https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_de_la_place_des_femmes_dans_les_sciences
Related: Groupes & listes de femmes • Femmes et sciences • Femmes & sciences • La cause des femmesSpice Girls Il y a vingt ans jour pour jour, la pop culture voyait naître probablement ce que les années 1990 ont vu de mieux : Wannabe des Spice Girls. Une révolution musicale, culturelle, commerciale et mondiale, engendrée par cinq jeunes femmes aux prénoms désormais célèbres : Mel C, Mel B, Emma, Victoria et Geri. Et que l'on aime ou non fredonner « If you wanna be my lover », il faut reconnaître qu'au moins une fois dans sa vie, on a remué les fesses sur cet hymne britannique (même alcoolisé, ça compte).
Femmes scientifiques #1 - Marie Curie - L'Esprit Sorcier Bonjour à tous! Dans cette rubrique, je vous présenterai une fois par semaine une femme scientifique célèbre. Et qui de mieux pour commencer que la grande Marie Curie! Marie Curie (1867-1934) Marie Curie est certainement la femme scientifique la plus connue.
L'effet Matilda, ou les découvertes oubliées des femmes scientifiques Nombreuses sont les femmes qui se voient évincées des remises de prix, quand il ne s’agit pas carrément d’un prix Nobel. De la physicienne Lise Meitner à la biologiste Rosalind Franklin en passant par l'astronome Jocelyn Bell, beaucoup de ces scientifiques n'ont accédé à la reconnaissance qui leur était due que des années après leurs découvertes. La minimisation, quand il ne s’agit pas de déni, de la contribution des femmes scientifiques à la recherche n’est pas un phénomène nouveau : l’historienne des sciences Margaret Rossiter l’a théorisé sous le nom d’effet Matilda. Pour concevoir cette théorie, Margaret Rossiter a approfondi celle de Robert King Merton. Dans les années 60, ce sociologue s’est intéressé à la façon dont certains grands personnages sont reconnus au détriment de leurs proches qui, souvent, ont participé aux travaux à l’origine de cette renommée.
Expo - Les découvreuses anonymes - Animafac (Favoriser la visibilité des femmes dans les sciences) Elles ont découvert la structure de l’ADN, inventé l’aquarium ou fait avancer l’étude des primates. Ces femmes scientifiques ont marqué les sciences et pourtant, le grand public n’a pas connaissance de leurs brillantes carrières ! Pour favoriser la visibilité des femmes dans les sciences, Animafac et l’association WAX Science se sont associées pour réaliser une exposition sur ces femmes d’exception ainsi qu’un kit d’actions. L’exposition « Les découvreuses anonymes » Le principe de ces panneaux est simple : un message accompagné d’une illustration, comme un indice sur ce qu’a fait ou découvert la scientifique, avec au dos des éléments d’explication et une présentation de la femme concernée.
Ménades Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, les Ménades (en grec ancien Μαινάδες / Mainádes, de μαίνομαι / maínomai, « délirer, être furieux »), ou Bacchantes chez les Romains, sont les accompagnatrices dévotes de Dionysos. C'est essentiellement la tragédie des Bacchantes d'Euripide qui nous a laissé une description des rites orgiaques des Ménades[1],[2]. Description[modifier | modifier le code] Femmes scientifiques #4 - Barbara McClintock - L'Esprit Sorcier Bonjour à tous! Aujourd’hui, un nouvel épisode du dossier sur les femmes scientifiques avec le portrait de Barbara McClintock, une cytogénéticienne américaine. Barbara McClintock est née en 1902 au Etats-Unis. Fille de médecin, elle se passionne pour la génétique et la botanique et obtient son Bachelor of Science (équivalent d’un niveau licence en France) en 1923 au Cornell’s College of Agriculture, ainsi que son master en 1925 et son doctorat en 1927. Elle est la seule femme durant toute sa scolarité à obtenir un diplôme d’agriculture.
Les combi de la NASA : faute de tailles M pas d'expédition 100% femmes ! L'objet de la semaine c’est une combinaison. Spatiale. Mise au point par la NASA pour des astronautes, elle est ultra-perfectionnée, limite intelligente tellement elle est résistante à toutes les variations atmosphériques, facile à enfiler : une partie pour les jambes, une autre pour les bras et hop là ! Sauf que non. Parce qu’à vue de nez, vous faites une taille M, plutôt que L ou XL… Et que la NASA, du M, eh ben elle en a plus. Frances Glessner Lee: le crime dans une maison de poupée On la surnomme parfois «la mère de la médecine légale». Pourtant, la carrière de Frances Glessner Lee, née le 25 mars 1878 à Chicago, aurait dû se résumer aux seules activités considérées comme appropriées pour une femme de son rang et de son époque: à savoir coudre, broder et réaliser des scènes miniatures. Qui aurait pu en effet imaginer que celle que l’on appelait Fanny, fille d’un riche industriel, élevée dans un foyer incarnant en tout point les idéaux moraux et esthétiques propres à la société victorienne, empêchée de faire des études puis mariée à 19 ans à un jeune avocat, mère de trois enfants longtemps frustrée de ne pouvoir se sentir utile à la collectivité, révolutionnerait les méthodes d’enquêtes médico-légales? De l’importance des preuves Ce destin hors norme débute par une solide amitié avec un homme: George Burgess Magrath. Camarade d’université du frère de Frances, il est professeur de pathologie à la Harvard Medical School et médecin légiste en chef du comté de Suffolk.
Bacchantes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Leur fête, appelée bacchanales, se célébrait autrefois en Grèce, en Égypte, et principalement à Rome. Euripide, dans la tragédie des Bacchantes[3], a laissé une description détaillée des servantes de Dionysos, au moment où elles vont célébrer les mystères de ce dieu, en proie à l'extase furieuse qu'il leur inspire. À la fin de cette pièce, Penthée est puni pour avoir résisté à Dionysos : les Bacchantes le déchirent avec un acharnement sauvage, y compris Agavé, la propre mère du jeune homme, qui dans son délire, brandit la tête de son fils qu'elle prend pour une tête de lion[4]. Évocations artistiques[modifier | modifier le code] Femmes scientifiques #9 - Rosalind Franklin - L'Esprit Sorcier Bonjour à tous! Aujourd’hui Rosalind Franklin, la « femme dont le génie a été sacrifié au nom de la gloire supérieure de l’homme ». Rosalind Elsie Franklin, née le 25 juillet 1920 à Notting-Hill, est une biologiste moléculaire britannique. Elle a notamment participé à la découverte de la structure de l’acide désoxyribonucléique (ADN) grâce à la méthode de diffraction par rayons X. (pour plus d’informations, voir l’article sur la diffraction des rayons X : L’analyse de monocristaux par diffraction RX (partie 1) et L’analyse de monocristaux par diffraction RX (partie 2) ) Elle obtient son Doctorat en Physique-Chimie à l’Université de Cambridge en 1945.
20 femmes de science qui ont changé le cours de notre Histoire Le 11 février dernier avait lieu la journée internationale des femmes et des filles de science. Une occasion de rappeler la place des femmes dans l’histoire scientifique, mais aussi de rendre plus visibles les postes occupés par des femmes au sein d’un milieu que certains considèrent toujours très masculin. À cette occasion, nous avons dressé la liste de 20 femmes qui ont largement contribué à leurs différentes disciplines scientifiques, mais encore trop souvent invisibilisées. Initiative des Nations Unies, la Journée internationale des femmes et des filles de science a pour ambition de raviver le souvenir et d’encenser la place importante prise par certaines femmes dans l’histoire des sciences. Alors qu’aujourd’hui encore, à travers le monde, les femmes restent en retrait dans les domaines scientifiques en dépit de leur brillants résultats, ériger des modèles auxquels s’identifier reste une mission primordiale pour inspirer les générations de filles à venir. Jane Goodall
Hier encore, le combat des femmes (4/4) : le "procès du viol" pour faire changer la honte de camp Gisèle Halimi, entourée d'Araceli Castellano et d'Anne Tonglet. - © Collection personnelle d'Anne Tonglet Hier encore. Le combat des femmes. - Le procès du viol - 17/02/2020 Hier encore, deux jeunes Belges violées dans le sud de la France se retrouvaient (presque) sur le banc des accusés, huées, conspuées. Il a fallu attendre 1980 pour que la loi sur le viol change en France, et beaucoup plus longtemps encore pour qu’elle change en Belgique. Hier encore, deux jeunes Belges violées dans le sud de la France se retrouvaient (presque) sur le banc des accusés, huées, conspuées. Il a fallu attendre 1980 pour que la loi sur le viol change en France, et beaucoup plus longtemps encore pour qu’elle change en Belgique.
Femmes et salons littéraires Les salons littéraires sont une forme spécifiquement française de société qui réunit mondains et amateurs de beaux-arts et de bel esprit pour le plaisir de la conversation, des lectures publiques, des concerts et de la bonne chère. Si l’historiographie française a retenu les salons tenus par les grandes dames de la capitale appelées salonnières qui ont su asseoir leur réputation dans le monde, les chroniques du temps montrent que ces espaces de rencontre et de divertissement sont également tenus par des hommes (le baron d’Holbach, La Pouplinière) ou par des couples (Anne-Catherine de Ligniville Helvétius et Claude-Adrien Helvétius) auprès de qui les auteurs trouvent une place de choix. Les dames des Roches tiennent salon à Poitiers dès le XVIe siècle, mais l’on tient aussi cercle à la cour de Catherine de Médicis ou chez les derniers Valois. Cercles, bureaux d’esprit, sociétés, clubs sous l’Ancien Régime[modifier | modifier le code] Salons français célèbres[modifier | modifier le code]
Femmes scientifiques #16 - Sophie Germain - L'Esprit Sorcier Bonjour à tous! Comme promis à certains d’entre vous, ce mois-ci sera consacré à la mathématicienne Sophie Germain. Née à Paris le 1er avril 1776, Marie-Sophie Germain était une mathématicienne et philosophe française, descendante d’une ancienne famille d’orfèvres de la bourgeoisie parisienne. A l’âge de 13 ans, elle commence à s’intéresser aux mathématiques suite à la lecture d’un chapitre sur la mort d’Archimède, tué d’un coup d’épée par un soldat alors qu’il traçait des cercles sur le sol pendant la prise de Syracuse par les Romains. Elle apprend seule la théorie des nombres, branche des mathématiques qui s’occupe des propriétés des nombres entiers (qu’ils soient réels ou relatifs) ainsi que le calcul différentiel et intégral, et ce en étudiant les travaux d’Euler et de Newton. Les sciences étant une « affaire d’hommes », son père tente de la dissuader de s’orienter vers une profession « masculine » et lui confisque les chandelles qu’elle utilise pour étudier la nuit.