Détection du plagiat Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Avec le développement d'Internet et des nouvelles technologies, le phénomène du plagiat scolaire s'est beaucoup développé, en particulier dans le milieu universitaire. De nombreux enseignants cherchent alors des moyens efficaces pour lutter contre le plagiat. Il existe plusieurs solutions. Les moteurs de recherche[modifier | modifier le code] Pour détecter un éventuel plagiat scolaire, la première solution consiste à chercher sur un moteur de recherche des mots ou des phrases clés du texte en question, afin de voir si l'on retrouve un texte potentiellement plagié. Cette méthode peut s'avérer particulièrement efficace dans le cas d'un élève ayant totalement recopié un article trouvé sur Internet. Les logiciels de détection du plagiat scolaire[modifier | modifier le code] Pour lutter contre ce phénomène grandissant, plusieurs logiciels sont apparus ces derniers temps. Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bonnet d’âne pour le FMI, par Pierre Rimbert « Recherche institutionnellement orientée », « biais idéologiques », « autocensure », « conclusions préconçues », « faible diversité d’approches théoriques et, plus encore, empiriques », « étroitesse de vues », « cadre analytique inapproprié aux réalités des pays étudiés », « incapacité répétée à citer des travaux de chercheurs locaux »… A tout prendre, il valait mieux pour les têtes pensantes du Fonds monétaire international (FMI) que les feux de l’actualité fussent braqués sur leur directeur général, arrêté à New York le 14 mai 2011, plutôt que sur le dernier rapport de son Bureau indépendant d’évaluation, publié la semaine suivante dans l’indifférence générale. Clé de voûte intellectuelle du Fonds, les études et recherches charpentent les « Perspectives de l’économie mondiale », « Rapport sur la stabilité financière dans le monde » et autres « Consultations au titre de l’article IV » lus avec attention par les dirigeants de la planète — et avec terreur par ceux des pays débiteurs.
Université : "Sans procès en contrefaçon, le plagiaire ne risque pas grand-chose" LE MONDE pour Le Monde.fr | | Chat modéré par François Béguin et Philippe Jacqué Jop : Est-ce qu'il y a vraiment des plagiats de thèse à l'université ? Jean-Noël Darde : Oui, il existe des plagiats de thèse à l'université. Ils ne sont pas fréquents mais ne sont pas exceptionnels. L'important, c'est ce que devient une thèse-plagiat une fois qu'elle est découverte. Je n'ai aucune idée d'une proportion globale. Je précise que le nombre de thèses-plagiats que j'ai trouvées dans mon corpus de départ, Paris-VIII, n'est en rien significatif en termes de comparaison avec d'autres universités. Tuv : Est-ce qu'il y a des disciplines plus touchées que d'autres ? Je n'en sais rien. Mais des lecteurs de mon blog m'ont fait part, sur des cas précis, de plagiats dans des thèses en mathématiques, en grammaire latine, en littérature. J'en ai aussi trouvé en informatique et en architecture. Ben : Quand vous parlez de plagiat de thèse, vous parlez d'une thèse entière ou juste d'un paragraphe ? Non.
l'organisation apprenante, le changement durable, théorie de Santiago - La dolce vita Au cours de ses 3,8 milliards d'années d'existence sur notre planète, la Vie s'est maintenue en apprenant et en se transformant constamment. Qui donc mieux que cette vénérable maîtresse peut nous enseigner les principes du changement durable? La biologie contemporaine et la vision systémique du monde vivant ont inspiré trois chercheurs qui s'illustrent dans le domaine du changement durable dans les organisations. Peter Senge, ingénieur diplômé de Stanford, est titulaire d'une maîtrise en modélisation des systèmes sociaux et d'un doctorat en management du MIT, où il est maintenant conférencier senior («Senior Lecturer»). Il est le fer de lance de la «learning organization». Faisons d'abord un état de la situation. Fortement influencée par la «théorie de Santiago» , Margaret Wheatley rappelle que la Vie tire sa capacité de changement de sa liberté de se créer, de s'«auto-organiser» . 1. 2. 3. Dans nos organisations traditionnelles, les gens performent. 4. 1. Figure
Pédagogie : Plagiat et profils d'étudiant : une étude de M. Bergadaà " Avec Internet, l'accès au travail des autres est beaucoup plus aisé et beaucoup moins coûteux en termes de temps, ce qui n'est pas négligeable... Tricher est devenu un acte très banalisé dans la société et cela n'a plus le caractère interdit qu'il a pu revêtir par le passé. C'est une façon d'arriver à un résultat au même titre que le travail par soi-même". "Grâce à Internet, en 2 mois j'ai rédigé mon mémoire de doctorat, enfin d'autres l'avaient fait pour moi, je n'ai fait que réunir les informations... Elle met ainsi en évidence 5 profils différents d'étudiants : le non plagieur, le "bricoleur"qui utilise la toile sans connaître les règles; le "tricheur" qui suit ses camarades; le "manipulateur" qui ne suit que ses propres règles; le "fraudeur" qui les enfreint sciemment. Pour M.
Michelle Bergadaà : "Le plagiat n'est pas encore suffisamment pris au sérieux" Michelle Bergadaà est connue des milieux académiques universitaires non seulement en tant que professeur de marketing et de communication à l'Université de Genève , mais aussi, plus largement, pour son engagement international contre le plagiat universitaire. Elle a créé le site Responsable au sein de l'université de Genève, qui est considéré comme la référence majeure, dans le monde francophone, sur l'analyse des stratégies de plagiat mises en place par les fraudeurs et les moyens de combattre ce fléau du savoir. Michelle Bergadaà est intervenue lors des Journées du E-learning de Lyon, le 24 juin 2011. Elle y a présenté les quatre profils de plagieurs universitaires tirés de ses travaux et nous a ensuite accordé une entrevue. Michelle Bergadaà, vous animez un mouvement international de lutte contre le plagiat universitaire dans l'espace francophone depuis maintenant 8 ans. Considérez-vous qu'il y a une vraie prise de conscience sur ce sujet de la part des autorités académiques ? Photo M.
La question du plagiat Le plagiat universitaire est une question dont on parle peu, mais qui doit évidemment être abordée dans le cadre d’un carnet consacré à l’évaluation. Après l’avoir rapidement évoquée il y a deux mois, en réponse à l’interpellation de François Blanchard sur les manquements à la rigueur scientifique sous la pression de l’évaluation quantitative, je voudrais y revenir de façon plus détaillée, en offrant quelques pistes. Ce long billet a une nature hybride, présentant d’un côté des références et des données, et de l’autres quelques réflexions rapides. Le même mot, compris au sens d’une reproduction frauduleuse des travaux d’autrui, recouvre deux phénomènes assez différents selon qu’il s’agit de devoirs d’étudiants ou de travaux de recherche ; il faut pourtant les prendre en considération simultanément, car ils ne sont pas sans rapports. Quelques références Le site francophone de référence sur le sujet est produit à l’université de Genève : Jurisprudence
Citer les sources ! Oubli, plagiat et autoplagiat. ….. Réussir. Tel est le but des études universitaires sans même que la question de la qualité du diplôme obtenu soit présentée en première ligne. ….. Produire. ….. Pourtant, aux termes de l’alinéa 3 de l’article L. 612-7 du Code de l’éducation, « le diplôme de doctorat est délivré après la soutenance d’une thèse ou la présentation d’un ensemble de travaux scientifiques originaux. L’accélération des temps administratifs du doctorat casse la lecture de ces dispositifs : l’article 15 de l’arrêté du 7 août 2006 relatif à la formation doctorale prévoit, en effet, que « la préparation du doctorat s’effectue, en règle générale, en 3 ans. » ; cette durée est d’ailleurs consignée dans la charte-type des thèses : « La durée de référence de préparation d’une thèse est de trois ans. ….. ….. ….. ….. Le plagiat conquiert, en effet, des terrains de plus en plus élastiques dans les domaines des sciences humaines et sociales. ….. ….. ….. ….. ….. ….. ….. ….. Notes : [5] V. [9] J. [10] Id. p. 284-285.
Le plagiat sous pression de la presse.. L’irruption soudaine de la question du plagiat dans les médias pose plus de problèmes qu’elle n’en résout … au moins pour une contribution pertinente à la revalorisation des recherches scientifiques, notamment dans le cadre des sciences humaines et sociales. Plusieurs faits et évènements ont suscité cette répétition des termes, toujours les mêmes, dans divers organes de presse… Tous ont été signalés par Jean-Noël Darde en son blog « archéologie du copier-coller ». Mais, on peut s’interroger sur cette attention nouvelle que suscite une telle méthode d’exposition de livres ou d’ouvrages, de travaux, de mémoires, de thèses qui, parce qu’ils ne peuvent faire état formellement et pratiquement de résultats de recherches appliquées, détruisent le sens même de la recherche scientifique et universitaire. Le « plagiat » n’est pas anodin. Des règles d’intégrité académiques ont ainsi été posées sur le site animé par Michelle Bergadaa. Notes : [4] V. [6] De Peter Griffin. [7] A.
Le plagiat de la recherche - [DRÔLE D'EN-DROIT] Colloque international les 20 et 21 octobre 2011, et futur ouvrage collectif interdisciplinaire sur "Le plagiat des travaux de recherche". Ce colloque a été précédé cinq séances de séminaires en 2010-2011. Conscients de la gravité et de la recrudescence des plagiats dans le domaine de la recherche scientifique, frappés par la diversité - pour ne pas dire plus - des réponses actuelles, plusieurs chercheurs en sciences humaines, spécialisés et expérimentés qui ont déjà attiré l’attention sur cette question, Geneviève Koubi et Gilles Guglielmi organisent au CERSA de l’université Paris-II, un séminaire de recherches interdisciplinaires réunissant Hélène Maurel-Indart (Tours ; Le Plagiat), Jean-Noël Darde (Paris 8 ; Archéologie du copier-coller) et Michelle Bergadaà (Genève ; Internet : Fraude et déontologie selon les acteurs universitaires), dont les recherches portent sur ce thème. Tous les éléments sur le site du colloque : www.plagiat-recherche.fr et notamment le programme.
Copier / coller sans guillemets (2) | Histoires d'universités Les « copiés-collés sans guillemets » d’Ali Aït Abdelmalek deviennent une « affaire » : chronique du 2 décembre 2010 apportant les preuves : cliquer ici et photo de la couverture du livre ci-contre. Toutes les chroniques du blog sur le plagiat : cliquer sur le TAG. Ce pourrait même devenir un « cas d’école ». 1. Première étape conduisant dans cette voie : l’attention portée par une spécialiste internationale, Michelle Bergadaà, professeur de communication et de marketing à l’université de Genève et auteur du site coopératif : « Internet : fraude et déontologie selon les acteurs universitaires » (cliquer ici). 2. 3. 4. Il ne servirait à rien cependant de faire du copier-colleur une « victime expiatoire ». Tags: Enseignants, Plagiat, Recherche, Sociologie
Le plagiat, une maladie dont l'université doit se débarrasser | Chez Jean Matouk L’épidémie de plagiat se développe et choque profondément les universitaires qui ont élaboré seuls leurs travaux de recherche. Nouveau cas flagrant : la présidente de l’université de Polynésie, Louise Peltzer, a plagié Umberto Eco, dans un livre de 2000. Les passages ci-dessous sont illustratifs du plagiat et presque du copier-coller. Exemples de passages controversés du livre de Louise Peltzer Le collectif des enseignants de cette université, auxquels se sont joints de grands noms de la linguistique (Claude Hagège) et de l’anthropologie (Maurice Godelier), signalent d’autres multiples similitudes entre les pages 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 32, 33, 35, 37, 40, 41, 43 et 45 de son livre et les pages 95, 96, 97, 98, 104, 105, 106, 107, 116, 117, 118, 119, 120, 122, 123, 125, 126, 132, 133, 307, 308, 309, 334, 346, 347 et 368 du livre d’Umberto Eco. Louise Peltzer s’est défendue en disant qu’elle cite Umberto Eco en bibliographie. la pression à publier.