Fidus Writer : un traitement de texte collaboratif en ligne pour l'enseignement supérieur Fidus Writer, qui vient de passer en "version 3.0", est un un traitement de texte collaboratif en ligne pour l'enseignement supérieur. Cet outil gratuit dans le "cloud" permet d’utiliser des citations et/ou des formules. L’éditeur de texte, permet à l’auteur de construire un contenu structuré sans l’aide de compétences techniques particulières. Il offre la possibilité de publier le texte sous différentes formats : site internet, journal et ebook (export au format HTML, EPUB, LateX). La principale différence entre Fidus Writer et d'autres outils d'écriture collaborative est son support de LaTeX, un système de composition utilisé pour formater et préparer les documents académiques. Quiconque familier avec Google Docs devrait se sentir à l'aise avec Fidus Writer. L'outil est gratuit et présente de nombreuses fonctionnalités intéressantes. La version 3.0 vient d'être mise en ligne (07/06/2016) - Béta 5 : Principales améliorations : anciennes mises à jour (01/2014) : Ecran :
rue89.nouvelobs Tristan Harris a été le « philosophe produit » de Google pendant trois ans. Ça vous laisse perplexe ? Nous aussi, au début. On a découvert cet ingénieur informatique américain formé à Stanford via un post de Medium passionnant titré « Comment la technologie pirate l’esprit des gens ». Concrètement, Facebook a intérêt à ce qu’on scrolle son fil d’actu toute la journée, et pour ça, il nous détourne de notre intention initiale. Tristan Harris a créé un label, Time Well Spent, pour faire en sorte que les technologies nous redonnent du pouvoir au lieu de nous transformer en zombies boulimiques de notifications et de flux d’infos. Merci, votre inscription a bien été prise en compte. Tristan Harris à TedX Bruxelles - TedX Rue89 : En tant que jeunes urbains connectés, on a quelquefois cette sensation d’étouffer de technologie, au point de vouloir parfois jeter nos smartphones par la fenêtre. Mais est-ce que c’est si grave, pour toi ? Ça nous rend vraiment fou, en fait (rire). C’est vrai. Un peu.
Connected travel diaries - Memotrips RSLN | Blockchain : de quoi parle-t-on ? Nous n’en sommes pas encore au stade de remplacer les fonctions traditionnelles de l’Etat, comme la gestion des élections par exemple – la Blockchain est une technologie qui n’est pas encore assez mature -, mais certains pays, tels que l’Estonie et les Honduras sont déjà en train d’expérimenter avec les Blockchains au niveau des cadastres publics notamment, car cela présente une alternative incorruptible et décentralisée à tout ce qui demande le stockage sécurisé de données. Blockchain Ensuite, l’intérêt pour la Blockchain varie selon les profils : les cypherpunks ou les libertariens sont intéressés par le fait qu’elle permet de simuler de façon technologique des mécanismes qui n’existent aujourd’hui que grâce au droit ; et donc, de s’en passer. C’est antagonique aux idéaux libertariens soulevés par Bitcoin, mais les opportunités fournies la Blockchain s’étendent quand même bien au-delà de ces idéaux.
Accueil | Portail de la Médiation numérique Le sigle MOOC à la loupe Dans le dernier billet, je vous avais promis que nous reviendrions sur la définition du terme MOOC en décomposant le sigle. Nous allons donc revenir aujourd’hui sur la signification des termes Massif, Open, Online et Course. Si je me suis déjà prêté à l’exercice il y a longtemps dans le cadre d’un billet assez court, je vous propose aujourd’hui de renouveler l’exercice dans un esprit un peu plus académique. Le terme Massif, pour Massive, a le défaut d’imposer une part d’arbitraire. Il est d’ailleurs impossible de savoir en amont du lancement du cours si celui-ci attirera ou non une audience massive. Le terme Open pose un certain nombre de problèmes de traduction ; il n’a pas la même signification selon la perspective que l’on adopte. Le O correspond donc davantage au Open de Open Registration (Daniel, 2012). Nous n’insisterons pas outre mesure sur le terme Online car il présente moins d’ambiguïté. Le terme Course pose également un certain nombre de problèmes de définition.
L’aide aux devoirs en ligne : un réel bénéfice pour les élèves ? D’après le rapport PISA (2012), la plupart des élèves de 15 ans consacrent une partie de leur temps à faire leurs devoirs après la journée d’école, mais ce temps a néanmoins diminué entre 2003 et 2012. Les élèves issus de familles CSP+ et ceux qui fréquentent un établissement favorisé sur le plan socio-économique consacrent en général davantage de temps aux devoirs. La quantité de devoirs donnés aux élèves est associée à la performance en mathématiques des élèves et des établissements, mais d’autres facteurs influent davantage sur la performance globale des systèmes d’éducation. Les devoirs améliorent l’apprentissage mais ils sont susceptibles de creuser les inégalités socio-économiques dans les résultats des élèves. L’accompagnement personnalisé (AP) au collège et au lycée : Au collège : Au lycée : Du côté du lycée, les équipes pédagogiques mettent progressivement en œuvre l'accompagnement personnalisé depuis la rentrée 2010. Expérimentations de l’accompagnement personnalisé en ligne :
Dominique Cardon : "Nous devons nous armer d’une culture critique des algorithmes" Politique, environnement, médecine... Il ne se passe plus une journée sans que nous n'entrions en interaction avec un algorithme, bien souvent sans même nous en rendre compte. Méconnus, ces rouages façonnent pourtant le Web d'aujourd'hui. Entre code informatique et mathématiques, les algorithmes sont l'objet de nombreux fantasmes, du fait notamment du secret qui entoure leur conception. Sociologue reconnu pour ses travaux sur les enjeux politiques d'Internet, Dominique Cardon interroge dans son nouvel essai ces algorithmes qui rythment notre quotidien. Entre politisation et big data, il milite pour « ouvrir la boîte noire » des algorithmes. Pourquoi ouvrir la « boîte noire » des algorithmes ? Dominique Cardon : Il faut « ouvrir la boîte noire » des algorithmes et ne pas se laisser intimider par la complexité de ces technologies, non pas pour en décoder les raffinements statistiques, mais pour comprendre le genre de monde qu’elles fabriquent. Concrètement, comment l'ouvrir ?
Planifier vos réunions en quelques clics avec Straw Poll Comme ses confrères Framadate ou Doodle, Straw Poll vous propose de planifier vos réunions avec vos collègues, amis, parents d'élèves via un outil gratuit. Straw Poll est un service en ligne permettant de planifier un rendez-vous rapidement et simplement. Aucune inscription préalable n'est nécessaire. Ce système permet d'eviter un grand nombre d’aller-retours par messagerie électronique. Rien de plus simple, avec Straw Poll dont l'interface ressemble à un "post-it", il suffit de saisir un titre et les choix possibles. Aperçu : Au niveau des options : - Gestion des réponses multiples : Duplication IP Vérification : Les votes en doubles seront rejetés sur la base de l'adresse IP de l'utilisateur.Browser Cookie Duplication Vérification : Les votes en doubles seront rejetés sur la base du navigateur de l'utilisateur, permettant à plusieurs votes de la même adresse IP.Non Duplication Vérification - Les utilisateurs peuvent voter autant de fois qu'ils veulent.
Le Nyan Cat appartient au public : un mème n’est pas une marque Les noms de Charlie Schmidt et Orlando Torres ne vous disent sans doute rien, mais ces personnes sont à l’origine de deux des mèmes les plus célèbres de l’histoire d’Internet, à savoir le Keyboard Cat et le Nyan Cat. Ils ont attaqué en justice la semaine dernière Warner Bros et 5th Cell pour avoir fait apparaître leurs créations comme des personnages dans le jeu vidéo Scribblenauts. L’auteur du Nyan Cat explique sa décision par le fait qu’il n’est pas d’accord avec l’usage commercial qui a été fait de sa création : Je n’ai jamais tenté d’empêcher les gens de faire des créations qui contribuent artistiquement et ne sont pas à but lucratif. Mais il s’agit d’un usage commercial, et ces entreprises elles-mêmes sont les protectrices de leur propre propriété intellectuelle Les deux plaignants ont en effet enregistré des copyrights et des marques sur le Nyan Cat et le Keyboard Cat, qu’ils comparent avec le logo de Warner Bros : Ce qui définit un mème est la transmission de personne en personne.
Marque, est-ce que tu mème ? | DISKO Rappel : sur la planète Internet, un mème est un élément qui reprend ou détourne une création d’origine. Drôle, stupide, satirique, en vidéo, photo, gif… le mème peut prendre n’importe quelle forme. Tout le monde se souvient du clip de Psy et ses multiples détournements, la déferlante Harlem Shake, les parodies sur Miley Cyrus et sa boule, ou plus récemment, les différentes versions de « 10 hours of walking in NYC… », la photo de Kim Kardashian dénudée… Mais pour une marque, le mème, ami ou ennemi ? Les marques souhaitent toutes obtenir une telle puissance virale. Quand celles-ci réalisent leur propre mème, c’est le plus souvent pour profiter d’un buzz déjà présent. Généralement, le processus est plutôt inverse : ce sont les publicités qui font l’objet de mèmes des internautes, pour le meilleur… et pour le pire. Le mème, ce boomerang incontrôlable ? Pas forcément. Le FAIL : Un mème : Le mème parodique d’Orangina : La réponse de La Redoute : Le Graal digital This is Social Power
Le « mème » Internet Doge est devenu une marque Cette photo d'un chien japonais, objet de centaines de milliers de détournements en ligne, a été rachetée par une entreprise américaine. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Grégor Brandy (Journaliste) C'est une histoire tellement absurde qu'elle en devient sérieuse. Il y a quelques semaines, une entreprise du nom d'Ultra Pro International LLC a racheté la photo d'un mème, un élément de la culture Internet. Lire : Le mème, ou l'art du détournement humoristique sur Internet Le 16 mai 2014, elle demandait à ce que le nom « doge » devienne une marque déposée pour contrôler la distribution de vêtements qui pourraient lui être associée. Un doge, puisque c’est cela dont on parle, c’est ce chien, un shiba devenu source de détournements ironiques : Tout a donc commencé avec cette série de photos. Oui, c’est stupide, mais comme le précise Kyle Chaika sur The Verge, « le mème Doge est un exemple parfait de ce qui rend la culture Internet si géniale. Principal point du débat : le nom. Wow.
Le mème, ou l'art du détournement humoristique sur Internet Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Damien Leloup Cela peut commencer avec à peu près n'importe quoi. Une photographie, une citation dans une série télévisée, un dessin, une vidéo… Quelque part sur Internet, quelqu'un y ajoute une dose d'humour, parfois absurde, et le tout est largement diffusé, modifié à nouveau, amplifié : un mème est né. Le mot, inspiré du grec ancien, a été inventé par le biologiste et spécialiste du comportement animal Richard Dawkins dans les années 1970. La définition de Dawkins est large, et peut s'appliquer à presque toutes les productions de l'esprit humain. Exemple récent – et encore en cours de développement : l'ours volant. L'écrasante majorité des mèmes est basée sur la simple ironie, et s'appuie sur une situation cocasse, un dessin amusant, une blague connue ou se moque d'un adolescent dans une situation ridicule. L'équipe de Know your Meme décrypte le 'Ridiculously photogenic guy', dont la photographie a fait l'objet de centaines de détournements.
About | The Pirate Book Introduction by Marie Lechner, journalist & researcher The Pirate Book by Nicolas Maigret and Maria Roszkowska is both a visual essay and anthology, written in the wake of the Jolly Roger’s infamous skull and crossbones and compiled during its journey across the four corners of the world. The term piracy more generally designated the unauthorized usage or reproduction of copyright or patent-protected material. The concept of intellectual piracy is inherited from the English Revolution (1660 – 80) and, more specifically, from the book trade. The article “Piracy, Creativity and Infrastructure: Rethinking Access to Culture,” in which the Indian legal expert Lawrence Liang situates the issue of the piracy of cultural artefacts in emerging economies, also rejects the narrow view of piracy as a solely illicit activity and goes on to depict it as an infrastructure providing access to culture.