Combien de CO2 pèsent un mail, une requête Web et une clé USB Surfer sur le Net, envoyer un email, télécharger des documents, les partager : toutes ces actions ont un poids pour la planète, d’autant plus important que nous sommes actuellement 1,5 milliard d’internautes à naviguer sur le Web quasi quotidiennement, tant pour notre vie professionnelle que personnelle. Les technologies de l’information et de la communication (TIC) contribuent ainsi à hauteur de 2 % aux émissions européennes de gaz à effet de serre, selon un rapport de septembre 2008 réalisé par l’agence d’évaluation environnementale BIO Intelligence service pour la Commission européenne. Ce chiffre devrait doubler d’ici 2020, si nous ne changeons pas nos modes de vie. Les emails. Chaque jour, c’est une inflation de messages qui se bousculent dans nos boîtes : des courriels professionnels, des messages personnels mais aussi d’innombrables newsletters, chaînes de mails ou publicités. Les requêtes Web. La clé USB. Comment expliquer cet impact ? Photo : The Opte project
www.linkedin.com/today/post/article/20130805150037-22330283-7-ways-to-manage-email-so-it-doesn-t-manage-you?ref=email Clé USB, mails : connaissez-vous leur impact en CO2 ? ierre Galio, l'un des responsables d'une étude menée par l'Agence de l'environnement et la maîtrise de l'énergie (Ademe), met en garde contre un a priori consistant à penser que "les technologies de communication sont plus respectueuses de l'environnement". Envoyer un courriel ou faire une recherche sur internet entraînent des émissions de CO2 et d'autres impacts l'environnement qui pourraient être réduits en changeant simplement quelques gestes. "Un employé d'une entreprise qui envoie un courriel de 1Mo de son ordinateur à une personne qui le lira pendant 5 minutes sur son écran, sachant que le message restera stocké pendant un an, cela entraîne l'émission de 19 grammes d'équivalent CO2", explique-t-il. Les chiffres de l'étude tiennent compte des bilans environnementaux à la fois de l'ordinateur de l'émetteur du message, celui du récepteur, des centres serveurs et de stockage et autres relais entrant en compte. Réduction des émissions Clé USB : une fabrication polluante
E-mail Marketing Consumer Report 2011 - ContactLab This website uses cookies to improve the browsing experience. Do you consent to the use of cookies? Privacy policy Les tendances du digital et nos recommandations Consultez nos ressources pour être toujours informé des tendances du marketing direct digital et trouvez des conseils sur comment optimiser votre stratégie relationnelle. À la une The Digital Frontier: a New China [Septembre 2013] Rapport (en anglais) sur le rôle du digital en tant qu’atout fondamental pour la création de valeur économique dans le marché du luxe, réalisé en collaboration avec Exane BNP Paribas, leader en Equity research. PrevNext
Prospectus contre e-mail, lequel est le plus écolo? Alors que la polémique autour de la campagne Zéro prospectus de E.Leclerc oppose les imprimeurs et la filière papetière au géant de la grande distribution, 20minutes.fr a tenté de faire un comparatif des impacts environnementaux des e-mails et des prospectus. Alors, E.Leclerc, greenwasher ou écolo? Les émissions de CO2 difficiles à estimer Difficile de connaître la quantité exacte de CO2 émise par un prospectus. Côté mail, un Britannique a calculé l’empreinte carbone des messages électroniques: 0,3g de CO2 pour un spam, 4g pour un email normal, 50g pour un email avec une pièce jointe. Ressource renouvelable contre déchet électronique Sur le site de E.Leclerc, on trouve les résultats d’une étude Ifop réalisée pour l’Ademe en 2009: près de 18 milliards d’imprimés sont envoyés en France chaque année, soit l’équivalent de 830.000 tonnes de papiers publicitaires. Pas de recyclage possible pour les mails. Le verdict: greenwashing ou écolo? Audrey Chauvet
L'impact écologique d'Internet, l'empreinte carbone des usages pointée du doigt - Rubrique Technologies sur Ecologie.tv GREEN IT | La controverse pour des TIC plus durables photo prise par Achim Barczok 7 grammes de CO2 émis par requête google? Le secteur des TIC représenterait 2% de gaz à effet de serre et passerait dans peu de temps à près de 4% Un avatar de second life consommerait autant qu’un brésilien 75 millions de tonnes de déchets électroniques en 2014 L’injonction Green IT: quelle valeur a-t-elle? Sobriété numérique : quelle est notre empreinte carbone digitale ? Sobriété numérique : quelle est notre empreinte carbone digitale ? - © Tous droits réservés Pour sa dernière émission, en écho à la Cop25, Empreinte Digitale ouvre le dossier de la sobriété numérique. Quand je regarde une video en streaming sur mon smartphone, quel en est l’impact environnemental ? Dois-je m’en soucier ? Newsletter Pure Restez informés chaque semaine des évènements et concours Pure à venir. OKNe plus afficher × Aujourd’hui, nous consommons 130 millions de fois plus de data qu’aux débuts du web dans les années 90. L’ère des données Adeline Louvigny, journaliste RTBF et chroniqueuse pour Empreinte Digitale, a rédigé un dossier de 10 articles sur l’impact environnemental du numérique et la démarche de sobriété numérique. Le test de Guillaume, les news de Céline Cette semaine Guillaume Drigeard s’adresse aux photographes et vidéastes que nous sommes toutes et tous devenu.e.s avec la démonstration d’un mini rail de travelling automatisé.
Empreinte digitale « Nous veillons à réduire notre consommation de papier. Je vous adresse votre facture par mail ». Il aura fallu cette phrase prononcée par le vendeur d'une enseigne d'électroménager pour que mon smartphone se mette presque aussitôt à vibrer à l'annonce de l'arrivée d'un nouveau message. Ma preuve d'achat venait de me parvenir tout en me rappelant que cette politique de dématérialisation de factures avait permis, au cours des dernières années, d'éviter la destruction de milliers d'arbres. Empreinte carbone de la high-tech Il faut dépasser le cadre de cette anecdote personnelle pour replacer ce sujet dans un ensemble plus large, celle de l'empreinte carbone de la high-tech. Sobriété numérique La Tech doit prouver qu'elle est porteuse de solutions environnementales Certes, et pour résoudre cette impossible équation, il faudra plus que jamais miser sur toutes les formes d'énergies renouvelables. 1 Sobriété numérique
La pollution numérique, qu’est-ce que c’est ? La pollution numérique désigne toutes les formes de pollution engendrées par le secteur informatique : émissions de gaz à effet de serre, contamination chimique, érosion de la biodiversité, production de déchets électroniques. Le gros de cette pollution a lieu au moment de la fabrication du matériel (et non lorsqu’on les utilise). Lutter contre la pollution numérique c’est donc d’abord utiliser moins d’objets informatiques, et les faire durer plus longtemps. "*" indique les champs que vous devez remplir. La pollution engendrée par la fabrication de nos terminaux numériques Dans l’ère numérique, paradoxalement, plus on « dématérialise », plus on utilise de matière et d’énergie. Par exemple, saviez-vous que la production d’un téléviseur exige d’extraire 2,5 tonnes de matières premières, et génère 350 kg de CO₂ ? A cette démesure énergétique, s’ajoutent la pollution des écosystèmes et les drames humains liés à l’activité minière. Comment réduire notre pollution numérique ? 1. 2.
« Carbonalyser » : découvrez combien surfer sur le web coûte au climat L’extension de navigateur (ou add-on) « Carbonalyser » vous permet de visualiser la consommation électrique et les émissions de gaz à effet de serre (GES) associées à votre navigation internet. Il permet de se représenter la matérialité de nos usages numériques, afin de comprendre que même cachés derrière notre écran, les impacts du Numérique sur le climat et les ressources sont véritables. Téléchargez « Carbonalyser pour Firefox » dans le répertoire du navigateur Firefox ici : octobre 2019 et grâce à Orange Labs, « Mobile Carbonalyser » est également disponible Google Play : Pour chiffre ces impacts, le programme : Néanmoins, Carbonalyser n’est pas un outil d’évaluation ou d’audit. Utilisation Les résultats des calculs et la comptabilisation des données sont effacés et remis à zéro lorsque toutes les fenêtres du navigateur sont fermées.
Microsoft : l’expérience d’un data center sous l’eau est une réussite totale Deux ans après avoir plongé un data center composé de 800 serveurs au large de l'Écosse, Microsoft l'a remonté à la surface pour observer les effets de l'eau sur ses serveurs. Premier constat : au-delà d'être plus écologique, c'est aussi plus fiable sur le plan technique. Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Projet Loon : des ballons pour connecter le monde à Internet Selon Google, les deux tiers de la population mondiale n’ont pas encore accès à Internet de façon rapide et bon marché. C’est pourquoi l’entreprise a développé en partenariat avec le Cnes un projet de ballons connectés. Voici en vidéo un aperçu de cet étonnant projet. Pour aller plus loin que le simple refroidissement des data centers avec l'eau de mer, Microsoft a lancé le projet Natick en 2018. La coque du caisson est restée en très bon état, et c'est ce qui a aussi impressionné les ingénieurs. © Microsoft Plus de la moitié de la population pourrait en profiter Publié le 08/06/2018 par Marc Zaffagni