Hannah Arendt Signature Hannah Arendt, née Johanna Arendt[1] le 14 octobre 1906 à Hanovre et morte le 4 décembre 1975 dans l'Upper West Side (New York), est une politologue, philosophe et journaliste allemande naturalisée américaine, connue pour ses travaux sur l’activité politique, le totalitarisme, la modernité et la philosophie de l'histoire. Elle soulignait toutefois que sa vocation n'était pas la philosophie mais la théorie politique (« Mein Beruf ist politische Theorie »)[2]. C'est pourquoi elle se disait « politologue » (« political scientist »)[3] plutôt que philosophe. Son refus de la philosophie est notamment évoqué dans Condition de l'homme moderne où elle considère que « la majeure partie de la philosophie politique depuis Platon s'interpréterait aisément comme une série d'essais en vue de découvrir les fondements théoriques et les moyens pratiques d'une évasion définitive de la politique »[4]. Biographie[modifier | modifier le code] Vie et études en Allemagne[modifier | modifier le code]
Le jour où vous êtes mort Parfois, lorsque l’on veut agir, bouger, changer, se lancer, on a beaucoup d’hésitations. On voudrait commencer au bon moment. Sous les meilleurs auspices. Avec la bénédiction des dieux. En attendant, le temps lui, il s’écoule, seconde après seconde. Et vous ? Midi 20 J’ai déjà parlé de nombreuses fois de l’importance d’agir. Que faire dans ces cas-là ? Mais, il y a un cas où de nombreuses personnes finissent finalement par changer, en bien ou en pire d’ailleurs. J’ai donc choisi 3 exemples parmi de nombreux autres parce qu‘ils m’ont touché. La dernière leçon Randy Pausch était un professeur de l’université Carnegie-Mellon aux États-Unis, marié et père de 3 jeunes enfants. Randy Pausch n’était âgé que de 46 ans. Cette dernière conférence, qui heureusement fut filmée, vous pouvez la découvrir sur YouTube. Ainsi, avant son décès, cet universitaire qui aurait pu se laisser sombrer dans le désespoir – comment lui en vouloir ? Le génie au bout des doigts Pourquoi attendre alors ? Midi 21
Henri Lefebvre Henri Lefebvre en 1971. Œuvres principales La vie quotidienne dans le monde moderne (1968)Le droit à la ville (1968)Du rural à l'urbain (1970)La révolution urbaine (1970)La production de l'espace (1974) Compléments Henri Lefebvre, né le 16 juin 1901 à Hagetmau et mort le 29 juin 1991 à Pau, est un philosophe français. Biographie[modifier | modifier le code] Des années 1920 à la Libération[modifier | modifier le code] Il rejoint la Résistance[Note 1], ayant rang de capitaine FFI. De 1944 à 1947, il est le directeur de la station de Toulouse de la Radio-diffusion française (RDF)[Note 2]. De la philosophie à la sociologie, un des « maîtres à penser » d'une génération[modifier | modifier le code] En 1947, il réintègre l'enseignement à Toulouse. Il participe alors au groupe L’Étincelle, aux côtés notamment de François Châtelet, Anatole Kopp et Yves Cachin. En 1962, il devient professeur de sociologie à l'Université de Strasbourg, puis à l'Université de Paris X-Nanterre à partir de 1965.
L'Université des Va-nu-pieds, une autre façon pour acquérir des compétences Vous rêvez de changement professionnel, mais vous n’avez aucun diplôme ? Vos professeurs vous ont toujours dit que vous n’étiez pas brillant ou pire que vous ne seriez jamais bon à rien… Vous êtes saturé d’informations qui vous dictent ce que vous devez faire et comment le faire jusqu’à ne plus savoir où vous en êtes. Les peurs s’installent, les résistances s’organisent et rien que l’idée de changer vous paralyse. Pourtant, si vous en avez assez de votre job actuel, il n’y a que deux solutions possibles. Persister, de la même manière au prix de votre santé… ou changer de point de vue, soit en acceptant les évolutions en cours, soit en changeant d’emploi, de métier ou d’environnement. Pourquoi laisseriez-vous «les autres» (les journaux, les politiciens, vos patrons, la crise, vos voisins… c’est-à-dire tout le monde… donc personne… ) décider à votre place des changements professionnels à effectuer. Quel est le rôle de l’apprentissage dans tout cela ? Le principe de cette école :
Arthur Schopenhauer Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Arthur Schopenhauer Philosophe allemand Époque moderne Arthur Schopenhauer écouter [ˈartʊr ʃoːpʰœnhoːwøʁ] est un philosophe allemand, né le à Dantzig en Prusse, mort le à Francfort-sur-le-Main. Biographie[modifier | modifier le code] Né le à Dantzig, Arthur est le fruit du mariage célébré en 1785 entre Johanna Henriette Trosiener, âgée alors de 19 ans, et de Henri Floris Schopenhauer qui en a 38. Dantzig, ul. Portrait de jeunesse de Schopenhauer. Après ses études classiques qui l’ont familiarisé avec l’Antiquité, il s’inscrit en 1809 à l’université de Goettingue (Göttingen) où il rencontre Heinrich Reiss. En 1813, il soutient donc sa grande thèse dont le titre exact est De la Quadruple Racine du principe de raison suffisante à l'université d'Iéna. Il fait une dépression en 1823. Arthur Schopenhauer, de constitution robuste, voit sa santé commencer à se détériorer en 1860. Situation de sa philosophie[modifier | modifier le code]
L’erreur n’est pas une faute ! L’un des pires reproches que l’on peut faire à l’école traditionnelle, c’est de très mal gérer l’erreur : – on interroge souvent l’enfant sur des sujets qu’on ne lui a pas appris (la dictée !), – on le culpabilise quand il ne connaît pas la réponse (une erreur est appelée une faute), – on le sanctionne pour ses erreurs (mauvaise note, comparaison avec ses camarades “qui connaissent la réponse, eux !”, ironie dans le pire des cas), – on finit par l’inhiber tellement qu’il préfère se taire ou dire qu’il ne sait pas plutôt que de risquer de donner une réponse qui ne convient pas. L’erreur est productive Prenons l’exemple d’un labo de recherche. Dans les apprentissages, c’est la même chose. Justement, c’est en tombant qu’on apprend à ne plus tomber… et qu’on s’en souvient car on a mal aux fesses. Tout le monde à droit à l’erreur Dans une classe ou dans toute situation d’apprentissage, le droit à l’erreur est donc très important. L’auto-correction et l’auto-évaluation Source: Montessori-Freinet.com
Eloge de la lenteur: Amazon.fr: Carl Honoré Vidéos pour apprendre le développement durable Vidéos pour apprendre le développement durable Le développement durable illustré propose de courtes vidéos engageantes pour apprendre et enseigner les principes du développement durable. Notre but est de changer le monde en rendant les meilleures leçons du développement durable accessibles à tous gratuitement dans un format vidéo souple et attrayant. Vous voulez rejoindre notre communauté ?! Abonnez-vous à notre lettre, devenez donateur, contactez-nous et suivez-nous sur Facebook et Twitter pour des nouveaux outils graphiques chaque jour.
Critique de la raison pure/Esthétique transcendantale La bibliothèque libre. § 1er De quelque manière et par quelque moyen qu'une connaissance puisse se rapporter à des objets, le mode par lequel la connaissance se rapporte immédiatement à des objets et que toute pensée se propose comme moyen, est l'intuition[1]. Mais l'intuition n'a lieu qu'autant qu'un objet nous est donné, et, à son tour, un objet ne peut nous être donné qu'à la condition d'affecter l'esprit d'une certaine manière. La capacité de recevoir (la réceptivité) des représentations[2] des objets par la manière dont ils nous affectent, s'appelle sensibilité. L'effet d'un objet sur la capacité de représentation[4], en tant que nous sommes affectés par lui, est la sensation. Ce qui, dans le phénomène, correspond à la sensation, je l'appelle la matière de ce phénomène ; mais ce qui fait que ce qu'il y a en lui de divers[6] peut être ordonné suivant certains rapports, je le nomme la forme du phénomène. De l'espace Exposition métaphysique du concept de l'espace. 1. 2. 3. 4. A. B. 1.
Penser par soi-même - Sommaire et Introduction Bien sûr, vous pensez depuis votre naissance et vous n'avez pas eu besoin de moi pour ça. Vous croyez penser déjà par vous-même, et ceci ne fait aucun doute. Mais, quand vous dites « je » pense ceci, ou « je » pense cela, êtes-vous véritablement sûr que ce soit vous qui pensiez ? Des sociétés entières vivaient autrefois sans se soumettre au culte que nous vouons actuellement à l'individualité. Le culte de l'individualité proposé par la société actuelle est-il véritablement satisfaisant ? Quoi qu'il en soit, n'en reste pas moins que je pense, ou que ça pense en moi.
TEXTES PHILOSOPHIQUES Maritain (Jacques). — Pour une philosophie de l'éducation. 2e éd. savoir de moins en moins quel objectif elles doivent se proposer. Un certain scepticisme n'a-t-il pas déjà souvent, au mépris du sens précis des doctrines qu'il invoque, rationalisé en terme de libéralisme débonnaire ou de non directionnisme l'incertitude sur les objectifs de l'éducation ? La dilution ou l'égarement de ses fins dévitalise en effet l'acte éducatif et le réduit à se poser en termes purement fonctionnels d'adaptation sociale ou professionnelle. Citons ici quelques lignes qui, évoquant certaines attitudes contemporaines et, plus particulièrement, la passivité ou l'inertie de certains éducateurs soulignent le « droit de l'enfant à être élevé » : « Plastique et suggestible, la liberté de l'enfant est lésée et gaspillée à l'aventure si elle n'est pas aidée et guidée.
La philosophie de Kant Emmanuel Kant, philosophe allemand, s’est posé trois questions, auxquelles l’ensemble de sa philosophie s’est efforcée de répondre : Que puis-je connaître ? (question à laquelle il répond dans la Critique de la raison pure)Que dois-je faire ? Temps de lecture de ce cours : 10 minutes environ Kant et la philosophie de la connaissance : 1. Que puis-je connaître ? La Raison, au sens large, désigne, chez Kant, tout ce qui, dans la pensée, est a priori et ne vient pas de l’expérience. – Elle est théorique (raison pure) ou spéculative lorsqu’elle concerne la connaissance. – Elle est pratique (raison pratique) lorsqu’elle est considérée comme contenant la règle de la moralité (cette Raison, au sens large, se distingue, chez Kant, de la Raison, au sens étroit du terme, comme faculté humaine visant à la plus haute unité). Kant, ici opère une critique de la raison spéculative : il ne s’agit pas d’une critique sceptique, mais d’un examen concernant l’usage, l’étendue et les limites de la raison. 2. 3.