelligence supérieure à la moyenne[1]. Dans le DSM-V, le TOC ne fait pas partie des troubles anxieux[2]. L'origine neurophysiologique du TOC reste mal comprise. Épidémiologie[modifier | modifier le code] Nombre d'individu atteints de troubles obsessionnels-compulsifs dans le monde sur 100 000 habitants en 2002. Aucune donnée Moins de 45 45-52.5 52.5-60 60-67.5 67.5-75 75-82.5 82.5-90 90-97.5 97.5-105 105-112.5 112.5-120 Plus de 120

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