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Est-ce que la technologie désurbanise la ville

Est-ce que la technologie désurbanise la ville
Pour la sociologue et économiste américaine Saskia Sassen (Wikipédia), qui introduisait la 3e édition de la conférence Lift France qui se tenait la semaine dernière à Marseille, la ville est devenue un espace stratégique pour tout type d’applications technologiques, mais dans quelles mesures ces capacités technologiques déployées dans l’espace urbain urbanisent-elles véritablement la ville ? « A l’heure où tout le monde se demande comment utiliser la ville, diffuser ses services dans l’espace urbain, la question de savoir si les technologies urbanisent ou pas la ville me semble d’importance. » La ville doit pouvoir être hackée « La technologie donne des capacités technologiques qui vont au-delà de la technologie elle-même. La ville est un espace complexe, anarchique, rappelle la spécialiste du sujet. Image : Saskia Sassen sur la scène de Lift France 2011, photographiée par Pierre Metivier. Il nous faut comprendre autrement « l’urbanitude ». Les dérives des villes intelligentes

La ville numérique : quels enjeux pour demain La ville numérique est en vogue et rares sont les municipalités et autres collectivités publiques qui ne se soient lancées, aujourd’hui, dans des actions visant à favoriser et diffuser l’usage des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans leurs circonscriptions. Ces initiatives témoignent de la poussée de l’omniprésence des réseaux numériques dans la vie quotidienne des citadins qui modifie fortement l’accès aux services et aux ressources de la ville. L’internet, les smartphones et les divers assistants numériques que manipulent la plupart des individus sont devenus aujourd’hui, et seront encore plus demain, des vecteurs essentiels de communication et de socialisation. Il faut en convenir, les TIC et les réseaux numériques sont de plus en plus « encastrés » dans les modes de vie et représentent désormais aussi une composante de premier plan du fonctionnement de l’infrastructure environnementale et urbaine. Un cyberespace public ? Faut-il s’en inquiéter ?

City Life Could Change Your Brain for the Worse | Wired Science Between the crowds and the noise and the pressure, city life often seems to set one's brain on edge. Turns out that could literally be true. A study of German college students suggests that urbanite brains are more susceptible to stress, particularly social stress, than those of country dwellers. The findings don't indicate which aspects of city life had changed the students' brains, but provide a framework for future investigations. "Whether people are exposed to noise, live near a park, have a big group of friends or not -- you can do those experiments, and tease apart which parts of urban living are associated with these changes," said Andreas Meyer-Lindenberg, a psychiatrist at German's Central Institute of Mental Health. Meyer-Lindenberg's findings, published June 23 in Nature, are a neurological investigation into the underpinnings of a disturbing social trend: As a rule, city life seems to generate mental illness.

Ville innovante | Nouvelles technologies et services urbains innovants - Parking Day SYNTHÈSE : Les participants ont choisi d'aborder les questions 1 et 3 L’espace public doit rester un espace commun, partagé, qui rapproche, qui favorise le mélange, l’imprévu. Il est nécessaire que tous les espaces ne soient pas privatisés, que certains restent publics. Il ne s’agirait pas d’une ville connectée truffée de machines et d’écrans mais au contraire d’une ville vierge de toute technologie apparente, fluide, ouverte, relativement neutre. En matière d’urbanisme, cela peut s’illustrer par la création de lieux publics où les usages ne sont pas forcément prédéfinis, des lieux non-spécifiques. Repenser les usages de l'espace public et l'augmenter de données sensibles Les technologies participatives doivent être utilisées afin d’améliorer la connaissance territoriale (dans une phase de diagnostic par exemple). Les nouveaux services numériques proposés aux citoyens Fracture numérique ? Deux modèles se profilent :

Visualizing Childrens' Plans For The City Of The Future In Pop-Up Book Form Out of the mouths of babes, the saying goes. Taking this quite literally, the Spanish design firm Play Studios gathered a bunch of children together and asked them for their visions of the cities of the future. Adult designers took these ideas and rendered them into pop-up book form. The pop-up book was then beautifully animated to show three different possibilities for our future urban living: The first city is a tree-filled landscape; green roofs writ large, perhaps. The second shows massive towers built over--but preserving--the existing landscape, while buses and people make their way on elevated roads that connect the tops of the skyscrapers. All fanciful, to be sure, but they're kids. [Hat tip: NotCot]

La ville numérique, un enjeu immédiat pour les agences d’urbanisme Rédigé par Dominique MUSSLIN Le récent numéro de la revue Urbanisme titre sur « les territoires numériques ». La revue est en effet partenaire du salon IMAGINA qui a eu lieu du 1er au 3 février, et qui est le salon européen de référence de l’imagerie numérique en Europe. Notre agence a développé un partenariat approfondi avec plusieurs éditeurs, prestataires et experts dans ce domaine, une partie des spécialistes de l’imagerie numérique étant nos voisins immédiats. D’autres agences œuvrent depuis plusieurs années pour la 3D, en participant activement au club 3D voir en s’impliquant dans la charte d’éthique 3D récemment signée, c’est le cas d’UrbaLyon. Les thèmes phares de ce salon, très orienté dans les années 90 vers les jeux vidéos ont progressivement évolué – marché oblige – vers plus de diversité. Pour autant, si l’urbanisme est roi dans le domaine de la ville numérique, les urbanistes et les agences d’urbanisme sont encore les grands absents de la production. 1. 2. 3. 1. 2. 4.

La ville volante, une utopie dégénérescente ? L'imaginaire conduit à dépasser les limites de la réalité, en attestent les projets de ville volantes. Pourquoi serions-nous tentés par la cité suspendue ? Explications de Philippe Gargov. Urban After All S01E16 C’est une tradition dans les médias : chaque inauguration d’un gratte-ciel, comme la Tour First la semaine dernière, est l’occasion de rappeler l’éternelle quête de hauteur de l’homo urbanus, depuis Babel jusqu’à Dubaï. Car derrière ses atours enchanteurs, la ville volante véhicule en effet certaines valeurs qu’il nous semble nécessaire de remettre en question ; ce sera l’objectif de cette chronique, qui vous invite à vous méfier davantage de ces utopies tentatrices. Une histoire récente L’histoire de la ville volante remonte aux voyages de Gulliver découvrant Laputa (1727). Encore aujourd’hui, l’idée fait rêver les architectes et urbanistes, à l’image de ces Cloud Skippers [EN] imaginés par le Studio Lindfors [EN] (présentés à la Biennale du Design de Saint-Étienne 2010).

Ville Ouverte Trame verte urbaine, un rapport Nature – Urbain entre géographie et écologie Des DOI sont automatiquement ajoutés aux références par Bilbo, l'outil d'annotation bibliographique d'OpenEdition.Les utilisateurs des institutions qui sont abonnées à un des programmes freemium d'OpenEdition peuvent télécharger les références bibliographiques pour lequelles Bilbo a trouvé un DOI. Le service d'export bibliographique est disponible aux institutions qui ont souscrit à un des programmes freemium d'OpenEdition.Si vous souhaitez que votre institution souscrive à l'un des programmes freemium d'OpenEdition et bénéficie de ses services, écrivez à : contact@openedition.org Ahern J., 2007, “Green infrastructure for cities: The spatial dimension”, in Novotny V., Brown P. (eds.), Cities of the Future Towards Integrated Sustainable Water and Landscape Management, London, IWA Publishing. Amat J. Amati M., 2008, Urban Green Belts in the twenty-first Century, Aldershot (Hampshire, England), Ashgate Publishing Company. Beuret, J. Blanc N., 2009, « Vers un urbanisme écologique ? Husson J.

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