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Tragédie des biens communs

Tragédie des biens communs
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition du problème[modifier | modifier le code] Le texte original de Garrett Hardin prend l’exemple d’un village d’éleveurs, où chacun peut faire paître ses animaux dans un pré n’appartenant à personne en particulier. En d'autres termes, il décrit comment l'accès libre à une ressource limitée pour laquelle la demande est forte mène inévitablement à la surexploitation de cette ressource et finalement à sa disparition. Chaque individu ayant un intérêt personnel à utiliser la ressource commune de façon à maximiser son usage individuel, tout en distribuant entre chaque utilisateur les coûts d'exploitation, est la cause du problème. Type de ressources concernées[modifier | modifier le code] La tragédie des biens communs concerne des ressources, généralement naturelles, qui sont soit en libre accès (n'importe qui peut contester l'exploitation), soit propriété d'une communauté d'acteurs. Exemple[modifier | modifier le code]

Common good Social justice: All for the common good, according to its aptitudes.... System of quotas? In philosophy, ethics, and political science the common good or common weal is a specific "good" that is shared and beneficial for all or most members of a given community. The good that is common between person A and person B may not be the same as between person A and person C. Other definitions[edit] Legal[edit] Persons (either natural or legal) if joined together to achieve an objective may collectively be described as a commonwealth such as the British Commonwealth of Nations. Utilitarianism[edit] The common good has sometimes been seen as a utilitarian ideal, thus representing "the greatest possible good for the greatest possible number of individuals". Social[edit] Some assert that promoting the common good is the goal of democracy (in the sphere of politics) and socialism (in the sphere of economics). Catholic social teaching[edit] Contemporary American usage[edit] See also[edit] References[edit]

OGM Les industries du vivant nous promettent depuis quelques années un avenir radieux : les thérapies géniques devraient bientôt pouvoir soigner les maladies génétiques mais aussi le cancer ; le clonage et les manipulations génétiques nous faire vivre mieux et plus longtemps ; les OGM préserver de la famine les populations des régions les plus défavorisées. En dépit des annonces fracassantes qui donnent l'impression que les scientifiques maîtrisent déjà la connaissance du génome, que sait-on de ces gènes ? Imprévisibles, ils fonctionnent en réseaux, mutent, se taisent, sutent, se déplacent, vieillissent et meurent - bref, ils échappent très souvent à nos pronostics. Un nouveau paradigme divise les scientifiques, qui met au premier plan la plasticité du génome. Car les gènes ne vivent pas dans un théâtre fermé où régneraient à la fois hasard et prédétermination. Flammarion Prix : 9 euros

Bien commun Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les biens communs correspondent en économie à l'ensemble des ressources, matérielles ou non, qui sont rivales et non-exclusives. Traiter un bien commun comme un bien privé conduit à sa destruction, comme l'a souligné Garrett Hardin. Dès lors se pose la question de sa régulation. En politique économique on oppose souvent le bien public, assuré par l'Etat, du bien privé, réglé par le marché. Dès lors le bien commun est défini comme relevant d'une appropriation, d'un usage et d'une exploitation collectifs. Les biens communs se distinguent d'un bien public caractérisé par sa non-rivalité et d'un bien privé individuel. Histoire : le renouveau des communs[modifier | modifier le code] Au Moyen Âge, dans le cadre du régime féodal, les biens banaux (ou biens communaux) sont des biens gérés en commun par les occupants du domaine seigneurial. Biens communs immatériels[modifier | modifier le code] Enjeux et polémiques[modifier | modifier le code]

Pour un service public de la culture Art. Si l’on veut que le mot ait un sens pour les générations à venir, il faut d’abord que notre société reconnaisse fortement la valeur de ce qui est immatériel et ne se monnaye pas. Les idées, les mythes, les utopies, la mémoire, les formes de l’art et les émotions qu’il provoque et par lesquelles il s’inscrit en nous. Ce qui constitue, au moins depuis les Grecs, le fond même de ce qui nous est transmis d’une culture partagée. Le terreau commun de notre imaginaire. Un univers de signes d’images et de langages qui agissent en deçà et au-delà du dicible et nous font exister autrement que comme producteurs ou consommateurs. Quelle place ménageons-nous aujourd’hui à cette part essentielle de l’humain ? Embarqués malgré nous dans une société de plus en plus matérialiste, chaque jour un peu plus inféodée au mode de vie et de pensée « anglo-saxon » qui n’accorde qu’une valeur très marginale au spirituel, nous sommes évidemment loin du compte. Les arts vivants, ce n’est pas de la consommation.

L'Avenir des idées Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Avenir des idées : le sort des biens communs à l'heure des réseaux numériques est un livre de Lawrence Lessig, traduit en français par Alain Bony et Jean-Baptiste Soufron, et publié en France en 2005. Il analyse le potentiel d'Internet en tant qu'outil d'innovation et de partage de la culture, et critique l'évolution du système juridique des États-Unis (notamment en matière de droits d'auteur et de brevets logiciels), évolution qui limite ce potentiel. Présentation[modifier | modifier le code] En prologue, L. Internet est un « bien commun » non soumis à la théorie de la « tragédie des biens communs » (car Internet est un bien non-rival[2]). Selon l'auteur, ceux qui contrôlaient (et qui contrôlent encore) l'économie de l'innovation et de la culture tentent d'imposer leurs règles dans chacune des couches[5]. L. [modifier | modifier le code] Citations[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Nouvelles Du Front Vous pouvez admirer des dessins de Jiho, Faujour, Chimulus… hilarants, quoique toujours d’un assez mauvais goût ! Mais je les excuse, c’est encore des minots ! Dans la rubrique 2 octobre 2012 par Siné Ma leucémie est en pleine forme ! 4 octobre 2012 par Siné Et dire qu’aucun d’entre vous, à part mon pote Marcel-Francis Kahn, n’a remarqué que j’avais écrit une belle connerie dans mon dernier bulletin de santé. Mon toubib, qui l’a lu, sur mon site, était outré par tant d’incompétence ! Après un changement de cathéter infecté et une chasse sans merci à un enfoiré de staphylocoque doré, le pilonnage intensif a commencé hier soir, mais, curieusement, que dalle : aucun symptôme ne s’est encore manifesté. Ma femme, mes filles, mon fils, viennent de temps en temps, me voir dans ma chambre stérile, mais j’ai bien du mal à les reconnaître sous leur déguisement ! Bon, à plus ! 5 octobre 2012 par Siné J’ai trouvé une excellente idée de bouquin de dessins : {*style:<b> « LEUCÉMIE » </b>*} Siné Bob.

User Documentation — ownCloud User Manual 5.0 documentation Welcome to ownCloud, your self-hosted file sync and share solution. OwnCloud is open source file sync and share software for everyone from individuals operating the free Community Edition, to large enterprises and service providers operating ownCloud Enterprise Edition. ownCloud provides a safe, secure and compliant file sync and share solution on servers you control. With ownCloud you can share one or more folders on your PC, and sync them with your ownCloud server. Whether using a mobile device, a workstation, or a web client, ownCloud provides the ability to put the right files in the right hands at the right time on any device in one simple-to-use, secure, private and controlled solution. Webinterface This chapter contains a general overview how you access ownCloud from a Browser like Firefox, Chrome or Internet Explorer The ownCloud Web Interface

L' Affaire Dreyfus Acheter ? 46 choses que vous devriez commencer à faire Vous pourriez réaliser que la plupart des produits sur le marché ne sont pas issus de l’agriculture biologique et qui contiennent naturellement de nombreux produits chimiques toxiques. Plus encore, une grande partie de ces produits peuvent être nocifs pour notre environnement de plusieurs façons. Faire les choses vous-même permet non seulement de vous faire économiser de l’argent et aide l’environnement, mais ça vous permet également de savoir d’où viennent vos produits et ce qu’il y a dedans. Vous pouvez vous servir des produits alimentaires pour faire des produit de soins personnels et des produits de nettoyage de façon très simple. N’oubliez-pas : chaque fois que vous le pouvez, utilisez des aliments biologiques et des ingrédients biologiques dans les recettes. 46 choses que vous pouvez commencer à faire vous-même Faites votre ketchup maison Au lieu d’ acheter vous pourriez faire la mayonnaise maison Au lieu d’ acheter vous pourriez faire votre beurre d’arachide Faites votre pain

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