Jardins suspendus de Babylone
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les jardins suspendus de Babylone sont un édifice antique, considéré comme une des sept merveilles du monde antique. Ils apparaissent dans les écrits de plusieurs auteurs grecs et romains antiques (Diodore de Sicile, Strabon, Philon d'Alexandrie, etc.), qui s'inspirent tous de sources plus anciennes disparues, dont le prêtre babylonien Bérose.
Voici comment on se battait (vraiment) au Moyen-âge
FAUX. Oubliez Aragorn le dernier héritier du trône du Gondor qui fait valser les membres et les têtes d'un bataillon d'orques caparaçonnés dans le Seigneur des Anneaux. Oubliez les puissants coups d'estoc qui empalent de part en part des ennemis protégés par un plastron de métal. Oubliez enfin ces légendes urbaines selon lesquelles un chevalier désarçonné, écrasé qu'il était par le poids de son armure ne pouvait pas se relever tout seul.
Les Sumériens
Ce qui caractérise l'organisation politique sumérienne, c'est son organisation 'à la grecque'. En effet, tout comme beaucoup plus tard la Grèce antique, le pays de Sumer était subdivisé en zones d'influence se structurant autour de quelques villes-phares, telles que Ur, Eridu, Lagash, etc...Ainsi, la société sumérienne reflétait une organisation où les villages se concentraient autour de villes plus grandes. Ces regroupements constituaient des zones d'influence ou cités-Etats. Chacune de ces villes possédait sa propre ziggourat. Celle-ci contenait des administrations gouvernementales, ainsi qu'un temple.
Assyrie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le cœur historique de l'Assyrie (en rouge), et l'empire assyrien lors de son extension maximale sous le règne d'Assurbanipal au milieu du VIIe siècle av. J.
Babylonien (langue)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le babylonien est la dénomination par laquelle on désigne un dialecte de l'akkadien, parlé en Babylonie à partir du début du IIe millénaire av. J.
Monuments virtuels et patrimoines numérisés, quelle représentation du temps ?
Publicité pour le lancement du projet trans-média de Dassault systèmes sur Paris 3D publiée en 2012. Poursuivant ma réflexion sur le concept d’uchronie, une investigation sur les représentations iconiques du temps apparaît comme une évidence. Loin de nous toutefois l’idée de vouloir interroger la représentation du temps sur la longue durée; il s’agit plus modestement de réfléchir à comment les dispositifs numériques qui re-documentent le patrimoine documentaire ou monumental mettent-ils en scène le temps, ce concept si complexe à définir et à cerner ? Ce questionnement est naît d’une des particularités de la plate-forme Omeka, dispositif hybride de gestion documentaire et de valorisation patrimoniale de ressources numériques, qui propose aux usagers une consultation chronologique des archives organisées et présentées grâce au plugin “Neatline Time”. Interface de consultation permettant d’accéder aux restitutions infographiques temps réel de Paris 3D. Imprimer ce billet
ISHTAR
Ishtar est la personnalité féminine la plus importante du panthéon assyro-babylonien, sinon dans les hiérarchies syncrétiques artificiellement dressées par les scribes, du moins dans la réalité des pratiques et de la sensibilité religieuses des Mésopotamiens : c'est qu'elle est à la fois l'amante passionnée ou consolatrice et la guerrière qui se plaît aux massacres, au point que ce nom propre finit par signifier simplement « déesse ». Ishtar peut bien n'avoir pas été originellement le contretype sémitique de la sumérienne Inanna, mais, devant des données obscures et confuses, on peut tenir ces deux figures divines pour identiques ; les Mésopotamiens eux-mêmes leur attribuèrent le même idéogramme : la moitié d'une porte en roseau, ouverture (encore traditionnelle en Iraq) de ces halles de roseaux tressés où l'on mettait à l'abri les dattes et les produits des laiteries.
Mésopotamie
Carte de la Mésopotamie avec les frontières des États modernes, l'ancien tracé du littoral du golfe Persique et les sites des grandes cités antiques. Elle comprend deux régions topographiques distinctes : d'une part, au nord (nord-est de la Syrie et le nord de l'Irak actuel), une région de plateaux, celle-ci étant une zone de cultures pluviales et, d'autre part, au sud, une région de plaines où se pratique une agriculture reposant exclusivement sur l'irrigation. L'ensemble des historiens et des archéologues contemporains s'accordent à dire que les Mésopotamiens sont à l'origine du premier système d'écriture créé vers 3400-3300 av. J.-C.