rue89.nouvelobs Tristan Harris a été le « philosophe produit » de Google pendant trois ans. Ça vous laisse perplexe ? Nous aussi, au début. On a découvert cet ingénieur informatique américain formé à Stanford via un post de Medium passionnant titré « Comment la technologie pirate l’esprit des gens ». Concrètement, Facebook a intérêt à ce qu’on scrolle son fil d’actu toute la journée, et pour ça, il nous détourne de notre intention initiale. Tristan Harris a créé un label, Time Well Spent, pour faire en sorte que les technologies nous redonnent du pouvoir au lieu de nous transformer en zombies boulimiques de notifications et de flux d’infos. Merci, votre inscription a bien été prise en compte. Tristan Harris à TedX Bruxelles - TedX Rue89 : En tant que jeunes urbains connectés, on a quelquefois cette sensation d’étouffer de technologie, au point de vouloir parfois jeter nos smartphones par la fenêtre. Mais est-ce que c’est si grave, pour toi ? Ça nous rend vraiment fou, en fait (rire). C’est vrai. Un peu.
RSLN | Blockchain : de quoi parle-t-on ? Nous n’en sommes pas encore au stade de remplacer les fonctions traditionnelles de l’Etat, comme la gestion des élections par exemple – la Blockchain est une technologie qui n’est pas encore assez mature -, mais certains pays, tels que l’Estonie et les Honduras sont déjà en train d’expérimenter avec les Blockchains au niveau des cadastres publics notamment, car cela présente une alternative incorruptible et décentralisée à tout ce qui demande le stockage sécurisé de données. Blockchain Ensuite, l’intérêt pour la Blockchain varie selon les profils : les cypherpunks ou les libertariens sont intéressés par le fait qu’elle permet de simuler de façon technologique des mécanismes qui n’existent aujourd’hui que grâce au droit ; et donc, de s’en passer. C’est antagonique aux idéaux libertariens soulevés par Bitcoin, mais les opportunités fournies la Blockchain s’étendent quand même bien au-delà de ces idéaux.
Le sigle MOOC à la loupe Dans le dernier billet, je vous avais promis que nous reviendrions sur la définition du terme MOOC en décomposant le sigle. Nous allons donc revenir aujourd’hui sur la signification des termes Massif, Open, Online et Course. Si je me suis déjà prêté à l’exercice il y a longtemps dans le cadre d’un billet assez court, je vous propose aujourd’hui de renouveler l’exercice dans un esprit un peu plus académique. Le terme Massif, pour Massive, a le défaut d’imposer une part d’arbitraire. Il est d’ailleurs impossible de savoir en amont du lancement du cours si celui-ci attirera ou non une audience massive. Le terme Open pose un certain nombre de problèmes de traduction ; il n’a pas la même signification selon la perspective que l’on adopte. Le O correspond donc davantage au Open de Open Registration (Daniel, 2012). Nous n’insisterons pas outre mesure sur le terme Online car il présente moins d’ambiguïté. Le terme Course pose également un certain nombre de problèmes de définition.
Dominique Cardon : "Nous devons nous armer d’une culture critique des algorithmes" Politique, environnement, médecine... Il ne se passe plus une journée sans que nous n'entrions en interaction avec un algorithme, bien souvent sans même nous en rendre compte. Méconnus, ces rouages façonnent pourtant le Web d'aujourd'hui. Entre code informatique et mathématiques, les algorithmes sont l'objet de nombreux fantasmes, du fait notamment du secret qui entoure leur conception. Sociologue reconnu pour ses travaux sur les enjeux politiques d'Internet, Dominique Cardon interroge dans son nouvel essai ces algorithmes qui rythment notre quotidien. Entre politisation et big data, il milite pour « ouvrir la boîte noire » des algorithmes. Pourquoi ouvrir la « boîte noire » des algorithmes ? Dominique Cardon : Il faut « ouvrir la boîte noire » des algorithmes et ne pas se laisser intimider par la complexité de ces technologies, non pas pour en décoder les raffinements statistiques, mais pour comprendre le genre de monde qu’elles fabriquent. Concrètement, comment l'ouvrir ?
Le Nyan Cat appartient au public : un mème n’est pas une marque Les noms de Charlie Schmidt et Orlando Torres ne vous disent sans doute rien, mais ces personnes sont à l’origine de deux des mèmes les plus célèbres de l’histoire d’Internet, à savoir le Keyboard Cat et le Nyan Cat. Ils ont attaqué en justice la semaine dernière Warner Bros et 5th Cell pour avoir fait apparaître leurs créations comme des personnages dans le jeu vidéo Scribblenauts. L’auteur du Nyan Cat explique sa décision par le fait qu’il n’est pas d’accord avec l’usage commercial qui a été fait de sa création : Je n’ai jamais tenté d’empêcher les gens de faire des créations qui contribuent artistiquement et ne sont pas à but lucratif. Mais il s’agit d’un usage commercial, et ces entreprises elles-mêmes sont les protectrices de leur propre propriété intellectuelle Les deux plaignants ont en effet enregistré des copyrights et des marques sur le Nyan Cat et le Keyboard Cat, qu’ils comparent avec le logo de Warner Bros : Ce qui définit un mème est la transmission de personne en personne.
Marque, est-ce que tu mème ? | DISKO Rappel : sur la planète Internet, un mème est un élément qui reprend ou détourne une création d’origine. Drôle, stupide, satirique, en vidéo, photo, gif… le mème peut prendre n’importe quelle forme. Tout le monde se souvient du clip de Psy et ses multiples détournements, la déferlante Harlem Shake, les parodies sur Miley Cyrus et sa boule, ou plus récemment, les différentes versions de « 10 hours of walking in NYC… », la photo de Kim Kardashian dénudée… Mais pour une marque, le mème, ami ou ennemi ? Les marques souhaitent toutes obtenir une telle puissance virale. Quand celles-ci réalisent leur propre mème, c’est le plus souvent pour profiter d’un buzz déjà présent. Généralement, le processus est plutôt inverse : ce sont les publicités qui font l’objet de mèmes des internautes, pour le meilleur… et pour le pire. Le mème, ce boomerang incontrôlable ? Pas forcément. Le FAIL : Un mème : Le mème parodique d’Orangina : La réponse de La Redoute : Le Graal digital This is Social Power
Le « mème » Internet Doge est devenu une marque Cette photo d'un chien japonais, objet de centaines de milliers de détournements en ligne, a été rachetée par une entreprise américaine. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Grégor Brandy (Journaliste) C'est une histoire tellement absurde qu'elle en devient sérieuse. Il y a quelques semaines, une entreprise du nom d'Ultra Pro International LLC a racheté la photo d'un mème, un élément de la culture Internet. Lire : Le mème, ou l'art du détournement humoristique sur Internet Le 16 mai 2014, elle demandait à ce que le nom « doge » devienne une marque déposée pour contrôler la distribution de vêtements qui pourraient lui être associée. Un doge, puisque c’est cela dont on parle, c’est ce chien, un shiba devenu source de détournements ironiques : Tout a donc commencé avec cette série de photos. Oui, c’est stupide, mais comme le précise Kyle Chaika sur The Verge, « le mème Doge est un exemple parfait de ce qui rend la culture Internet si géniale. Principal point du débat : le nom. Wow.
Le mème, ou l'art du détournement humoristique sur Internet Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Damien Leloup Cela peut commencer avec à peu près n'importe quoi. Une photographie, une citation dans une série télévisée, un dessin, une vidéo… Quelque part sur Internet, quelqu'un y ajoute une dose d'humour, parfois absurde, et le tout est largement diffusé, modifié à nouveau, amplifié : un mème est né. Le mot, inspiré du grec ancien, a été inventé par le biologiste et spécialiste du comportement animal Richard Dawkins dans les années 1970. La définition de Dawkins est large, et peut s'appliquer à presque toutes les productions de l'esprit humain. Exemple récent – et encore en cours de développement : l'ours volant. L'écrasante majorité des mèmes est basée sur la simple ironie, et s'appuie sur une situation cocasse, un dessin amusant, une blague connue ou se moque d'un adolescent dans une situation ridicule. L'équipe de Know your Meme décrypte le 'Ridiculously photogenic guy', dont la photographie a fait l'objet de centaines de détournements.
About | The Pirate Book Introduction by Marie Lechner, journalist & researcher The Pirate Book by Nicolas Maigret and Maria Roszkowska is both a visual essay and anthology, written in the wake of the Jolly Roger’s infamous skull and crossbones and compiled during its journey across the four corners of the world. The term piracy more generally designated the unauthorized usage or reproduction of copyright or patent-protected material. The concept of intellectual piracy is inherited from the English Revolution (1660 – 80) and, more specifically, from the book trade. The article “Piracy, Creativity and Infrastructure: Rethinking Access to Culture,” in which the Indian legal expert Lawrence Liang situates the issue of the piracy of cultural artefacts in emerging economies, also rejects the narrow view of piracy as a solely illicit activity and goes on to depict it as an infrastructure providing access to culture.
Erreur 451 : le nouveau code signalant la censure sur internet Contre le piratage, le terrorisme, pour les intérêts économiques... Ces dernières années de nombreux Etats, dont la France, ont adopté des lois menant à la censure sur internet. Ce n'était pas prévu par les standards... jusqu'à présent. Un nouveau code d'erreur vient effectivement d'être approuvé. Lorsqu'on navigue sur internet, on est parfois confronté à des erreurs, sous forme de codes. La plus connue est l'erreur 404, qui indique que la ressource demandée (le plus souvent une page web) est introuvable. Faute de mieux, certains fournisseurs d'accès à internet on choisi de renvoyer le code 403 lorsque leurs internautes réclament une page censurée à la demande des autorités. Des acteurs des standards du web qui préfèreraient exposer la censure ont alors porté la création d'un nouveau « code de statut HTTP pour signaler des obstacles juridiques ».
List of HTTP status codes Response codes of the Hypertext Transfer Protocol The Internet Assigned Numbers Authority (IANA) maintains the official registry of HTTP status codes.[1] All HTTP response status codes are separated into five classes or categories. 1xx informational response – the request was received, continuing process2xx successful – the request was successfully received, understood, and accepted3xx redirection – further action needs to be taken in order to complete the request4xx client error – the request contains bad syntax or cannot be fulfilled5xx server error – the server failed to fulfil an apparently valid request 1xx informational response An informational response indicates that the request was received and understood. 100 Continue 101 Switching Protocols The requester has asked the server to switch protocols and the server has agreed to do so. 102 Processing (WebDAV; RFC 2518) A WebDAV request may contain many sub-requests involving file operations, requiring a long time to complete the request.
Dear Sister Parodies / "Mmm Whatcha' Say" About “Dear Sister” Parodies, sometimes referred to as “MMM Whatcha Say,” are a series of YouTube videos that overdramatize a murder scene from a TV show or film by using slow-motion effect and Imogen Heap’s 2005 folktronica pop song “Hide and Seek.” The meme was inspired by an episode of SNL Digital Short titled “The Shooting,” which in itself is a parody of the climactic scene from the season two finale of the American teen drama TV series The OC. Origin The season two finale of The OC, titled “The Dearly Beloved,” first aired on May 19th, 2005. In the episode’s final scene, Trey is fighting with Ryan (played by Ben McKenzie) as Marissa watches. SNL Digital Short Parody On April 14th, 2007, an SNL Digital Short titled “The Shooting” aired during an episode of Saturday Night Live. Spread On April 18th, 2007, YouTuber tubekatt uploaded a video titled “Dear Persian,” in which the famous This is Sparta scene from the action film 300 was set to “Hide and Seek.” Notable Examples Search Interest
Tumblr’s Meme Librarian has the best job on the Internet Amanda Brennan is Tumblr’s meme librarian in residence, pictured here with Pudge the Cat because, of course. (Hugo Martinez) Amanda Brennan is a librarian for the Internet. Brennan’s official job title is content and community associate at Tumblr, but everyone at the microblogging platform calls her their “meme librarian.” She spends her days on the front lines of an online meme’s creation, dissemination and, yes, inevitable death. As she explains it, “My community is the Internet.” Brennan’s career in meme librarianism began in graduate school at Rutgers, where she received a master’s in library science — the degree required to become a librarian. [You can delve deeper into all these memes with our insane timeline of every Tumblr meme from 2015] So — how exactly does one become a meme librarian? [2015’s best Tumblr memes were all about playing with language] A day in the life of a meme librarian When I was at Know Your Meme, I was doing physical cataloguing. So — why catalog memes anyway?
Mot de passe : la taille compte plus que la complexité Partager En matière de cybersécurité, les mots de passe sont l’objet de nombreux débats. Sont-ils amenés à disparaître ? Si oui, qu’est ce qui les remplacera ? Lequel de « Bjpdf54 » ou de « welovemacron » est le meilleur mot de passe ? Pour Maurizio Filippone, récemment arrivé à Eurecom, et Matteo Dell’Amico (aujourd’hui à Symantec après 6 ans à Eurecom), il s’agissait avant tout d’optimiser les indicateurs de force pour qu’ils donnent à l’utilisateur une idée juste de la sécurité offerte par le mot de passe. Mais actuellement « les meilleures techniques pour percer un mot de passe adoptent une approche probabiliste » écrivent les deux chercheurs. Filippone et Dell’Amico ont ainsi démontré que certaines attaques sont plus performantes pour les mots de passe puissants, mais sont moins efficaces que d’autres pour les petits mots de passe. Un mot de passe performant Certes, « welovemacron » est donc plus faible que « Bjpdf54 », qui nécessite dix fois plus de tentatives avant d’être trouvé.