10 millions d'oubliés des nouvelles technologies Tendances Dix millions de Français n’ont pas d’ordinateur chez eux, autant n'ont pas d’accès à Internet, selon les données 2015 du Crédoc 1. Cinq millions n’ont pas de téléphone mobile et 27 millions n’utilisent jamais les « réseaux sociaux ». La « fracture numérique » se réduit, mais un grand nombre de Français demeurent à l’écart. L’âge est le clivage le plus net. 43 % des 70 ans et plus n’ont pas d’ordinateur, la moitié ne surfe pas sur Internet, un sur trois ne dispose pas de téléphone mobile, seul un sur dix dispose d’une tablette et autant se connectent aux réseaux sociaux. Le second critère est celui du diplôme. Le critère du niveau de vie joue beaucoup moins. Les données qui portent sur l’ensemble de la population masquent la situation des catégories les plus en difficultés. La fracture numérique se situe surtout du côté de l’usage, difficile aussi à mesurer à partir de données trop générales. Les déconnectés du numérique restent nombreux. Etre déconnecté ? 1.
Veilleur Stratégique | Consultant Internet Juste un article chronophage ~ WARNING ~ Cet article vous fera certainement perdre votre temps ! Certains mots ont le pouvoir d’étonner, d’interroger. Surtout ceux qui naissent spontanément, et se propagent, s’imposent par l’usage répété et surtout par la façon dont toute une génération (ou une certaine catégorie de la population) se l’approprie. “Chronophage” en est l’exemple parfait. Vous avez dit chronophage ? J’ai eu l’occasion de créer récemment mon compte Twitter. Au bout de quelques jours, je me suis rendu à ce triste constat : le temps me filait littéralement entre les doigts. Ce mot, je l’ai quelquefois employé avant (surtout pour faire le malin), mais jamais je n’en avais ressenti aussi fort l’acuité. Voilà, j’ai planté le décor. Quand on plante un décor, et qu’une idée germe… quel genre de fruits peut-on s’attendre à récolter ? 1999 : retour vers le futur de la Genèse Chronophage 2.0 Mais résistant aux modes, le chronophage a subsisté. Rendons à César ce qui appartient à… Chronos ! Un coupable, c’est bien
Les bonnes résolutions 2017 pour votre sécurité | Hackers Republic *Cet article a été écrit avec la participation de Keltounet* L’année 2016 a été émaillée de quelques incidents de sécurité de grande ampleur. Histoire de ne pas être le dindon de la farce, voici quelques conseils pour que l’informatique ne soit plus votre pire cauchemar. Des mots de passe complexes et différents pour chaque service On ne le répétera jamais assez : chaque service que vous utilisez doit avoir un mot de passe différent et chaque mot de passe doit être composé au minimum de huit caractères, avec des majuscules, des minuscules, des chiffres et des caractères spéciaux. On n’utilise pas le même mot de passe pour sa boîte mail que pour se connecter à Twitter ou Facebook ou à ses applicatifs métiers. Côté sites Web, certains services proposent des authentifications à double facteur, ce qui limite les soucis de vols de mots de passe. Des bloqueurs sur des navigateurs Les sites couverts de publicités et de traqueurs en tout genre sont encore malheureusement légion. Une caméra aveugle
La veille comme art de vivre du futur Ce qui est aujourd'hui un comportement d'ultra-connectés sera demain la norme si l'on souhaite avoir une vie sociale normale. Voici un article qui a été publié dans l’excellent ebook : Regards croisés sur la veille (sur le blog du modérateur), qui fait intervenir plein de spécialistes pros du digital (et moi-même). Un article prospectif qui m’a donné l’occasion de poser toutes les idées concernant l’évolution de la veille digitale. Vous excuserez la longueur, cet article est fait pour être lu sur papier ou tablette.« Touff de la tribu des Görzg grimpa sur une colline. Trois jours que sa tribu et lui n’avaient rien mangé. Tous les matins, les chasseurs partaient explorer la région avec de grands cris mais revenaient bredouilles chaque soir sous les lamentations des femmes et les pleurs des enfants. Information = survie Et cette leçon primordiale a accompagné l’être humain pendant des millénaires. L’homme veille sans le savoir, une question d’adaptation Veiller quoi ? Image CC Flickr
Qui mange votre temps? votre téléphone portable, ou un autre chronophage? | existence! Pierre, quinze ans, travaille dans sa chambre : il termine son devoir de mathématiques pour lundi. Son ordinateur diffuse un morceau de son groupe préféré, qu’il a téléchargé la veille. Dans une autre fenêtre, sur le même écran, un réseau social lui permet de recevoir les messages de ceux de ses copains qui sont connectés en ce moment. Nous voici dans l’ère des chronophages. Le postulat de base de la chronophagie, que nous acceptons comme une évidence première, est que la captation est la seule source de l’existence. Ceci est un extrait de Jean-Paul Galibert, « Hypertravail et Chronophagie, l’envoûtement hypercapitaliste comme temps de travail imaginaire du consommateur », article qui vient de paraître dans le numéro 51 de la revue Multitudes. J'aime : J'aime chargement… Sur le même thème Effectuez-vous chaque jour DEUX journées de travail? Dans "PHILOSOPHIE" Imprésence 2 : le portable comme promesse d’imprésence
Qu'est-ce que le Digital Labor Par Antonio A. Casilli. « Le digital labor est avant tout un domaine derecherche universitaire en plein essor. Aux États-Unis, en 2009, « The Internet as playground and factory » a été la première conférence sur ce sujet (les actes ont été publiés en 2012 sous le titreDigital Labor. The Internet as playground and factory, sous la direction de Trebor Scholz[+] NoteTrebor SCHOLZ (dir.): Digital Labor :The Internet as Playground andFactory, New York, Routledge, 2012. [1]. [2], chercheur autrichien en activité en Angleterre. [3] et, en novembre 2014, la New Schoolde New York a accueilli un autre colloque sur lesujet : Digital Labor : Sweatshops, Picket Lines, Barricades[+] Note Voir le site web de la conférence [4]. Mais qu’est-ce que, finalement, le digital labor ? En revanche, nous devons nous situer en dehorsdes lieux classiques de la production, pour voirapparaître ce travail. Ce n’est, là, qu’un premier noyau de notre définition.
Quels outils pour faire efficacement de la veille sur le web ? Parmi vos compétences, celle de se tenir informé de ce qui se passe dans votre domaine est indispensable. Mais un problème de taille se pose alors : comment rentabiliser le temps passé à chercher ces informations ? Internet est vaste, le web en est une fenêtre, mais comme toute fenêtre, elle est limitée. Et vous êtes également limité ! C’est la raison d’être de plusieurs outils automatisant cette recherche. Alerti est l’une des plate-forme qui a de l’avenir en tant que réel réseau de veille. Simple conseil avec Alerti : comportez vous comme si vous étiez sur un moteur de recherche classique, puis affinez afin d’atterrir sur vos requêtes. Google Alert est LA référence du système de veille gratuite. Twitter reste à mon sens l’outil le plus pertinent pour faire de la veille qualifiée. Le magazine Management propose dans son numéro d’octobre 2011 d’autres outils de veille : Giga Alert, Social Mention Alert et Favebot. Pourquoi je fais de la veille ? Et vous, quels outils utilisez-vous ?
Internet: passion chronophage, tue-l’ennui ou prétexte pour procrastiner | L'Aroblog De retour d’une semaine de stage d’entraînement dans les Pyrénéens, je m’aperçois qu’encore une fois Internet ne m’a pas manqué… Comme beaucoup de monde, je passe un temps considérable sur Internet. Mes activités sont nombreuses: lectures des blog et des actualité suivi par flux RSS, communication par méls, forums et réseaux sociaux, préparation de voyage avec les moteurs de recherche et de cartographie, et bien sûr écriture d’articles pour ce blog et un peu de d’administration de site web. Et je passe sur les heures passée sur des sites de jeux en Flash ou sur les sites de vidéos comme Youtube et Dailymotion. Avec en plus mon passé très geek, je pensais être encore passionné voire accro à tout çà. Cependant, à chaque fois que je quitte Paris pour plusieurs jours, je quitte aussi cette vie électronique sans remord, sans manque. Alors est-ce que je m’ennuie tant que ça à Paris ? Je n’en ai pas tellement l’impression, les activités ne manquent pas.
Qu’est-ce que le digital labor, par Dominique Cardon et Antonio Casilli – Le guide des égarés. Voici un livre court et synthétique et peu onéreux qui prend naissance dans le cadre des ateliers de l’INA animée pendant plusieurs années par Louise Merzeau qui signe d’ailleurs la préface de cette édition. Il faut reconnaître l’efficacité de l’ouvrage qui juxtapose deux interventions, la première d’Antonio Casilli, la seconde de Dominique Cardon. Les deux conférences se suivent et se répondent ce qui forme un objet éditorial opportun. L’ouvrage répond à pleins de questions actuelles et correspond à mon avis à beaucoup de cursus qui évoquent les questions numériques et notamment mon cours d’intelligence collective où je vais le faire figurer au programme, car il éclaire de façon intéressante les tensions actuelles avec la mise en avant des concepts autour du travail et du digital labor, qu’on peine finalement à traduire en français. Antonio Casili resitue la question du digital labor et l’évolution du concept ces dernières années. Le modèle éditorial est intéressant.
Débuter une veille d’information – étape 4 : filtres, classement et sélection Suite de notre série sur la mise en place d’une veille, à partir de zéro. Nous avons jusqu’à présent passé en revue les étapes suivantes : Une fois l’étape 3 réalisée, vous devriez à présent avoir les briques de bases suivantes : Sélection de vos sources, et définition de vos objectifsMise en place de vos flux préférés sur Google Reader ou Feedly;Le cas échéant, accès mobile (iPhone, iPad, etc.) à ces mêmes sources, avec une synchronisation des articles lus et non lus, pour ne pas perdre de temps à repasser plusieurs fois sur les mêmes articles. Ce n’est déjà pas si mal! Je vais à présent aborder plusieurs points dans les articles qui vont venir : A quoi sert une veille si vous perdez les informations au fil de l’eau, sans pouvoir les ré-exploiter par la suite? La bonne nouvelle, c’est que le web fourmille d’outils en tous genre pour stocker des pages Web sous de multiples formats, je vais rester concis et vous recommander un service en particulier, à savoir Diigo.