background preloader

Club de Rome

Club de Rome
Le Club de Rome est un groupe de réflexion réunissant des scientifiques, des économistes, des fonctionnaires nationaux et internationaux, ainsi que des industriels de 52 pays, préoccupés des problèmes complexes auxquels doivent faire face toutes les sociétés, tant industrialisées qu'en développement. Réunie pour la première fois en avril 1968, l'organisation acquiert une notoriété mondiale à l'occasion de la publication de Les Limites à la croissance en 1972, aussi connue sous le nom de rapport Meadows, qui constitue la première étude importante mettant en exergue les dangers, pour la Terre et l'humanité, de la croissance économique et démographique que connaît alors le monde. Historique[modifier | modifier le code] L'organisation découle des discussions ayant lieu au sein de l'Organisation de coopération et de développement économiques à propos des « problèmes de la société moderne » et d'une « crise planétaire » naissante. En 1993, Ervin László a l'idée de créer le Club de Budapest. Related:  Gunter Pauli

Âge d'or L'âge d'or est celui qui suit immédiatement la création de l'Homme alors que Cronos règne dans le ciel : c'est un temps d'innocence, de justice, d'abondance et de bonheur ; la Terre jouit d'un printemps perpétuel, les champs produisent sans culture, les Hommes vivent presque éternellement et meurent sans souffrance, s'endormant pour toujours. L'âge d'or symbolise un passé prospère et mythique. Au Moyen Âge, l'âge d'or devient en revanche une promesse, celle d'un avenir paradisiaque et d'un monde de paix. Cette époque mythique appelée également « règne de Saturne » est donc l'âge qui suit la création de l'Homme qui est un éternel printemps : « En l’absence de tout justicier, spontanément, sans loi, la bonne foi et l’honnêteté y étaient pratiquées. […] La Terre elle-même, aussi, libre de toute contrainte, épargnée par la dent du hoyau, ignorant la blessure du soc, donnait sans être sollicitée tous ses fruits. » (Ovide). Jean-Paul Brisson, Rome et l'âge d'or, de Catulle à Ovide.

Les limites de la croissance dans un monde fini En 1972 paraissait l’ouvrage de Donella Meadows, Dennis Meadows, Jørgen Randers et William W. Behrens, The Limits to Growth, dont le titre neutre fut malencontreusement transformé en Halte à la croissance ? dans l’édition française de la même année [1]. Il s’agissait du rapport de synthèse d’une étude commanditée par le Club de Rome, une association informelle de personnalités de l’industrie, de l’économie et de la science, à une équipe du Massachusetts Institute of Technology (MIT) spécialisée dans la modélisation et la simulation de systèmes socio-économiques. Ce rapport examinait plusieurs scénarios à long terme pour la planète. Trois scénarios issus du rapport Meadows. Ce modèle, à travers sa simulation sur ordinateur, permettait d’étudier divers scénarios d’évolution des variables, de 1900 à 2100 (voir schémas ci-dessus). Des équations et de nombreuses inconnues Revenons donc sur ces modèles mathématiques qui furent tant décriés. L’élaboration d’un modèle est un processus délicat.

Réchauffement climatique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En 1988, l'ONU crée le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) chargé de faire une synthèse des études scientifiques sur cette question. Dans son dernier et quatrième rapport, auquel ont participé plus de 2 500 scientifiques de 130 pays[1], le GIEC affirme que le réchauffement climatique depuis 1950 est très probablement[c 1] dû à l'augmentation des gaz à effet de serre d'origine anthropique. Les projections des modèles climatiques présentées dans le dernier rapport du Giec indiquent que la température de surface du globe est susceptible d'augmenter de 1,1 à 6,4 °C supplémentaires au cours du XXIe siècle. Des incertitudes sur la hausse de température globale moyenne subsistent du fait de la précision des modélisations employées, et des comportements étatiques et individuels présents et futurs. Observations liées au réchauffement climatique actuel[modifier | modifier le code]

Bernard Lietaer - Wikipdia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Bernard Lietaer, 2011. Bernard Lietaer (né en 1942 à Menin en Belgique) est un économiste et universitaire belge. Activités[modifier | modifier le code] Professeur à l’université de Berkeley, ancien haut fonctionnaire de la banque centrale de Belgique cofondateur de l' Euro, membre du club de Rome, il est spécialiste des questions monétaires internationales. Il est un des défenseurs les plus connus des monnaies complémentaires, et en particulier régionales. Responsabilités[modifier | modifier le code] Directeur de la Banque nationale de Belgique,Président de Système de Paiement Electronique de Belgique[1],Gérant de fonds de monnaies,Conseiller auprès d'entreprises multinationales et de gouvernements,Participant à la création de l'Euro,Président de Access Foundation [2]. Bibliographie[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code]

Halte à la croissance ? The Limits to Growth Les Limites à la croissance (dans un monde fini) (The Limits to Growth) — connu sous le nom de Rapport du club de Rome, ou encore de Rapport Meadows[N 1], du nom de ses principaux auteurs, les écologues Donella Meadows et Dennis Meadows — est un rapport commandé par le club de Rome et publié en 1972. Des mises à jour ont été publiées en 1992, 2004 et 2012. Le rapport a été commandé à des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) en 1970, par un think tank basé à Zurich en Suisse, le Club de Rome[1],[2]. À l’époque du rapport, la croissance démographique ne cessait de s'amplifier année après année. La croissance économique mondiale croît plus rapidement encore que la croissance démographique. Cette croissance n'est cependant pas sans risque. Par ailleurs, la pollution engendrée peut avoir des conséquences délétères pour la vie et la production agricole, et nécessiter des investissements coûteux.

Terre, climat : qu’est-ce que l’Anthropocène, ère géologique | vie-publique.fr Au cours des 12 000 dernières années, l’humanité s’est développée dans l’Holocène, une période géologique interglaciaire, qui succédait à l’époque glaciaire du Pléistocène et qui était marquée par une remontée des températures et du niveau des mers. L’Holocène se caractérise par une phase particulièrement stable pour le mode de développement de l’espèce humaine que nous connaissons aujourd’hui. La hausse des températures a permis une importante migration des populations vers le nord, qui devenait bien plus habitable. De nombreux géologues estiment toutefois que l’Holocène s’est terminé vers 1950, lorsque les tests nucléaires ont dispersé dans l’atmosphère d’importantes quantités de particules radioactives. Cette époque est également marquée par une grande accélération de l’activité humaine dans un contexte économique de reconstruction, d’industrie performante et de modernisation de l’agriculture. Au-dessus du seuil de 450 ppm, les impacts toucheront l’ensemble du globe.

Université des Nations unies Université des Nations unies Créée en 1973, l’université des Nations unies (UNU) constitue la branche universitaire de l’Organisation des Nations unies (ONU) et sert les buts et principes énoncés dans la charte de cette dernière. L’UNU entreprend des recherches pour résoudre les problèmes mondiaux urgents tels que la survie, le développement et le bien-être humain, auxquels l’ONU et ses États membres accordent une attention particulière. En dépit de son statut d’université, il ne s’agit pas d’un établissement d’enseignement supérieur embrassant toutes les disciplines. En effet, L’UNU fonctionne plutôt comme un pôle de réflexion pour le système des Nations unies et établit un pont entre l’ONU, la communauté universitaire internationale et les responsables politiques. Missions de l’UNU[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] L’Université des Nations unies a été fondée en 1973 et a commencé ses activités en septembre 1975. Instituts[modifier | modifier le code]

New Age Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les sept chakras dans la représentation du New Age. Le New Age (ou nouvel-âge) est un courant spirituel occidental des XXe siècle et XXIe siècle, caractérisé par une approche individuelle et éclectique de la spiritualité. Défini par certains sociologues comme un « bricolage » syncrétique de pratiques et de croyances[1], ce courant sert de catégorie pour un ensemble hétéroclite d’auteurs indépendants et de mouvements dont la vocation commune est de transformer les individus par l’éveil spirituel et par voie de conséquence changer l'humanité. Dans son livre Les Enfants du Verseau (1980) qui théorisa le New Age, Marilyn Ferguson définit ce dernier comme « l'apparition d'un nouveau paradigme culturel, annonciateur d'une ère nouvelle dans laquelle l'humanité parviendra à réaliser une part importante de son potentiel, psychique et spirituel. » Des courants du New Age présents dans certains milieux écologistes développent des théories Gaïa[2].

Johnny Description Release 1.1 After small fixes actual version is 1.1.3. Binaries 1.1 Johnny does not have shortcuts for system menu yet. Deb packages (suitable for Debian, Linux Mint, Ubuntu and so on): Rpm packages (suitable for Fedora, Mageia, OpenSUSE): Generic tarball (manual installation or no installation): Dependencies Packages handle dependencies well. You need Qt4 library (specifically libQtGui.so.4) to use Johnny. Rpm does not insist on version of Qt library so if you have problems with running Johnny try to upgrade your Qt library to 4.6 or higher. Also you need John the Ripper. Problems and solutions If you use “su” and get warnings you do not have without it then try “su -” (i.e. add ”-” or ”-l” or ”–login” option to your “su” invocation). Sources 1.1 Via wiki: johnny1.1.3.tar.gz Via git: git clone -b release1.1 Description 1.1 This Johnny release is oriented onto core john. Available binaries are listed above. Build from sources Release 1

Écologie politique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origine[modifier | modifier le code] La naissance de la prise de conscience politique de l'écologie peut probablement être retracée au sein de divers courants de pensée de simplicité volontaire, perceptibles au sein de courants chrétiens dissidents ou non (les Franciscains). L'écologie politique s'affirmera, après les deux grandes guerres, sur la scène politique à la fin des années 1960-début des années 1970, avec la remise en cause de la société de consommation, dans le sillage de la sensibilisation à l'environnement et la prise de conscience écologique émergente. L'écologie politique cherche à développer l'état de conscience de l'empreinte polluante de l'être humain sur le milieu, y compris dans ses aspects culturels, structurels, politiques, sociaux, et sociétaux : le terme est apparu dans les années 1970, par opposition à certains mouvements « écologistes » qui avaient tendance à ne pas inclure ces aspects dans leur réflexion.

Une économie écologique est-elle possible Editorial Notre maison commune Par Sandra Moatti Une économie écologique est-elle possible ? Qu'est-ce que l'économie écologique ? Face à l'économie de l'environnement, l'économie écologique affirme que la nature n'est pas soluble dans le marché. Par Franck-Dominique Vivien, Olivier Petit, Iratxe Calvo-Mendieta et Géraldine Froger Flux de matières et d'énergie : produire dans les limites de la biosphère L'analyse du cycle de vie des produits et l'écologie industrielle appréhendent la dimension biophysique des activités productives. Par Romain Debref, Martino Nieddu et Franck-Dominique Vivien Controverses autour des services écosystémiques Les écosystèmes naturels fournissent des services de toute sorte aux sociétés humaines. Par Géraldine Froger, Philippe Méral et Roldan Muradian Comment mesurer la soutenabilité ? La nécessité d'indicateurs allant "au-delà du " pour guider nos économies vers une trajectoire soutenable est désormais reconnue. Par Philippe Roman, Géraldine Thiry et Tom Bauler

Related: