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Alphonse Allais - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Allais. Alphonse Allais Alphonse Allais est un journaliste, écrivain et humoriste français né le à Honfleur[1] (Calvados) et mort le à Paris. Célèbre à la Belle Époque, reconnu pour sa plume acerbe et son humour absurde, il est notamment renommé pour ses calembours et ses vers holorimes. Biographie[modifier | modifier le code] Alphonse Allais est fils d'un pharmacien de Honfleur[2] et cadet d'une fratrie de cinq enfants. En 1880, après avoir terminé sans succès[4] ses études de pharmacie, Alphonse devient collaborateur du journal Le Chat noir dans lequel il signe pour la première fois en 1883. C'est à cette période qu'Alphonse sort ses premiers recueils : À se tordre (1891) et Vive la vie ! Alphonse Allais vers 1899. En 1895, Alphonse Allais se marie avec une jeune femme de vingt-six ans, Marguerite Marie Gouzée, fille d'un brasseur d'Anvers. « Demain je serai mort ! L'écrivain[modifier | modifier le code] Ah !
Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Résumé[modifier | modifier le code] La plupart des espèces animales ont disparu dans le cataclysme si bien que leur simple possession est devenue, non seulement un signe de richesse, mais également une source de bien-être pour des Terriens vivant isolés. Rick Deckard est l'un de ces hommes qui continuent à vivre sur Terre. À l'aide du test de Voigt-Kampff, basé sur l'empathie, Rick Deckard entreprend alors de démasquer les androïdes fugitifs. En réalité cette dernière n'est autre qu'un modèle « Nexus 6 », mais Deckard découvre la supercherie grâce à son expérience. Parallèlement, on suit la vie de John R. Grâce à ses primes, Rick parvient à s'acheter une chèvre noire ce qui le comble, lui et son épouse, de bonheur. Analyse[modifier | modifier le code] Philip K. À ce titre, le lecteur peut s'interroger sur la nature réelle des personnages. Témoignage de l'auteur[modifier | modifier le code] [réf. souhaitée] Voir aussi[modifier | modifier le code]
Upton Sinclair - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sinclair. Upton Sinclair Œuvres principales Upton Beall Sinclair, né le à Baltimore, mort le , est un écrivain américain, auteur prolifique et promoteur du socialisme aux États-Unis. Biographie[modifier | modifier le code] Les parents de Sinclair sont des notables issus du Sud des États-Unis. Upton Sinclair naît cependant à Baltimore, Maryland, l'engagement de sa famille aux côtés de la Confédération ayant pesé sur la fortune familiale. Pour payer sa scolarité au City College of New York, Sinclair écrit des billets d'humour et des histoires pour la presse, ainsi que des romans de gare pour l'éditeur Street & Smith. L'activiste[modifier | modifier le code] Avec les revenus tirés de la vente de The Jungle, Upton Sinclair fonde une communauté socialiste nommée Helicon Home Colony (en) en 1906. Que Viva Mexico[modifier | modifier le code] Œuvre[modifier | modifier le code] Romans[modifier | modifier le code]
Pléiade (XVIe siècle) - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Pléiade. La Pléiade est un groupe de sept poètes français du XVIe siècle rassemblés avec Pierre de Ronsard et Joachim Du Bellay. On considère souvent la Défense et illustration de la langue française, publié en avril 1549 par Joachim Du Bellay, comme le manifeste des idées de la Pléiade. Son contenu vise à mener une réflexion sur les moyens d’enrichir la langue et la littérature française par des emprunts, la fabrication de néologismes, le rappel de mots disparus, et plus globalement enrichir la culture française par la redécouverte de la culture antique, de ses arts et de son savoir. Les membres de la Pléiade entrent ainsi dans une logique de rupture avec leurs prédécesseurs, décidés qu'ils sont à rompre avec la poésie médiévale, et cherchent notamment à exercer leur art en français (« la poésie doit parler la langue du poète »[4]). Catégorie : Poètes de la Pléiade
Le Mystère de la chambre jaune - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Mystère de la chambre jaune est un roman policier de Gaston Leroux, paru en 1907. Il s'agit de la première aventure du jeune reporter Joseph Rouletabille. « Leroux, qui voulait faire mieux que Conan Doyle et plus complet que Poe, a construit une intrigue à la rigueur géométrique justement admirée par Agatha Christie »[1]. Historique[modifier | modifier le code] Publié pour la première fois en douze livraisons dans le supplément littéraire de L'Illustration du 7 septembre au 30 novembre 1907, l'œuvre est reprise en volume en janvier 1908 chez Pierre Lafitte. Résumé[modifier | modifier le code] Le jeune reporter Rouletabille, qui a le chic pour démêler les énigmes, est envoyé au Château du Glandier pour y éclaircir une agression. Rouletabille parvient à être hébergé au domaine du Glandier, où l'agression a eu lieu. Peu après cet éclaircissement, Darzac passe une nuit à Paris. Structure du récit[modifier | modifier le code]
Francis Ponge - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Francis Ponge est un poète français, né à Montpellier le et mort au Bar-sur-Loup, Alpes-Maritimes, le . Il est inhumé au cimetière protestant de Nîmes. Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] En 1900, la famille Ponge s’installe en Avignon, où nait Hélène, sœur de Francis, le 27 septembre. En 1915, il obtient la meilleure note de l’académie en philosophie pour une dissertation sur L’art de penser par soi-même. En 1916, il entre en hypokhâgne au lycée Louis-le-Grand. En 1917, il mène en parallèle des études de droit et de philosophie. En 1920, il mène une vie de bohème entre Caen et Paris. En 1921, il rédige Esquisse d’une parabole, apologue socialiste qui sera publié dans le Mouton blanc, revue dirigée par J. En 1922, il séjourne à Caen où il se réconcilie avec sa famille et connait une intimité intellectuelle avec son père. Le « drame de l'expression »[modifier | modifier le code] Il se réclame également de Lucrèce (Ier siècle av.
Décadentisme - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le décadentisme (également appelé mouvement décadent ou simplement Décadence) est un mouvement littéraire et artistique controversé qui s'est développé en France pendant les vingt dernières années du XIXe siècle. On parle aussi de littérature fin-de-siècle. Contexte historique[modifier | modifier le code] Toutefois, c'est avec la publication des Essais de psychologie contemporaine de Paul Bourget en 1883 que le mouvement décadent commence à se définir. Marqué dès 1884 par la parution du Crépuscule des Dieux d'Élémir Bourges et d‘À rebours de Joris-Karl Huysmans, le mouvement se définit par sa « désespérance teintée d'humour et volontiers provocatrice »[1]. En 1885, un pastiche d'Henri Beauclair et Gabriel Vicaire, Les Déliquescences d'Adoré Floupette, poète décadent ridiculise les Décadents, dont il met en avant les tics, le pessimisme morbide, la langueur affectée, les divers abus, mais aussi les audaces de style, en prose comme en poésie.
Le dictionnaire des expressions françaises décortiquées - Signification, Origine, Histoire, Étymologie, Encyclopédie - Se faire de la bile Qu'est-ce que la bile ? Si on écarte Boule et Bile, ainsi que Buffalo Bile, Bile Boquet et Bile Vezay, il nous reste ce liquide visqueux et amer[1] sécrété par le foie, qui participe à la digestion et s'écoule depuis la vésicule biliaire vers le duodénum par le canal cholédoque ( La théorie antique des quatre humeurs (non, pas des 4x4 Hummer !), formalisée en grec par Hippocrate, nous apprend que la bile noire correspond à la mélancolie, la tristesse, le souci, alors que la bile jaune était associée à la colère[2] ( C'est donc cette "bile noire", prétendument sécrétée par la rate, qui était supposée être la cause de nos soucis.Bien que la théorie des humeurs ait finalement été abandonnée au cours du XVIIIe siècle, il nous en est resté cette expression et ce sens figuré de 'bile', à rapprocher du 'mauvais sang'. [1] Qui n'a jamais eu des foies de volaille complètement gâchés par une poche de bile malencontreusement éclatée n'a jamais pu se rendre compte à quel point elle est amère.
Avant-garde (art) - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme avant-garde désigne, depuis le XIXe siècle, des personnes qui entreprennent des actions nouvelles ou expérimentales, en particulier dans les arts et la culture. Cette pratique s'inspire des idées de La Révolution française et comme elle, n'exclut pas que s'en réclament des personnages installés au cœur du pouvoir politique et hostiles à la société civile. L'avant-garde se veut l'opposé exact de l'académisme. En art, quelques artistes avant-gardistes refusent toutes affiliations avec leurs prédécesseurs et se placent donc en porte à faux en refusant tout art antérieur. Selon l'avant-garde, la valeur d'une œuvre se confond avec son caractère inouï, en avance sur son temps. Malgré ces tentatives originales, Harold Rosenberg parle de « tradition du nouveau », à savoir une sorte de véritable académisme de la rupture, qui laisserait le public généralement assez indifférent. (À l'inverse, Platon était hostile aux artistes)
Un cadavre (suite) : pamphlet anti-Breton | Prévert toujours d'actualité ? Episode 2 : "souriez" Prévert fréquente encore les surréalistes lorsque ceux-ci participent en 1929 à une séance de photographies sur lesquelles ils ont tous les yeux clos. Ces photos devaient encadrer une peinture de Magritte : Le montage photographique paraît en décembre 1929 dans le numéro douze de La Révolution Surréaliste, composé de seize portraits et du tableau de Magritte. Et encore lui : On reconnaît également Paul Eluard : Avida Dollars (Salvador Dali) : Yves Tanguy : Et aussi Max Ernst : Dans les photos conservées par Breton figure également Jacques Prévert, qui ne ferme les yeux sur aucune photo, comme s’il savait déjà que son portrait ne figurerait pas dans la revue et qu’il valait mieux commencer dès à présent « la grande rigolade » : Lorsque parait le photomontage, en décembre 1929, Prévert ne fait effectivement pas partie des seize rêveurs :
Entretiens avec l'abbé Tymon de Quimonte Ossip Mandelstam — Wikipédia Ossip Mandelstam en 1914. Ossip Emilievitch Mandelstam (en russe : О́сип Эми́льевич Мандельшта́м), né le 3 janvier 1891 (15 janvier 1891 dans le calendrier grégorien) à Varsovie et mort le 27 décembre 1938 à Vladivostok, est un poète et essayiste russe. Éléments biographiques[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Ossip Mandelstam naît dans une famille juive peu pratiquante. À Saint-Pétersbourg, il suit les cours de la prestigieuse école Tenichev (1900-1907). De 1911 à 1917, il étudie la philosophie à l’université de Saint-Pétersbourg où il a pu s'inscrire après s'être fait baptiser, en 1911, selon le rite méthodiste-épiscopal, marginal en Russie tsariste[2]. Il a une courte liaison avec Marina Tsvetaïeva de janvier à juin 1916. Il se lie avec Boris Pasternak (lors des funérailles de Lénine). L'acméisme[modifier | modifier le code] Il rejette le symbolisme russe. Contre-révolutionnaire ? Ossip Mandelstam en 1934, fichier du NKVD après sa première arrestation. O. O.