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Musée de Nantes - dossier péda

Musée de Nantes - dossier péda

Les routes de l'esclavage à travers le Sahara en 1791 La connaissance de l’Afrique A la veille de la Révolution, le tracé des côtes d’Afrique est établi avec précision, notamment dans les zones où se pratique le plus important des commerces, la traite des Noirs, en direction des Antilles et des côtes des Amériques. La région du Niger et du Sénégal où des royaumes moins étendus remplacent les anciens empires est mieux cartographiée, grâce aux données plus précises rapportées par des voyageurs audacieux. Plusieurs récits de voyageurs et des cartes plus précises témoignent du désir de pénétrer à l’intérieur du continent, à la fin des années 1780, même si leur publication n’est effective qu’après la Révolution. Ces nouvelles avancées dans la découverte du Sahara n’ont pas échappé à l’homme des Lumières qu’est Jean Benjamin de Laborde (1734-1794). La carte Sur le quadrillage scientifique des latitudes et des longitudes, cette carte dresse l’état des connaissances topographiques sur l’Afrique du Nord et de l’Ouest en 1791. « M.

« Noirs de pelle », esclaves en Guyane Contexte historique Les canaux, artères de communication en Guyane En Guyane, le travail des esclaves est largement mobilisé pour la création d’unités de production agricole, les habitations, vastes espaces de plusieurs centaines d’hectares gagnés sur la forêt par le défrichage, ainsi que pour l’aménagement du territoire. A partir de Cayenne, seul port maritime ouvert sur les liaisons transatlantiques, le mouvement de colonisation s’étend le long des estuaires et dans des régions marécageuses, où le transport terrestre est peu praticable. Analyse des images Les « Noirs de pelle » En plein labeur, les esclaves sont ici vêtus d'un simple pagne. Les esclaves sont bien moins nombreux en Guyane que dans les îles françaises des Antilles ou dans les colonies hollandaises et anglaises voisines. La maison du maître, maison créole traditionnelle en charpente avec debord de toiture et galerie en façade, conserve un caractère très rustique en Guyane. L'espace colonisé au XVIIIe siècle

Liverpool museums - International Slavery Museum highlights Find out more about some of the highlights from the International Slavery Museum's collections and displays by following the links below. Galleries and displays The International Slavery Museum has three main galleries on the following themes: Life in West Africa | Exploring the story and culture of Africa and its peoples, who are central to the story of transatlantic slavery. Enslavement and the Middle Passage | Revealing some of the brutality and trauma suffered by enslaved Africans on the voyage across the Atlantic; then the oppression of their lives on plantations in the Americas. Legacy | The continuing fight for freedom and equality; the contemporary impact of transatlantic slavery, such as racism and discrimination; and the achievements of the African Diaspora. Exhibitions In addition to the three permanent galleries, the museum also hosts a changing programme of temporary exhibitions and displays | . Other major features The history of the slave trade Enslaved Africans: our truth

navire négrier Accueil | Esclavage | Pédagogie | liens | Académie de La Réunion | Bulletin de la régionale Le voyage d'un navire négrier bordelais au Mozambique Cet extrait du journal de bord de J. Brugevin, commandant le navire négrier la Licorne, est tiré de la contribution de G. La cargaison consistait en diverses marchandises pour la traite comme vin, eau-de-vie-, liqueur, fer en barre, fusils de traite, de munition et de chasse, poudre de guerre, toiles, draperies, soieries, galons d'or et d'argent et autres articles, le tout des fabriques de France avec des piastres d'Espagne pour la valeur du montant de la moitié de la cargaison. Ce navire, expédié des bureaux des classes de l'amirauté de Bordeaux, le 8 janvier 1787, leva l'ancre et démarra de devant ladite ville pour descendre la rivière jusqu'au bec d'Ambès pour finir d'y prendre le reste de son chargement (...) Le trajet de Mozambique au cap de Bonne Espérance fut heureus et assez beau. Le 21, je fis étancher une voie d'eau [...]. Signé: J.

esclavage à Bourbon Accueil | Calendrier | Esclavage | Pédagogie | Répertoire des liens | Académie de La Réunion | Bulletin de la régionale L'esclavage à Bourbon Famille esclave à Bourbon: gravure de Moreau le Jeune, 1772. La période de l'esclavage a profondément marqué l'histoire de La Réunion, comme celle des autres anciennes colonies françaises d'outre mer. vente d'esclaves à Zanzibar Au 19ème siècle, au cycle du café succède celui de la canne à sucre, tout autant demandeuse de main d'oeuvre: dès avant 1848, date de l'abolition de l'esclavage dans les colonies françaises, plusieurs propriétaires recrutent des "engagés", en provenance des colonies britanniques indiennes. Nous regroupons ci-dessous un certain nombre de liens vers des textes patrimoniaux relevant de cette période et vers des travaux issus de recherches menées localement; il va de soi que ces liens sont très incomplets et ne demandent qu'à être étendus! 1. Mûlatresse à Bourbon 2. 3. 4. JAUZE, Albert, Esclaves, Esclavage, Société,.

Jean Vincent Morice, chirurgien et négrier sur les navires de la Compagnie des Indes Il embarque ensuite à Lorient sur les navires de la Compagnie des Indes comme chirurgien avec pour destination le Bengale, la Chine, les Indes, etc. Sa carrière comme officier major en tant que chirurgien dans la Compagnie des Indes est résumée dans le tableau ci-après [4] : Le 14 août 1770, il se marie à Lorient avec Marguerite Caro fille de Louis Caro, officier des vaisseaux de la Compagnie des Indes [6]. Le couple a un premier enfant dès l’année suivante qui sera prénommé Jean Louis. Ce dernier naît le 4 septembre 1771 à Lorient et est baptisé le même jour par le recteur de Lorient : Grimaud Giraud. L’année suivante, il embarque sur La Digue comme subrécargue. Dès son retour en France, Jean Vincent Morice décide d’organiser une traite à Zanzibar, « sur la foi d’un commerçant arabe qu’il avait su mettre dans ses intérêts ». [8] Il repart de Lorient le 5 mai 1774 sur L’Espérance. Les contacts entre les Français et le gouverneur omanais sont immédiats et cordiaux.

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