Forces et faiblesses de la France sur le plan économique Mesurer les progrès de la France sur les plans économiques, sociaux et environnementaux, autrement qu'avec le Produit intérieur brut (PIB). C'est l'objectif affiché par le gouvernement, qui vient de détailler 10 indicateurs censés mieux appréhender les atouts de la France, et les points à améliorer, dans les domaines tels que l'emploi, l'éducation, la santé… Ce premier bilan est relativement mitigé : si l'Hexagone est au-dessus de la moyenne européenne dans la majorité des cas, notre pays fait rarement partie des tous meilleurs. Taux d'emploi : on est encore loin des Allemands Le taux d'emploi progresse depuis 2011 en France, sous l'effet des réformes des retraites successives qui obligent les seniors à travailler plus longtemps, et de l'augmentation du nombre de femmes ayant un job. R&D : il y a du chemin à faire avant d'atteindre l'objectif fixé par Bruxelles La part des dépenses consacrées à la R&D s'établissait à 2,3% du PIB en 2014. Dette publique : la France proche des cancres
Pratiques anticoncurrentielles: la Commission inflige à Qualcomm une amende de 997 millions d'euros pour abus de position dominante sur le marché La commissaire Margrethe Vestager, chargée de la politique de concurrence, a déclaré à ce propos: «Qualcomm a illégalement évincé ses concurrents du marché des chipsets de bande de base LTE pendant plus de cinq ans, consolidant ainsi sa position dominante sur le marché. L'entreprise a versé des milliards de dollars à un client majeur, Apple, pour que celui-ci ne s'approvisionne pas auprès de ses concurrents. Ces paiements n'étaient pas de simples réductions de prix, mais étaient effectués à la condition qu'Apple utilise exclusivement des chipsets de bande de base de Qualcomm dans tous ses iPhones et ses iPads. En conséquence, aucun concurrent n'a pu concurrencer efficacement Qualcomm sur ce marché, quelle que fût la qualité de ses produits. De par son comportement, Qualcomm a privé les consommateurs et d'autres entreprises d'un choix élargi et d'une plus grande innovation, alors que le secteur se caractérise par une forte demande et un fort potentiel pour les technologies innovantes.
Europe : l'accord de libre-échange avec le Canada approuvé Ses adversaires le jugent anti-démocratique, trop favorable aux multinationales, léger sur l'environnement ou encore dangereux pour l'agriculture européenne. Négocié pendant sept ans, cet épais document de plus de 1.600 pages - baptisé "Accord économique et commercial global (AECG)", en anglais CETA - supprimera, selon Bruxelles, plus de 99% des droits de douane avec Ottawa. Qu'est-ce que le CETA ? par journalsudouest Les principales dispositions ► Balance commerciale Il fera progresser de 25% le commerce de l'Union avec le Canada, son 12e partenaire commercial, faisant croître le PIB européen d'environ 12 milliards d'euros par an. ► Les AOC L'accord fournit aussi une protection supplémentaire à 143 origines géographiques spécifiques (AOC), dont 42 françaises, comme le "Roquefort", le "Saint-Nectaire" ou les "Pruneaux d'Agen". Le CETA créera un tribunal permanent, modernisé par rapport aux autres traités, composé de 15 juges professionnels nommés par l'UE et le Canada.
Obsolescence programmée : les coupables Charte déontologique - cFactuel Contexte : Depuis la loi de novembre 2016, chaque entreprise de presse doit disposer d’une charte déontologique à partir du 1er juillet 2017. Aucune sanction - pénale comme financière - n’est encourue en cas de non mise en place de la charte. La loi de novembre 2016 crée un droit d’opposition pour les journalistes. Ils peuvent refuser d’appliquer une consigne contraire à la Charte de l’entreprise. La loi ne donne pas obligation de la publier. Partie 1 : Principes généraux cFactuel est édité par cFactuel SAS, et reconnu service de presse en ligne sous le n° 0318 W 93023. Sa vocation première est, à travers le travail de ses journalistes, de délivrer une information de qualité, équilibrée, vérifiée et digne de confiance à ses lecteurs. 1/ Objet de la charte La présente charte a pour objectif de préciser les engagements, devoirs et principes qui régissent le fonctionnement de cFactuel. cFactuel juge ces conditions indispensables à son bon fonctionnement.
Groupe des sept (économie) Le Groupe des sept (G7) est un groupe de discussion et de partenariat économique de sept pays réputés en 1975[1] pour être les plus grandes puissances avancées du monde qui détiennent environ les 2/3 de la richesse nette mondiale[2],[3],[4] puis 45 % en 2019 : Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni. Le groupe rassemble 7 des 10 pays avec le plus important PIB du monde, avec l'absence notable de la Chine qui occupe le 2e rang, de l'Inde qui occupe le 6e rang et de la Corée du Sud qui occupe le 10e rang. Le sommet du G7 réunit chaque année les chefs d'État ou de gouvernement de ces pays, ainsi que les présidents de la Commission et du Conseil européens (ainsi que, pour certaines activités, des représentants d'autres pays ou d'autres unions internationales, invités à participer). Le G6 devient rapidement le G7 avec, en 1976, l'ajout du Canada sur demande germano-américaine. La Russie s'est définitivement retirée depuis 2017 après la suspension de 2014. Dirigeants
Groupe des vingt Lors du sommet du G20 de 2023, le Premier ministre indien, Narendra Modi, annonce que l'Union africaine a rejoint l'organisation, en faisant son 21e membre. Création[modifier | modifier le code] L'autre facteur d'extension du G8 (G7 + la Russie) est la baisse relative du poids économique dans le monde de ses membres. Le 15 novembre 2008, pour la première fois de son histoire et à l'initiative de Nicolas Sarkozy et de Gordon Brown[5], le G20 réunit ses chefs d'État et de gouvernement. Fareed Zakaria avance plusieurs raisons pour expliquer que, selon lui[6], « la gouvernance mondiale ne pourra évoluer qu'à travers le G20 » : d'une part, le Conseil de sécurité des Nations unies est paralysé par le droit de veto et ses missions pourraient être mieux remplies par le G20 assez représentatif des rapports de force mondiaux; d'autre part, si les États-Unis n'ont plus la force d'imposer seuls leurs vues, ils peuvent malgré tout par le biais de cette instance jouer un rôle positif de catalyseur.
Groupe des 77 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pays membres du G 77 en 2013. Le Groupe des 77 aux Nations unies est une coalition de pays en développement, conçue pour promouvoir les intérêts économiques et politiques collectifs de ses membres et créer une capacité de négociation accrue aux Nations unies[1]. Il symbolise l'engagement des Nations unies à promouvoir la démocratisation des relations internationales et en constitue un facteur essentiel[1]. Il s'agit d'unir tous les pays en développement afin que, en dépit de leur diversité, ils puissent peser sur les décisions internationales[2]. Créée par 77 pays, l'organisation a grandi et compte actuellement 134 pays membres [archive]. Histoire[modifier | modifier le code] Le groupe fut fondé le 15 janvier 1964 par la Déclaration commune des 77 pays à la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED). Membres[modifier | modifier le code] Présidence du groupe[modifier | modifier le code] Site officiel [archive]
Vers une gouvernance mondiale Appel du Collegium International, Genève, le 21 janvier 2014 Télécharger le pdf Le monde fait face à une conjonction de crises d'envergure mondiale sans précédent dans l’histoire : épuisement des ressources naturelles, atteintes à la biodiversité, bulles financières et faillites bancaires, déshumanisation du système économique, désagrégations sociales, accroissement des inégalités et de la précarité, montée des intolérances, contestation des élites politiques, famines, pénuries, pandémies virales... Cette évolution, qui s'est opérée dans un contexte d’incontrôlable expansion et de révolution technologique des communications, résulte pour une large part d'une crise majeure de la pensée et du sens et de la détérioration de la matrice des valeurs. La conscience planétaire n'est pas à la hauteur de ces défis quand bien même l'espèce humaine, menacée par elle-même, doit se protéger de l'autodestruction en se protégeant des forces déchaînées. Commentaire de Michel Rocard
Alternatives Economiques Education Ce dossier Web propose une sélection d'articles sur la mondialisation. Ce thème est au programme de l'épreuve de Questions contemporaines de l'Hexaconcours, pour l'entrée en première année dans les Instituts d'études politiques (IEP) d'Aix-en-Provence, Lille, Lyon, Rennes, Strasbourg, Toulouse et Saint-Germain-en-Laye. Histoire de la mondialisation Tout a débuté en septembre 1957... Suite à une initiative de la Banque d'Angleterre, la mondialisation contemporaine démarre avec l'expansion d'une finance peu contrôlée. En remontant jusqu'à la Chine des Tang Du capitalisme d'aujourd'hui aux Pays-Bas du XVIIe siècle et aux empires orientaux, économistes et historiens parcourent le temps pour rendre compte du phénomène dans toute sa complexité. L'histoire d'un mot Si le terme "mondialisation" ne s'est vraiment développé qu'à partir des années 1980, il a été employé en France dès 1904. L'unification écologique du monde Données clés de la mondialisation Qui écrit les règles de la mondialisation ?
Nouvelles - Allocutions - Roberto Azevêdo - Les accords commerciaux régionaux “ne peuvent pas se substituer” au système commercial multilatéral — Roberto Azevêdo Bonjour à tous. Je suis certain que vous avez passé une journée fructueuse à examiner cette question particulièrement complexe. Je suis heureux de cette occasion de pouvoir vous parler des ACR et des nombreuses questions transversales qu’ils soulèvent. Il est clair que les ACR ne sont pas un phénomène nouveau. En fait, ils ont précédé le système multilatéral car, dans un certain sens, ils ont jeté les bases de l’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce. On peut dire que le GATT incarnait la multilatéralisation du réseau d’accords commerciaux réciproques que les pays s’efforçaient de créer depuis quelques années. C’est ainsi que le système que nous connaissons aujourd’hui a ses racines dans ces accords - et nous avons toujours autorisé la conclusion de nouveaux accords. Ces initiatives ont donc leur importance: elles coexistent avec le système multilatéral et peuvent le renforcer de façon notable. Mais, bien sûr, les choses ont changé ces dernières années.
règlement des différends - portail Nouvelles > haut de page > Autres nouvelles sur le règlement des différends Règlement des différends à l’OMC: introduction haut de page Comment l’OMC règle-t-elle les différends? > Cours interactif: Règlement des différends à l'OMC > Vidéo: Règlement des différends à l’OMC, études de cas. > Consultations informelles du Secrétariat concernant les travaux des groupes spéciaux Fondement juridique > haut de page Le Mémorandum d’accord sur le règlement des différends est le principal accord de l’OMC régissant le règlement des différends. Règles de conduite relatives aux règles et procédures régissant le règlement des différends, adoptées en décembre 1996 Procédures de travail pour l’examen en appel L’Organe de règlement des différends > haut de page L’ORD est composé de tous les gouvernements Membres, habituellement représentés par des ambassadeurs ou des fonctionnaires de rang équivalent. Réflexions de Présidents sortants sur l'évolution de l'ORD: L’Organe d’appel > haut de page Liens > haut de page
Retour en arrière ou réinvention du commerce international ? Ce que nous réserve le coup d'arrêt au libre-échange décidé par le G20 Atlantico : Qu'est-ce que cette situation laisse supposer quant à l'avenir des échanges commerciaux dans le monde ? Fin du libre-échange, mercantilisme, protectionnisme... Quelles sont les évolutions qui vous semblent les plus probables ? Sylvie Matelly : Le président Trump ne s'est jamais affiché comme un fervent defenseur du libre-échange. C'était une nouveauté pour un pays qui au prétexte de sa "construction" et comme jeune nation au XIXe siècle puis de crise économique après 1929 avait plutôt été protectionniste. Ces annonces laissent donc penser effectivement un revirement de la politique commerciale américaine. Pour autant, la Chine ne cesse de réaffirmer son engagement multilatéral en matière de commerce international, nul doute qu'après l'échec de TTIP et les controverses autour du CETA, l'Union européenne va également choisir de réinvestir dans une politique commerciale multilatérale. atlantico sur facebook notre compte twitter Intéressé par cet auteur ? Lire ou relire plus tard
Au G20, pas de consensus sur le libre-échange A Baden-Baden, les Etats-Unis ont exprimé leur volonté de renégocier les accords de l’OMC. LE MONDE ECONOMIE | | Par Marie de Vergès (Baden-Baden, envoyée spéciale) Dans un monde dont la première puissance est aujourd’hui dirigée par un président convaincu que son pays s’est fait flouer par ses partenaires commerciaux, un constat s’impose : le traditionnel consensus des plus grandes économies en faveur du libre-échange et contre le protectionnisme appartient au passé. Donald Trump ne cesse de marteler sa position, aussi rhétorique soit-elle. Nulle meilleure enceinte pour l’observer que le sommet qui réunissait, vendredi 17 et samedi 18 mars, dans la station thermale de Baden-Baden (ouest de l’Allemagne), les grands argentiers du G20. « Certaines parties de l’OMC ne sont pas appliquées » Résultat ? Pour Washington, il s’agissait avant tout d’un enjeu de communication. M. Jeu de poker Lire aussi : A la réunion du G20, les Etats-Unis s’opposent à tous les autres pays sur le libre-échange
Brief.eco - Donald Trump, la Chine et le libre-échange Les États-Unis ont annoncé la semaine dernière plusieurs mesures restrictives visant particulièrement l’économie chinoise. Ces mesures – principalement une augmentation des droits de douane sur certains produits – reflètent une politique protectionniste qui cherche à protéger les entreprises américaines de la concurrence étrangère. Cette conception s’oppose à celle du libre-échange selon laquelle les pays sortent toujours gagnants de leur participation au commerce international. Le président américain, Donald Trump, a dénoncé jeudi les« pratiques commerciales déloyales » de la Chine et annoncé la publication d’une liste de produits importés, d’une valeur annuelle de 60 milliards de dollars, sur lesquels une augmentation des droits de douane (taxe sur les importations) est envisagée. Les différends entre les États-Unis et la Chine pourraient-ils être réglés au sein de l’OMC ? Quelles théories soutiennent le développement du commerce international ?