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Pourquoi l'éducation tue la créativité et les chances de réussite

Pourquoi l'éducation tue la créativité et les chances de réussite
Mardi 12 juillet 2011 2 12 /07 /Juil /2011 07:45 Une intervention de Ken Robinson dans une conférence TED où il défend la thèse que nos systèmes éducatifs tuent la créativité et ne sont plus adaptés dans le monde dans lequel nous vivons, les arguments développés par Ken avec humour malgré leur gravité : Une conférence qui date de 2006 encore plus d'actualité dans notre monde qui ne cesse d'aller de plus en plus vite : il est vraiment temps que nos systèmes éducatifs donnent la chance à nos enfants de pouvoir s'adapter à cette nouvelle donne en positionnant la créativité au coeur et en ne plus stigmatisant les erreurs permettant de la développer : idem pour nos entreprises qui veulent se développer dans les nouvelles donnes économique et numérique ! Et voici une vidéo animée de RSA qui développe les arguments de Ken : Billets en relation : Partager l'article ! inShare Par Julien Bonnel - Publié dans : Société 4

ducation & Formation - Article - Objectif « zéro papier » pour les écoles sud-coréennes Le ministère sud-coréen de l’Éducation, des Sciences et des Technologies a décidé d’allouer 1, 4 milliard d’euros (2,2 billions de Won) de budget pour faire passer les écoles au tout-numérique d’ici à 2015, échéance fixée pour ce programme baptisé « Smart Education ». Chosun Ilbo, le quotidien sud-coréen, a dévoilé le 30 juin 2011 ce projet d’envergure qui s’adresse aux 11 019 écoles et 7 760 220 élèves du primaire et du secondaire et dont les ambitions sont de doter chaque écolier d’une tablet PC, et de supprimer à terme tous les supports papier, d’équiper les établissements de réseaux wifi et mettre en place un système de cloud computing, hébergeant « dans les nuages » toutes les ressources nécessaires. L’annonce ne surprend guère, la société sud-coréenne étant réputée pour ses capacités technologiques et sa culture de l’excellence dans l’éducation. La Corée du Sud, avec ce programme « Smart Education », propose l’expérience la plus poussée dans ce domaine.

Quand un patron indien renverse les règles LE MONDE ECONOMIE | | Par Armand Hatchuel, professeur à Mines Paris Tech Vineet Nayar, PDG de la firme indienne de services informatiques HCL Technologies, s'est vu décerné, en 2011, le prestigieux titre de "Leader in the Digital Age". Distingué aussi pour la satisfaction de ses employés, il aurait inventé une approche révolutionnaire du management. Son slogan - "Les employés d'abord, les clients ensuite" - se démarque des doctrines du "client roi" et de "l'actionnaire juge suprême". C'est aussi le titre d'un livre dont il est l'auteur (éditions Diateino, 20 euros), préfacé par Bertrand Collomb, le président de Lafarge, et Francis Mer, le vice-président de Safran. Vineet Nayar part d'un constat connu. Mais il en tire plusieurs conclusions originales. D'abord, qu'il faut insuffler à ces équipes les plus grandes ambitions de réactivité, de qualité et d'innovation au service de leurs clients. Ces principes pouvaient rester lettre morte. La philosophie d'HCL n'est pas nouvelle.

Le conformisme : cette infertilité nécessaire « La psyché du web social Le conformisme : cette infertilité nécessaire Conformément aux lois internes aux groupes… Le conformisme c’est tout simplement l’effet de l’influence majoritaire. Dans tout groupe, social ou non, il existe des normes internes qui régissent son bon équilibre et fonctionnement. Le conformisme est souvent connoté négativement dans notre société car on a tendance à imaginer qu’une personne qui se conforme est incapable de défendre ses idées. On comprend alors que ce mécanisme de compromis s’avère être essentiel pour assurer l’existence d’un groupe et de sa cohésion. Pourtant dans le cadre d’une appartenance sociale qui n’est pas régie par une autorité toute puissante (professeur d’une classe,etc), le conformisme ne peut-il pas desservir la créativité et la diversité des échanges entre les sujets qui y évoluent ? L’effet Ash Ce concept a été découvert par Asch qui lui a donné son nom. À partir de ces résultats Asch va réaliser différentes variantes de son expérience pour dégager des normes.

ScienceEducation.gov U.S. Department of Energy Connecting teachers and students to free STEM education resources. Launch ScienceEducation.gov The Challenge U.S. Through interagency collaboration initiated by the Department of Energy, ScienceEducation.gov uses open source software in a Web 2.0 platform that invites public participation and increased visibility to open government science, technology, engineering and mathematics (STEM) education resources as never before. The Solution This free, web-based gateway makes searchable 15,000 STEM education resources created by federal agencies or for which agencies have funded investigators to develop content. Development of ScienceEducation.gov has been made possible through the voluntary collaboration of the following: National Aeronautics and Space Administration National Institutes of Health National Oceanic and Atmospheric Administration National Science Digital Library National Science Foundation U.S. The Benefit Additional Details

Les grandes écoles investissent sur leur réseau d'Anciens Plus son réseau d'Anciens est puissant, plus une école est performante. Telle est la conclusion de l'enquête réalisée par Socialumni (éditeur spécialiste des réseaux sociaux thématiques). Et les établissements français l'ont bien compris… Offres d'emploi, entraide, cooptation… les réseaux d'Anciens des grandes écoles constituent une mine de contacts précieux. Les établissements anglo-saxons l'ont compris depuis longtemps. Les Français commencent à leur tour à bichonner leur association de diplômés. Autre enseignement de cette enquête inédite : les écoles ne se contentent plus de créer un espace dédié aux Anciens sur leur site web. Des Alumni impliqués Pour limiter les déperditions, de nombreux établissements créent des communautés d'anciens sur les réseaux sociaux professionnels , LinkedIn et Viadeo. Pour gagner en efficacité, Socialumni préconise de créer de vraie plateforme CRM (CustomerRelationship Management) et surtout d'impliquer les anciens dans la gestion de l'école.

Ce que traduit la peur de la distraction La lecture de la semaine, il s’agit de quelques extraits d’un entretien que Cathy Davidson a donné le 21 août dernier au magazine en ligne Salon. Cathy Davidson enseigne les études interdisciplinaires à l’Université de Duke en Caroline du Nord et elle est l’auteure d’un livre intitulé Now you see it qui traite de la manière dont les travaux sur l’attention vont transformer notre manière de vivre, de travailler et de penser. Dans cet article de Salon, elle est interrogée sur les enfants et sur la manière dont nouvelles technologies modifient le cerveau des enfants, pas forcément dans le mauvais sens. Cathy Davidson commence par expliquer que le discours sur les nouvelles technologies et les enfants a complètement changé après la tuerie de Colombine (en 1999 deux adolescents avaient tué à l’arme automatique 13 de leurs condisciples et professeurs). Xavier de la Porte

Il n'y aura pas de nouveau plan "Ecoles numériques rurales" En 2009, le ministère de l'éducation nationale avait initié un programme d'équipement numérique des écoles rurales, qui devait aider les petites communes à acheter du matériel informatique utile aux enseignements. Chaque commune de moins de 2 000 habitants pouvait ainsi recevoir 1000 euros pour l'achat de ressources numériques pédagogiques, et jusqu'à 9000 euros pour l'achat d'équipements prescrits par le ministère, notamment un tableau blanc interactif et des ordinateurs. En contrepartie, les mairies devaient prendre en charge la mise en réseau, la connexion à internet à haut débit, et la sécurisation du parc, en suivant certaines recommandations. D'abord prévu avec un budget de 50 millions d'euros pour 5000 communes candidates, le plan avait bénéficié fin 2009 d'une rallonge de 17 millions d'euros supplémentaires, pour profiter au final à 6 750 écoles rurales. Depuis, rien.

Le Figaro Magazine : Le nouveau visage des agents français Décidée à recruter 690 personnes en six ans, la DGSE prospecte désormais dans les grandes écoles d'ingénieurs et les universités pour dénicher ses nouvelles recrues: des scientifiques, des linguistes... et de plus en plus de femmes. La Centrale a accepté d'ouvrir ses portes au Figaro Magazine. Crypto-mathématiciens, ingénieurs en sécurité informatique, interprètes en données de communication, biologistes, chimistes mais aussi linguistes chevronnés, géographes, pilotes, serruriers ou encore couturières... Vaisseau mystérieux aux 100 métiers et 1001 masques, la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) sort de son immersion en eaux profondes pour mener à bien la plus ambitieuse entreprise de recrutement jamais réalisée par les services secrets français. Isabelle, mère de famille de 30 ans, incarne cette relève. Depuis le début de l'année, 80 dossiers à la candidature d'entrée à la DGSE ont été présélectionnés. Recrutée dans son école d'ingénieurs en aéronautique

Pourquoi avons-nous besoin de prédictions? » Article » OWNI, Digital Journalism De la divination aux statistiques, l'homme a toujours eu besoin de prédire l'avenir, imaginer le futur et ses nouvelles technologies. Notre imagination nous rattrape, dans un monde en acceleration où l'ordinateur est devenu une pièce centrale. C’est la question que posait récemment le New York Times [en] dans un passionnant débat en ligne, qui revenait, 80 ans après avoir invité huit innovateurs des années 1930 à prédire la vie en l’an 2000, sur la question de notre avenir. Qu’est-ce qui nous pousse à prévoir l’avenir ? Pour l’écrivain Simon Winchester (site) [en] : Les prévisions à long terme semblent un peu comme des capsules temporelles : plus conçues pour divertir les enfants rétrospectivement que pour être prises au sérieux lorsqu’elles sont prononcées.” Il neigera certainement demain. Nous avons besoin d’illusions À long terme, les changements environnementaux et sociaux peuvent être encore plus difficiles à prévoir. 1956 Our friend the atom Je vous l’avais bien dit Pour Robert J.

Un nouveau centre d'innovation pour des applications d'e-learning mobiles Transformer la manière d'apprendre grâce des applications mobiles ad-hoc, tel est l'objectif d'un nouveau centre d'innovation du MIT, en collaboration avec Google. Le "MIT Center for Mobile Learning" vient d'ouvrir ses portes aux Etats unis. Né d'un projet commun entre le MIT et Google, il aura pour objectif de créer et d'étudier les nouvelles technologies mobiles qui permettront aux internautes d'apprendre, n'importe où, n'importe quand et avec n'importe qui. Hébergé dans le célèbre Media Lab, le centre va démarrer son activité avec le développement et l'amélioration du logiciel open source développé par Google, nommé "App inventor for Android", et qui permet à l'utilisateur de développer de petites applications sur le modèle du Click'n share. Un cadre de développement bénéfique aux deux participants Plus que les innovations qui verront le jour, c'est la coopération entre les deux organisations qui attire l'attention. Des stars de l'apprentissage aux commandes

Why I Will Never, Ever Hire A "Social Media Expert"

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