What is a Hacker? Copyright © 2001 Eric S. Raymond As editor of the Jargon File and author of a few other well-known documents of similar nature, I often get email requests from enthusiastic network newbies asking (in effect) "how can I learn to be a wizardly hacker?". Back in 1996 I noticed that there didn't seem to be any other FAQs or web documents that addressed this vital question, so I started this one. If you are reading a snapshot of this document offline, the current version lives at Note: there is a list of Frequently Asked Questions at the end of this document. Numerous translations of this document are available: ArabicBelorussianChinese (Simplified), Czech, Danish, Dutch, Estonian, German, GreekItalianHebrew, Norwegian, PersianPortuguese (Brazilian), RomanianSpanish, Turkish, and Swedish. The five-dots-in-nine-squares diagram that decorates this document is called a glider. If you find this document valuable, please leave me a tip on Gittip. 1.
What to do with a degree in psychology | Money What do actor Katharine Hepburn (right), Playboy magazine founder Hugh Hefner and serial killer Ted Bundy all have in common? The answer is that they all read psychology at university – perhaps not in itself a compelling argument for studying the subject, but an indication at least that when it comes to different walks of life, psychology students form a broad church. The same, fortunately, goes for your job prospects. From research analysts to retail managers, a good grasp of human behavioural patterns and the science of the mind will put you in the thoughts of all sorts of employers. What skills have I gained? Psychology graduates develop the transferable skills that all employers require, such as communication, numeracy, independent learning and the ability to work in teams. Courses accredited by the British Psychological Society (BPS) contain substantial teaching on statistics and research methodology, as well as scientific methods. What careers can I pursue? Postgraduate study?
Nos décisions en questions Comment prenons-nous des décisions morales ou éthiques ? Dans l’idéal, nous devrions les prendre uniquement sur les faits… Nous en sommes loin, rappelle Jonah Lehrer dans Wired, l’auteur de Faire le bon choix : comment notre cerveau prend des décisions. Jonathan Haidt, l’auteur de L’hypothèse du bonheur, psychologue à l’université de Virginie, est connu pour avoir soutenu que nos jugements moraux sont comme des jugements esthétiques. Quand vous êtes face à un tableau, vous savez généralement instantanément et automatiquement si vous l’aimez. Notre jugement moral fonctionne un peu de cette façon, explique Jonah Lehrer. Nous ne jugeons pas sans biais Ed Yong, qui tient le blog Not Exactly Rocket Science pour Discover Magazine a mis à jour une passionnante étude issue des Actes de l’Académie nationale des sciences américaine qui observe le processus mental à l’oeuvre dans les décisions des juges concernant des affaires de libération conditionnelle. Mais ce n’est pas si vrai. Hubert Guillaud
Les jeunes sur Internet. Se construire un autre chez-soi 1Les liens entre la Toile et les adolescents analysés depuis plus d’une décennie semblent être un terrain d’étude particulièrement fécond pour penser la société des jeunes. Constatant qu’une très grande majorité d’entre eux s’approprie relativement rapidement cette technologie, nous nous sommes interrogées sur les raisons de ce succès. Les particularités de l’adolescence, telles que la recherche d’autonomie et dans le même temps d’appartenance à un groupe, semblent particulièrement bien s’accorder avec les applications relationnelles et « individualisantes » d’Internet. Outil de sociabilité et d’autonomisation, la Toile est une ressource pratique et personnalisable pour les jeunes d’aujourd’hui. Cependant, rares sont les recherches qui replacent ces appropriations dans une perspective plus globale de récit de vie exploitant le contexte familial et domestique du jeune. 6D’abord, nous situerons notre démarche dans le panorama des recherches sur les jeunes et Internet.
Ce que traduit la peur de la distraction La lecture de la semaine, il s’agit de quelques extraits d’un entretien que Cathy Davidson a donné le 21 août dernier au magazine en ligne Salon. Cathy Davidson enseigne les études interdisciplinaires à l’Université de Duke en Caroline du Nord et elle est l’auteure d’un livre intitulé Now you see it qui traite de la manière dont les travaux sur l’attention vont transformer notre manière de vivre, de travailler et de penser. Dans cet article de Salon, elle est interrogée sur les enfants et sur la manière dont nouvelles technologies modifient le cerveau des enfants, pas forcément dans le mauvais sens. Cathy Davidson commence par expliquer que le discours sur les nouvelles technologies et les enfants a complètement changé après la tuerie de Colombine (en 1999 deux adolescents avaient tué à l’arme automatique 13 de leurs condisciples et professeurs). Xavier de la Porte
Les limites de la mesure de soi Kevin Kelly, cofondateur du Quantified Self a prononcé la conférence de clôture de la première édition de la conférence sur la quantification de soi qui se tenait la semaine dernière à Mountain View en Californie, permettant, comme le dit Ethan Zuckerman qui en rapportait les propos, d’offrir un contexte pour comprendre les propos échangés pendant deux jours. Pour Kevin Kelly, auteur de What technology Wants (Ce que veut la technologie), la quantification de soi fait partie d’une tendance plus large vers laquelle nous allons. Cette tendance plus large consiste à être à l’écoute de la technologie, parce que « la technologie nous dit où elle va ». La quantité d’information ne cesse d’augmenter, plus rapidement que tout ce que nous faisons. On estime d’ailleurs que le volume d’information croit de 66 % par an. Image : Gary Wolf et Kevin Kelly sur la scène de la première édition de la conférence Quantified Self, photographiés par Marc Smith. Nous n’échapperons pas au Lifestream
Life Lessons From Benjamin Franklin Benjamin Franklin was a man of action. Over his lifetime, his curiosity and passion fueled a diverse range of interests. He was a writer (often using a pseudonym), publisher, diplomat, inventor and one of the Founding Fathers of the United States. His inventions included the lightning rod, bifocals and the Franklin stove. Franklin was responsible for establishing the first public library, organizing fire fighters in Philadelphia, was one of the early supporters of mutual insurance and crossed the Atlantic eight times. Benjamin Franklin was clearly a man who knew how to get things done. 14 Action Inducing LessonsLess Talk, More Action “Well done is better than well said.”Talk is cheap. “Never leave that till tomorrow which you can do today.” This is probably one of the first quotes I remember hearing as a teenager. Be Prepared “By failing to prepare, you are preparing to fail.” You need a plan to accomplish your goals. Don’t Fight Change “When you’re finished changing, you’re finished.” Wise Up
Où va la “quantification de soi” Ce week-end se tenait à Mountain View la première édition de la conférence Quantified Self (QS) (que l’on pourrait traduire littéralement par « la quantification de soi » pour parler « de la capture, de l’analyse et du partage de ses données personnelles », comme l’explique Emmanuel Gadenne). Nous avons parcouru les différents comptes rendus de cette conférence, organisée par Gary Wolf et Kevin Kelly qui avaient lancé ce mouvement (voir Nos vies gérées par les données et Finalement, documentez-moi !) pour tenter de vous en rendre compte. Quantification ou amélioration ? En observant certains ateliers, on pouvait se demander quel est l’objectif de « cette mesure de soi ».Matthew Trentacoste, est étudiant à l’université de la Colombie-Britannique et dirigeait une séance de discussion sur le « suivi de l’attention » aux rencontres du Quantified Self, rapporte Ethan Zuckerman. L’internet n’est pas une pièce calme, explique Matthew Trentacoste. What is Asthmapolis ? Et les données ?
L’étonnante courbe du bonheur L’INSEE vient de publier son "Portrait social" de la France, édition 2008, et, cette année, une des études a pour titre : "Le bonheur attend-il le nombre de années ?" Cette enquête s’intéresse au bien-être des Français, à leur degré de satisfaction. La question de départ qui a été posée à l’échantillon interrogé était : "Dans l’ensemble, êtes-vous très satisfaits, plutôt satisfaits, pas très satisfaits ou pas du tout satisfaits de la vie que vous menez ?" La courbe obtenue est très contrastée : on remarque que dès 20 ans, la courbe de satisfaction descend pour atteindre son niveau le plus bas entre 45 et 50 ans puis, à partir de 50 ans, elle remonte pour arriver à son plus haut niveau entre 65 et 70 ans. Pour moi, cette courbe révèle un malaise. Est-il normal que les Français se sentent au fil de leur vie de moins en moins satisfaits ? Notre société favorise-t-elle le bonheur ? Pourtant, nous sommes sur terre pour être heureux. Mais parle-t-on assez de bonheur ? ou encore :
Vers un modèle anthropologique de la pratique psychothérapeutique Afin de cerner le contexte relationnel qui préside à la consultation de thérapie systémique, je vais prendre comme point de départ ce qui me semble constituer l’interaction élémentaire caractéristique de la relation thérapeutique qui s’instaure entre le thérapeute et son client. Il s’agit, bien évidemment, d’une caricature, d’ins~piration rogerienne (Rogers, 1951), mais qui aurait le mérite de faire ressortir cer~taines des propriétés distinctives de cette situation que tout le monde reconnaît comme autrement plus complexe et subtile. Pour des raisons qui ne sont pas évidentes, la réponse du thérapeute, qui pourtant ne fait que répéter ce que lui communique le client sous une forme légèrement diffé~rente, a des effets bien au-delà de ce à quoi on pourrait normalement s’attendre. Poursuivons l’analogie avec le théâtre. L’efficacité de la présentation spectaculaire comme celle de la consultation thé~rapeutique repose en une large partie sur un processus de dédoublement virtuel.
Comment voyager sans rien, tout nu et sans le sou ? Guillaume et Nans Si vous pensez que voyager et vivre avec trois fois rien est impossible, vous vous trompez. La preuve est apportée en images sur France 5 avec la nouvelle série Nus et culottés : Nans et Mouts, partis en 2010 sans un sou ni un vêtement ont réussi à réaliser leurs rêves les plus fous. Comment ? Réponse ci-dessous. Voyager mieux avec moins Pour ne rien vous cacher, je connais un peu Guillaume Mouton (alias Mouts) : en 2008, il m'avait contactée alors qu'il partait pour un voyage en Amérique, à la découverte des solutions alternatives développées sur ce continent. La bande annonce de la série documentaire réalisée par Bonne Pioche vous donnera un bon aperçu de leur périple : Echange, troc et générosité Pourquoi partir sans rien ? Ils s'en remettent donc à l’inconnu et font confiance à autrui, ne prévoient plus rien : ils voyageront en étant habillés, logés, nourris par des échanges reposant sur le troc et la générosité des personnes rencontrées. De vraies rencontres