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Accueil continuité pédagogique

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Lettre Édu_Num Histoire-Géographie Continuité pédagogique — Histoire-Géographie Sommaire Dans le cadre de l’accompagnement des mesures de fermeture aux élèves des établissements scolaires, le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse met à disposition des enseignants et de leurs élèves un ensemble de ressources numériques éducatives permettant d’assurer une continuité pédagogique. Celle-ci doit s’opérer dans tous les cycles, pour tous les élèves, dans tous les enseignements. L’utilisation de ressources numériques est un moyen de mettre en oeuvre la continuité pédagogique. Une page éduscol dédiée présente un ensemble de ressources numériques éducatives permettant d’assurer une continuité pédagogique. Sur les différents sites académiques disciplinaires, référencés sur le portail national histoire-géographie, des outils et des ressources sur la continuité pédagogique en histoire-géographie sont également recensées. La lettre Édu_Num ressources n°3 répertorie par ailleurs des exemples d'usages de ressources pour mettre en oeuvre la classe inversée.

| Enseignement - La mise en valeur du Languedoc-Roussillon Les APIs permettent de charger des scripts : géolocalisation, moteurs de recherche, traductions, ... Les APIs permettent de charger des scripts : géolocalisation, moteurs de recherche, traductions, ... Services visant à afficher du contenu web. Services visant à afficher du contenu web. Les services de mesure d'audience permettent de générer des statistiques de fréquentation utiles à l'amélioration du site. Découvrir l'Architecture du Centre Pompidou - Au coeur de Paris, le Centre Pompidou - Où se trouve le bâtiment ? Le Centre Georges Pompidou, d’abord appelé « Centre Beaubourg » a été construit au milieu des années 1970 à un endroit où il n’y avait rien. Quelle est l’histoire de ce site ? Comment a-t-on décidé de construire un tel bâtiment à un tel endroit ? Au coeur de Paris Le bâtiment se situe au coeur de Paris, entre le quartier du Marais, l’île de la Cité et le quartier de Halles. On appelle cet emplacement le plateau Beaubourg. Un peu de géographie... rivière et marais Le nom de Marais, donné au quartier s’étalant à l’est du Centre Pompidou, rappelle le site naturel et ses terres marécageuses régulièrement inondées par la Seine. Un peu d’histoire... le développement de la ville Peu de traces subsistent aujourd’hui du site naturel.Il a en effet été depuis longtemps conquis et modelé par l’homme.

Plus de la moitié des pays africains ont besoin d’aide alimentaire Sur les 41 pays ayant besoin d’aide alimentaire extérieure, trente et un sont africains. Ils n’étaient que vingt il y a dix ans alors qu’une flambée des prix avait entraîné ce qui avait alors été qualifié d’« émeutes de la faim » dans plusieurs villes du continent. Si les aléas climatiques prennent leur part dans cette évolution, la multiplication de conflits internes et de longue durée apparaît comme la cause première de la multiplication des crises alimentaires. La carte des régions vulnérables établie par le Fonds des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) qui scrute, depuis les grandes sécheresses des années 1970, l’évolution de la production agricole et des ressources alimentaires disponibles sur les marchés mondiaux, délimitait en 2008 une zone concentrée sur la Corne de l’Afrique et l’Afrique centrale. Lire aussi « L’Afrique doit prendre sa part de responsabilité dans la lutte contre le changement climatique » Effondrement Engrenage Laurence Caramel

Les États-Unis de Donald Trump : America First et hégémonie décomplexée | Vie publique L’hégémonie discrète qui avait marqué la présidence Obama a fait place à une hégémonie décomplexée non dénuée de tentations impérialistes. Toutefois, les temps ont changé et le monde unipolaire des années 1990 aussi. Dès lors, on peut se demander combien de temps les États-Unis pourront conserver leur suprématie. Partisan d’une grandeur perdue, Donald Trump l’est aussi, au travers de l’autre slogan, "America First", d’une absolue primauté américaine. Donald Trump fait fi de toutes les règles de la bienséance diplomatique Si en la matière, pour des raisons évidentes de sécurité internationale, Donald Trump s’est contenté de mots, il est passé à l’acte dans d’autres domaines. En Asie, après avoir menacé de détruire la Corée du Nord et s’être lancé avec Kim Jung-un dans un duel de tweets injurieux, il a accepté de rencontrer le dictateur nord-coréen pour négocier la pacification de la péninsule coréenne. Son programme, America First, a lui-même des antécédents populistes et nationalistes.

Les Palestiniens face au « deal du siècle » : le temps de la réconciliation ? Après maints atermoiements, le « deal du siècle », dont le volet économique avait été présenté à Manama en juin 2019, a finalement été dévoilé à Washington le 28 janvier dernier. En compagnie du premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, mais aussi, fait notable, des représentants d’Oman, de Bahreïn et des Émirats arabes unis, le « démiurge » Trump est ovationné. Alors que la Knesset devait se prononcer sur la demande d’immunité parlementaire de Nétanyahou, accusé de corruption, fraude et abus de confiance, l’annonce américaine tombe à pic pour ce dernier. En outre, les négociations israélo-palestiniennes, en berne depuis l’échec de la conférence d’Annapolis en 2007, se voient, par la même, réinscrites à l’agenda international. Des querelles et rivalités politiques insurmontées L’année 2019 s’achevait sur des interrogations restées en suspens quant à l’avenir de la politique intérieure palestinienne. Une injonction à l’apaisement plutôt qu’à la réconciliation

Conflit israélo-palestinien : le cavalier seul de Donald Trump Annoncé peu après l’entrée en fonctions de Donald Trump en 2017, l’« Accord du siècle » (appelé « la Vision » dans sa version officielle) supposé mettre fin au conflit israélo-palestinien a été rendu public ce 28 janvier. Les États-Unis avaient déjà adopté une série de décisions et mesures – reconnaissance de Jérusalem comme capitale indivisible de l’État d’Israël, fermeture des locaux de la délégation palestinienne à Washington, cessation du financement de l’UNRWA (agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens) et, dernièrement, reconnaissance de la légalité des colonies israéliennes installées en territoire palestinien – qui laissaient entendre que la conception des paramètres d’une solution de règlement épouserait très largement les positions israéliennes. La lecture attentive du « Plan » dans tous ses aspects ne fait que conforter ce pressentiment. Une « solution » qui ne se préoccupe guère du droit international Rejet palestinien, satisfaction du gouvernement israélien

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