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Vers une veille moins chronophage

Vers une veille moins chronophage
Depuis des années déjà, faire de la veille en ligne c'est trier une somme gigantesque d'articles. L'arrivée des blogs et des réseaux sociaux (facebook et twitter surtout) a rendu cette tâche encore plus chronophage. Mais depuis quelques temps, des services comme Summify ou Refynr ont fait une apparition discrète malgré le gain de temps immense qu'ils représentent. Si on devait faire un historique de la manière dont on trie l'information depuis l'arrivée d'internet, sans doute que l'on rendrait hommage au flux RSS, puis aux agrégateurs...Pourtant à l'heure actuelle, beaucoup d'entre nous avouent ne plus trop s'en servir, certains prédisent même la mort de l'agrégateur, pas assez grand public, pas assez interactif. (Cliquez sur le graphique et vous comprendrez la différence de volume d'information entre actu, blogs et réseaux sociaux.) La faute aux réseaux sociaux ? Summify a débarqué sur le web de façon ambitieuse et habile pour finalement se résumer à l'essentiel, une newsletter. Related:  Compétence numérique2

Copper Project 10 millions d'oubliés des nouvelles technologies Tendances Dix millions de Français n’ont pas d’ordinateur chez eux, autant n'ont pas d’accès à Internet, selon les données 2015 du Crédoc 1. Cinq millions n’ont pas de téléphone mobile et 27 millions n’utilisent jamais les « réseaux sociaux ». La « fracture numérique » se réduit, mais un grand nombre de Français demeurent à l’écart. L’âge est le clivage le plus net. 43 % des 70 ans et plus n’ont pas d’ordinateur, la moitié ne surfe pas sur Internet, un sur trois ne dispose pas de téléphone mobile, seul un sur dix dispose d’une tablette et autant se connectent aux réseaux sociaux. Le second critère est celui du diplôme. Le critère du niveau de vie joue beaucoup moins. Les données qui portent sur l’ensemble de la population masquent la situation des catégories les plus en difficultés. La fracture numérique se situe surtout du côté de l’usage, difficile aussi à mesurer à partir de données trop générales. Les déconnectés du numérique restent nombreux. Etre déconnecté ? 1.

Gestion de projet collaboration : Basecamp (software) Les bonnes résolutions 2017 pour votre sécurité | Hackers Republic *Cet article a été écrit avec la participation de Keltounet* L’année 2016 a été émaillée de quelques incidents de sécurité de grande ampleur. Histoire de ne pas être le dindon de la farce, voici quelques conseils pour que l’informatique ne soit plus votre pire cauchemar. Des mots de passe complexes et différents pour chaque service On ne le répétera jamais assez : chaque service que vous utilisez doit avoir un mot de passe différent et chaque mot de passe doit être composé au minimum de huit caractères, avec des majuscules, des minuscules, des chiffres et des caractères spéciaux. On n’utilise pas le même mot de passe pour sa boîte mail que pour se connecter à Twitter ou Facebook ou à ses applicatifs métiers. Côté sites Web, certains services proposent des authentifications à double facteur, ce qui limite les soucis de vols de mots de passe. Des bloqueurs sur des navigateurs Les sites couverts de publicités et de traqueurs en tout genre sont encore malheureusement légion. Une caméra aveugle

Main Page Qu'est-ce que le Digital Labor Par Antonio A. Casilli. « Le digital labor est avant tout un domaine derecherche universitaire en plein essor. Aux États-Unis, en 2009, « The Internet as playground and factory » a été la première conférence sur ce sujet (les actes ont été publiés en 2012 sous le titreDigital Labor. The Internet as playground and factory, sous la direction de Trebor Scholz[+] NoteTrebor SCHOLZ (dir.): Digital Labor :The Internet as Playground andFactory, New York, Routledge, 2012. [1]. [2], chercheur autrichien en activité en Angleterre. [3] et, en novembre 2014, la New Schoolde New York a accueilli un autre colloque sur lesujet : Digital Labor : Sweatshops, Picket Lines, Barricades[+] Note Voir le site web de la conférence [4]. Mais qu’est-ce que, finalement, le digital labor ? En revanche, nous devons nous situer en dehorsdes lieux classiques de la production, pour voirapparaître ce travail. Ce n’est, là, qu’un premier noyau de notre définition.

Mindmeister Qu’est-ce que le digital labor, par Dominique Cardon et Antonio Casilli – Le guide des égarés. Voici un livre court et synthétique et peu onéreux qui prend naissance dans le cadre des ateliers de l’INA animée pendant plusieurs années par Louise Merzeau qui signe d’ailleurs la préface de cette édition. Il faut reconnaître l’efficacité de l’ouvrage qui juxtapose deux interventions, la première d’Antonio Casilli, la seconde de Dominique Cardon. Les deux conférences se suivent et se répondent ce qui forme un objet éditorial opportun. L’ouvrage répond à pleins de questions actuelles et correspond à mon avis à beaucoup de cursus qui évoquent les questions numériques et notamment mon cours d’intelligence collective où je vais le faire figurer au programme, car il éclaire de façon intéressante les tensions actuelles avec la mise en avant des concepts autour du travail et du digital labor, qu’on peine finalement à traduire en français. Antonio Casili resitue la question du digital labor et l’évolution du concept ces dernières années. Le modèle éditorial est intéressant.

à installer - Open Wiki PIX, la nouvelle plateforme d’évaluation et de certification des compétences numériques, tout public ! – Ludovia Magazine 1 Share Share Tweet Email PIX n’est pas un acronyme alors ne cherchez pas à quoi rattacher ces 3 lettres ! C’est juste le nom de cette nouvelle plateforme qui verra le jour très prochainement et qui s’adresse à tout citoyen francophone qui voudra évaluer et améliorer ses compétences numériques. De manière plus ciblée, c’est aussi un formidable outil de formation pour les enseignants et autres membres de la communauté éducative comme l’explique Benjamin Marteau, directeur du projet PIX, dans l’interview ci-contre. PIX est développée selon la méthodologie agile des « Startups d’Etat » dans le cadre d’un partenariat entre tous les acteurs du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et la Recherche, le Conseil national éducation-économie et le secrétariat général à la modernisation de l’action publique. PIX, le résultat de plusieurs constats « L’idée de départ du projet PIX est plurielle », déclare Benjamin Marteau. PIX, pour qui ? PIX, pourquoi ? Avec PIX, comment valoriser ?

SparkleShare – Un clone de Dropbox open source qui fonctionne ! Bon on commence tôt ce matin, car j'ai enfin trouvé un remplaçant open source qui fonctionne et qui roxx à Dropbox ! Merci MrBoo ! L'outil s'appelle SparkleShare et va vous permettre enfin de synchroniser vos documents entre plusieurs ordinateurs, en utilisant votre propre serveur. Pour fonctionne SparkleShare a besoin d'un serveur Git. Comme j'ai un serveur chez OVH qui ne sert pas à grand chose, avec un bon paquet de place dessus, j'ai fait un petit test. sudo apt-get install git-core openssh-server Ensuite, il suffit d'initialiser un dépôt : git init --bare MON_DEPOT.git Après, c'est au niveau de SSH que ça se passe. Une fois la clé SSH en place, il suffit de lancer SparkleShare et de saisir les infos relative au serveur ou à votre compte Github, Gnome...etc SparkleShare se loge ensuite dans votre barre des tâches et vous propose d'accéder à un répertoire sur votre ordinateur où chaque fichier que vous placerez dedans sera automatiquement synchronisé avec le serveur Git. Tout est ici !

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