Le numérique et les droits fondamentaux - Publication - 50 propositions du Conseil d'État pour mettre le numérique au service des droits individuels et de l’intérêt général. Neutralité d’internet, gouvernance, « droit à l’oubli », propriété des données, exploitation et agrégation en méga-données, rôle inédit des plateformes… Les bouleversements suscités par le numérique dans les domaines économiques, technologiques et sociaux interrogent tout particulièrement les repères juridiques habituellement reconnus. S’ils ouvrent de nouveaux espaces de libertés, il sont aussi porteurs de risques pour celles-ci. Dans quelle mesure la protection des droits fondamentaux nécessite-t-elle d’être repensée dans ce contexte nouveau ? Le Conseil d’État expose d’abord comment l’essor du numérique a déjà suscité la reconnaissance de nouveaux droits et libertés fondamentaux et modifié leurs conditions d’exercice. 1 - Repenser les principes fondant la protection des droits fondamentaux (propositions 1 à 3) : > lire le dossier de presse
Triptyque_conseil_vie_numerique_internet.pdf Anonymous (collectif) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Avec la popularité grandissante des imageboards, l'idée qu'Anonymous soit un collectif d'individus non nommés est devenue un mème internet[8],[9]. Le 25 novembre 2006, plusieurs mentions de la communauté Anonymous sont faites dans le manifeste « Rules of the Internet »[10] édité sur 4chan. La notoriété du nom a réellement débuté en 2008 avec le Projet Chanology (une série d'attaques informatique visant l'église de scientologie). Par la suite, le sens original d'Anonymous a été mal compris, notamment dans l'affaire Sony, où les grands médias ont pu en parler comme d'un groupe restreint de personnes bien identifiées et organisées, alors qu'il s'agit en fait d'un mème et que n'importe qui peut se revendiquer « Anonymous ». Anonymous représente largement le concept de chacun et tous comme un collectif sans nom. Mais les Anonymous n'agissent pas que sur le web. Membres d'Anonymous, New York, à l'occupation de Wall Street.
Panorama des médias sociaux 2013 / The english version of this article can be found here: Social Media Landscape 2013 / Comme chaque année depuis maintenant 5 ans, je vous propose un panorama des médias sociaux (voir les éditions 2008, 2009, 2011 et 2012). Je pense ne rien vous apprendre en disant que les médias sociaux font maintenant partie du quotidien des internautes, des marques, des organisations et des médias (journalistes, célébrités, personnalités politiques…). Considérées avec un certain dédain à leurs débuts, des plateformes comme Wikipedia ou Twitter ont complètement modifié notre façon de consommer et d’interagir avec l’information. Ceci étant dit, ce résumé ne traduit pas convenablement les innombrables évolutions des ces plateformes et des usages qu’elles engendrent. Quelles tendances pour 2013 ? Comme cela a été dit plus haut, les médias sociaux sont un écosystème en perpétuelle évolution : des services se créent, d’autres disparaissent et la plupart se transforment. Panorama des médias sociaux en 2013
Liberté d’expression et ses limites | Internet responsable Page mise à jour le 04 octobre 2016 En France, la liberté d’expression est consacrée par l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. En revanche, la liberté d’expression n’est pas un droit absolu et elle se trouve affectée de nombreuses limites que les internautes ne doivent pas ignorer. Présentation La liberté d’expression est un droit fondamental. Il n’est donc pas ici question de brider la liberté d’expression de quiconque, enseignant, personnel non enseignant, chef d’établissement, élève ou parent, mais d’effectuer un rappel des limites fixées par la loi. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 énonce : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme, tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. » Le principe est ainsi posé mais encore faut-il connaître les limites. Illustration En savoir plus...
Anonymous. Qui sont-ils ? Que font-ils ? Anonymous - Cliquez sur l'infographie pour l'agrandir. Transcription Anonymous. Anonymous est une communauté d’humains où tous s’expriment en utilisant un seul et même pseudonyme : Anonymous. Ce principe a notamment été popularisé par le site 4chan qui, de surcroît, ne conserve les adresses des visiteurs que sur un temps très court. Que font-ils ? 90 % : Le « Lulz » : Partager du LOL, de l’humour principalement à l’aide des images et des vidéos. 10% : Hacktivisme = Hacker + Activisme Les « Hacktivistes » d’Anonymous Un slogan : « We are Anonymous. Une cause : Protéger les droits de l’homme et notamment la liberté d’expression Des armes : Diffuser l’information, Rendre indisponible un site Internet en le saturant de demandes de connexion (connue sous le nom d’attaque DDOS) Des cibles : Église de Scientologie, Tunisie, Égypte, Hadopi… Parmi ces 10% d’activistes, 10 % font parti de Lulzsec (chiffre plus qu’approximatif). Les « Hacktivistes Black Hat » d’Anonymous en bref Sources C.
Les enfants « dyspraxiques », poissons-pilotes du numérique ? Cet article est le fruit de la collaboration entre Jean-Marc Roosz (Président d’Ecole2demain) et Philippe Liotard (Université Lyon 1) qui ont accepté d’apporter leur contribution à Actualitice à propos de la notion de dyspraxie. En effet, la popularisation du terme « Dys », peu signifiant, a rapidement provoqué une occultation de ce qu’il était censé signifier. Il renvoie à des troubles cognitifs qui perturbent les apprentissages spécifiques et génèrent des situations de handicap réelles (Dyspraxie, Dysphasie, Dyslexie, TDAH…) qui touchent des personnes elles aussi bien réelles. Le potentiel de l’éducation numérique permet de développer des dispositifs facilitants qui enrichissent, par la suite, l’expérience d’apprentissage pour tous les élèves. Le terme de « dys » se popularise et se galvaude presque. Le numérique et les Tice facilitent l’apprentissage Le potentiel du numérique et des TICE est venu proposer d’arrêter ce supplice. Des expérimentations et des associations ouvrent la voie
I. La justice est une institution qui veille au respect... Jeu viral: Pokémon Go LE phénomène numérique de l'été serait déjà sur le déclin Vous faites peut-être partie des millions de personnes qui avez, une fois ou l'autre planté votre nez sur votre smartphone à la recherche d'un monstre tout droit tiré d'un dessin animé japonais. Ça s'appelle "Pokemon Go" et c'est un jeu qui a rencontré un succès à la fois phénoménal, inattendu et planétaire. Lancé début juillet, il a vu son nombre d'utilisateurs quotidien grimper très rapidement à près de 45 millions d'individus scotchés à leur écran. Un mois plus tard, ils étaient 15 millions de moins. Le nombre de joueurs reste très important, avec 30 millions d'accros, mais la baisse est significative: -30%, rapporte le site Bloomberg Markets. Selon les spécialistes, ce déclin rassure de nombreux investisseurs qui ont misé sur Facebook, Snapchat, Instagram, Tinder ou Twitter. Si cette chute devait se poursuivre, cela pourrait signifier la fin du phénomène Pokemon Go, mais aussi représenter un sérieux coup de frein à ce type de jeu utilisant la réalité augmentée.
Michel Serres - L'innovation et le numérique - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne La révolution numérique en cours aura selon Michel Serres des effets au moins aussi considérables qu’en leur temps l’invention de l’écriture puis celle de l’imprimerie. Les notions de temps et d’espace en sont totalement transformées. Les façons d’accéder à la connaissance profondément modifiées. A cet égard, chaque grande rupture dans l’histoire de l’humanité conduit à priver l’homme de facultés ("l’homme perd") mais chaque révolution lui en apporte de nouvelles ("l’homme gagne"). A la part de mémoire et de capacité mentale de traitement de l’information qu’il perd avec la diffusion généralisée des technologies numériques, l’homme gagne une possibilité nouvelle de mise en relation (d’individus, de groupes et de réseaux, de savoirs) mais aussi une faculté décuplée d’invention et de création.
▶ La Définition du Marketing Viral selon Seth Godin Qu’est ce que le marketing viral ? J’ai décidé de traduire un article de Seth Godin datant de 2008 mais tout à fait d’actualité concernant le marketing viral et les erreurs les plus souvent commises par les marques et entreprises en ligne. Parce que rajouter un bouton Twitter ou Facebook à la fin d’un article n’est pas du marketing viral, le discours de Seth Godin explique clairement quelles sont les mécaniques qui permettent de profiter du bouche-à-oreille. Ces bons conseils pourraient vous aider tout autant à créer des produits et services (vraiment viraux) qu’à mieux comprendre ce qui peut faire votre succès sur les réseaux sociaux. Bonne lecture. Téléchargement gratuit :cliquez ici pour récupérer vos 13 guides pour gagner en visibilité et toutes les stratégies qui m'ont permis de passer de 0 à 125 000 visiteurs / mois en 1 an Le marketing viral : définition Qu’est ce que le marketing viral ? Quelque chose de viral n’est pas, en soi et de soi, du marketing viral. 1. 2. 3. 4. MAIS!
Syndicat National des Enseignements de Second degré PENSER ET EXERCER SON METIER Travailler et intervenir dans l’établissement Outre informer les familles (ou un éventuel remplaçant) de ce qui est fait en classe, communiquer aux élèves « empêchés » une partie de ce qu’ils ont manqué, évaluer pédagogiquement les enseignants, le CTN vise des objectifs moins explicites. On devine en lisant l’arrêté que le CTN devrait servir de « point central numérique » de l’enseignement, les cours y figurant in extenso, au mépris d’ailleurs de la protection des collègues du point de vue des droits d’auteurs. Se constituerait alors une masse de ressources pédagogiques, et l’acte d’enseignement s’appuierait essentiellement sur le CTN. C’est une vision très réductrice de ce que peut être le numérique dans l’enseignement. Outil ambigu L’organisation même du travail de l’enseignant est changée et contrainte : après le « visa » du chef d’établissement, pas moyen de compléter ce qui manquait ! L’accès par l’IPR peut aussi poser problème : l’enseignant doit parfois extraire lui-même les données pour le mettre à disposition de l’IPR.