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Bernard Friot "La conférence gesticulée"

Bernard Friot "La conférence gesticulée"

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Le Covid-19 révèle la folie du capitalisme À l'approche de la date anniversaire de la première réunion du CNR, Le Média vous propose une série d'interviews généreusement cédées au Média par le collectif Citoyens Résistants d’Hier et d’Aujourd’hui, réalisées dans le cadre du rassemblement des Glières de cette année qui a du être annulé. On inaugure cette série avec l'économiste Bernard Friot. Le collectif Citoyens Résistant d'hier et d'aujourd'hui a proposé aux intervenants prévus de répondre à trois questions en rapport avec la crise sanitaire, économique et politique que traverse le monde. Quels regards portez-vous sur la période que nous sommes en train de vivre ?Notre collectif est très attaché au programme du Conseil National de la Résistance. Pensez-vous que celui-ci, une fois actualisé, puisse ouvrir un chemin pour un autre avenir ?

Qui est Olivier Véran, le nouveau ministre de la santé ? Nommé quelques heures plus tôt ministre de la Santé, Olivier Véran a donné hier le coup d’envoi, devant les députés, des débats sur la réforme des retraites, vantant « un texte dont l’ambition est grande et même immense ». Nullement impressionné par la tâche, cet habitué des plateaux TV, qui y défend avec zèle l’action de l’exécutif, s’attendait à cette nomination. « Je suis prêt, je le suis depuis longtemps », confiait-il dimanche, après l’annonce de la démission d’Agnès Buzyn, partie mener la campagne parisienne. « C’est un manque de sérieux incroyable. Quel mépris pour la réforme des retraites, qui dépend de ce ministère. Et quel mépris pour les personnels hospitaliers, en pleine crise de l’hôpital », s’indigne le député PCF Alain Bruneel. Olivier Véran, lui, se frotte les mains.

« Sauvons les retraites, pas les fêtes ! » Un siècle après, ces images frappent toujours. Elles étaient faites pour ça, pour accrocher, pour hurler, pour défier le nazisme à l’intérieur même de l’Allemagne. Elles s’adressaient à tous, au grand public, au grand comme au petit peuple. Assassinat de la Sécurité Sociale par Macron Sa destruction masquée, parfois sous des aspects sympathiques, se fait de manière systématique, déterminée et accélérée en 2020. Pour cela 5 techniques principales sont employées et le budget 2020, confirmé par l’article 3 du projet de loi de financement de la Sécurité Sociale (PLFSS) marque une accélération dans cette destruction pierre par pierre. La 1ère technique est celle de la réduction des cotisations Réduire les cotisations des salariés apparaît sympathique surtout si son remplacement par la CSG laisse apparaître un léger gain sur le bulletin de paye. Il s’agit pourtant d’anesthésier les salariés pour mieux les priver de leurs droits.

PLFSS 2020 : la liquidation de la Sécu est « en marche » Crédit Photo : Photothèque Rouge / MILO Les députés viennent d’achever l’examen et le vote du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2020, il sera ensuite débattu au Sénat. Malgré les états d’âme d’une partie de sa majorité qui, en commission, avait contribué au rejet du texte, le gouvernement a réussi à le faire adopter sans modification significative. Macron fait payer les mesures « gilets jaunes » par la Sécu ! Vous vous souvenez des quelques mesures « lâchées » par Emmanuel Macron, début décembre 2018, pour tenter de calmer les « gilets jaunes » ? Hausse de la prime d’activité, exonération des cotisations salariales sur les heures supplémentaires, baisse de la contribution sociale généralisée (CSG) sur les retraites inférieures à 2 000 euros… Ce mardi 20 octobre, presque un an après, l’Assemblée nationale va voter le budget 2020 de la Sécurité sociale. Et que découvre-t-on, à l’article 3 du budget ?

Face aux attaques contre la protection sociale, mettre en cause le système capitaliste Crédit Photo : Photothèque Rouge / Franck Houlgatte « Le modèle social français est le pur produit du Conseil national de la Résistance. Un compromis entre gaullistes et communistes. Il est grand temps de le réformer, et le gouvernement s’y emploie.

23 oct. 2020 Sécu : la majorité vote l'obligation de payer pour aller aux urgences L’Assemblée nationale a adopté dans la nuit de jeudi à vendredi le nouveau « forfait patient urgences », dans le cadre de l’examen du Projet de loi de financement de la Sécurité sociale. La mesure, qui a soulevé de nombreuses protestations parmi les professionnels de la santé, prévoit que les malades se rendant aux urgences mettent la main à la poche dès 2021, non plus en janvier comme initialement prévu mais en septembre. Les passages dans ces services, non suivi d’une hospitalisation, feront l’objet d’une facturation fixe en lieu et place l’actuel ticket modérateur laissant 20 à 30 % du coût des soins aux malades, souvent remboursés pour ceux disposant d’une complémentaire santé. De l’ordre de 18 euros Le rapporteur général du texte Thomas Mesnier (LaREM), comme le ministre de la Santé se sont défendus de vouloir réaliser des économies sur le dos des patients.

28 oct. 2020 Santé. Sécu post-Covid : rien n’a changé Des députés en blouse blanche au beau milieu de l’Assemblée nationale ? Ce n’est pas une énième extension de la crise sanitaire, mais bien un « coup de com » en soutien aux personnels soignants de la part des députés communistes, ce mardi. « De l’hôpital à l’Assemblée nationale, nous voulons relayer leur parole et leurs souffrances », témoigne le député du Nord, Alain Bruneel, chargé de l’explication du vote des députés du groupe. Un vote négatif à l’encontre de ce budget qui ne prévoit « même pas un plan d’embauche pour l’hôpital, rien », se désole Alain Bruneel. « Vous pouvez compter sur nous, l’inverse reste à prouver » : en février dernier, le neurologue François Salachas se faisait le porte-voix des personels soignants lors de la visite d’Emmanuel Macron à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris. Neuf mois plus tard, après une première vague, puis un retour épidémique, les soignants savent : ils ne peuvent pas compter sur le gouvernement. Une branche dépendance sans moyens

6 nov. 2020 Budget de la Sécu : un texte insincère et qui poursuit les erreurs du passé Lundi 9 novembre, le Sénat commencera a étudié en séance le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2021. La crise sanitaire a contraint le gouvernement à revenir partiellement sur la politique de baisse des dépenses de santé. Néanmoins ce changement de politique est circonstanciel et pour LREM comme pour la droite sénatoriale, il faudra reprendre « au plus vite » des mesures d’austérité pour réduire le niveau d’endettement de la Sécurité sociale. Il y a donc un débat politique sur la politique économique à mener en matière de santé : faut-il maintenir les dépenses de santé avec un plafond ou faut-il libérer les dépenses de santé pour ne serait-ce que rattraper le retard pris depuis des décennies ? Ce scénario n’était pas intégré dans le budget de la Sécurité sociale, puisque seule une enveloppe pour l’achat de matériel de protection et le financement d’une éventuelle campagne de vaccination était prévue.

28 déc. 2021 TOUTE LA VIE DE PAULETTE LA ROUGE (99 ans et demi) [INTÉGRALE] On ne remerciera jamais assez le cancer et Jésus. Oui, tout d’abord, merci au cancer. Car s’il n’avait pas eu un cancer en 1985, à 34 ans, Gerhard Haderer aurait eu la vie indigente d’un « créateur » publicitaire. Or, c’est lorsqu’il fut opéré (et guéri) qu’il a tout laissé tomber et s’est tourné à fond vers le genre de dessins que vous allez (re)découvrir, si puissants, si violents qu’ils se passent de tout commentaire, à part quelques gloussements, quelques éclats de rire et pas mal de silences dans le genre grinçant.

28 jan. 2021 PÉTITION. Ambroise Croizat mérite d’entrer au Panthéon Il y a cent vingt ans ans, le 28 janvier 1901, naissait Ambroise Croizat. La France lui doit l’une de ses plus belles créations collectives : la Sécurité sociale. Il en fut la cheville ouvrière et le principal bâtisseur, en tant que ministre du Travail au sortir de la Seconde Guerre mondiale, dans le respect du programme du Conseil national de la Résistance. ­Depuis lors, des générations de citoyens ont eu la chance de bénéficier d’une ­couverture sociale ­exceptionnelle. 27 jan. 2021 Caroline Fiat : une aide-soignante à l'Assemblée Le 21 janvier, depuis 2015, chaque année, c’est la fête de Là-bas, on vous retrouve au Lieu-Dit entre coups de rouge et swing manouche, ou bien comme l’an passé au Centquatre où nous étions plus de mille pour les trente ans de Là-bas. Mais cette année, franchement, vous nous manquez… Sinon, bien sûr, Là-bas se porte bien, grâce à vous, grâce à votre soutien.

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