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Portail:Mathématiques Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les mathématiques, du grec máthēma (μάθημα) signifiant « connaissance, science », constituent un domaine de savoir, de recherche et d'enseignement, fondé sur le raisonnement logique. Elles portent sur les nombres, les formes, les opérations et d'autres notions qui permettent entre autres de modéliser l'évolution dans le temps, les procédures, notamment en informatique, et même le hasard. Les mathématiques irriguent toutes les disciplines scientifiques et sont utilisées en économie ou dans les innovations technologiques, mais elles ont aussi des relations avec la philosophie, les arts plastiques, la musique et même les jeux et la littérature. Branches des mathématiques Vous souhaitez participer ? En dehors de Wikipedia

Charte de la laïcité à l'École Refonder l’École de la République, c’est lui redonner toute sa place dans la transmission du bien commun et des règles, principes et valeurs qui le fondent. Parce que la République porte une exigence de raison et de justice, il revient à l’École française de contribuer à bâtir du commun, de l’égalité, de la liberté et de la fraternité. Il s’agit d’accompagner les élèves dans leur devenir de citoyen sans blesser aucune conscience : c’est l’essence même de la laïcité. La vocation de la charte affichée dans nos écoles, nos collèges, nos lycées, est non seulement de rappeler les règles qui nous permettent de vivre ensemble dans l’espace scolaire, mais surtout d’aider chacun à comprendre le sens de ces règles, à se les approprier et à les respecter La laïcité de l’École n’est pas une entrave à la liberté, mais la condition de sa réalisation. C’est le rôle de chacun d’entre nous et c’est la mission de l’École républicaine, de faire partager ces valeurs qui nous élèvent et nous rassemblent.

Portail ESPE Francisco Ferrer Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Ferrer. Francisco Ferrer Photographie de Francesc Ferrer Francisco Ferrer Guardia, né le à Alella et mort le à Barcelone, en catalan Francesc Ferrer i Guàrdia, est un libre-penseur, franc-maçon et pédagogue libertaire espagnol. En 1901, il fonde l'École moderne, un projet éducatif rationaliste qui promeut la mixité, l’égalité sociale, la transmission d’un enseignement rationnel, l’autonomie et l’entraide. Biographie[modifier | modifier le code] Né à Alella, une petite ville près de Barcelone, le treizième des quatorze enfants d'agriculteurs catholiques et monarchistes. Francisco lit beaucoup. Ce désir de s’instruire et de se forger une solide culture politique et sociale, l’amène à fréquenter les milieux libertaires barcelonais. Républicain Progressiste et Franc-Maçon[modifier | modifier le code] En 1884, il est initié franc-maçon dans la loge maçonnique Verdad (Vérité). Exil en France[modifier | modifier le code]

Escuela moderna Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le bulletin de l'Ecole Moderne, décembre 1905. La Escuela moderna ou École moderne est une école rationaliste fondée à Barcelone le 8 octobre 1901, par Francisco Ferrer. Son projet pédagogique d'inspiration libertaire s'appuie sur la mixité, l’égalité sociale, la transmission d’un enseignement rationnel, l’autonomie et l’entraide. Elle fut la première d'un réseau qui en comptait plus d'une centaine en Espagne en 1907. Le projet[modifier | modifier le code] L'école n'est pas gratuite car elle ne dispose d'aucune subvention publique ou privée. L'Escuela moderna est aussi laïque mais son fondateur évite cependant d'utiliser cet adjectif pour ne pas entrer immédiatement en conflit avec les autorités ecclésiastiques toutes puissantes. Une citation de Francisco Ferrer résume le projet : « Notre enseignement n'accepte ni les dogmes ni les usages car ce sont là des formes qui emprisonnent la vitalité mentale (...) Postérité[modifier | modifier le code]

Éducation populaire / Développement culturel / Politiques ministérielles Le ministère de la Culture et de la Communication engage des politiques en matière de démocratie et de démocratisation culturelles. Il favorise l’accès du plus grand nombre aux œuvres et aux pratiques artistiques et culturelles, et reconnaît la pluralité des expressions artistiques portées par toutes les composantes des populations qui vivent sur notre territoire. Il conduit une politique publique de cohésion culturelle et nationale. Il considère en effet comme prioritaire le droit culturel institué par La Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948. Il encourage ainsi particulièrement les actions qui contribuent à la défense de ce droit et au respect de la diversité culturelle. En juin 2016, onze fédérations d’éducation viennent de renouveler, avec le ministère de la Culture et de la Communication, leurs conventions pluri-annuelles d’objectifs (CPO 2016-2018) : Centres d'entrainement aux méthodes d'éducation active (CEMEA) : Texte de la convention 2016-2018 (pdf) En conclusion

Maria Montessori Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Maria Montessori Compléments Biographie[modifier | modifier le code] Elle est issue d'une famille bourgeoise. En 1882, ses parents déménagent à Rome pour qu'elle fasse des études. En 1884, Maria éprouve un très grand intérêt pour les mathématiques et la cuisine. Maria intervient au congrès de pédagogie de Turin en 1899 : Guido Bacceli, Ministre de l'Éducation, lui demande de faire des conférences à Rome peu après. En 1901, elle commence à s'intéresser aux enfants « normaux ». Maria Montessori avec le journaliste américain Samuel Sidney McClure, qui fit connaître son œuvre aux États-Unis, en 1914. La création de la première Maison des enfants (Casa dei bambini) a lieu en 1907 dans le quartier populaire de San Lorenzo à Rome[2],[1]. regrouper tous ces enfants et les empêcher d'errer, de semer le désordre,procurer une meilleure hygiène et instaurer une harmonie familiale. Elle organise des cours internationaux à partir de 1913. Pédagogie Montessori

Adolphe Ferrière Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Ferrière. Adolphe Ferrière Adolphe Emmanuel Ferrière vers 1930 Principaux travaux Pédagogie active/Éducation nouvelle Adolphe Ferrière (né le à Genève, mort le à Genève) est un pédagogue suisse, un des fondateurs du mouvement de l'éducation nouvelle. Le pédagogue[modifier | modifier le code] Adolphe Ferrière s'intéresse très tôt aux premières écoles nouvelles anglaises d'Abbotsholme et de Bedales et visite en 1899 l'école des Roches, précurseur des méthodes actives d'enseignement. Engagé dans l'école expérimentale de Glarisegg (de)[1] en Thurgovie (Suisse), Adolphe Ferrière doit rapidement renoncer à y enseigner en raison de sa surdité. Dès 1918, il rédige les « 30 points qui font une école nouvelle ». En 1921, il crée la Ligue internationale pour l'éducation nouvelle, dont il rédige la charte. Autres intérêts[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Publications[modifier | modifier le code]

Ligue internationale pour l'éducation nouvelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Ligue internationale pour l'Éducation Nouvelle (LIEN) fut créée en 1921 lors du premier congrès de l'éducation nouvelle à Calais. Au cours des années qui suivent et jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, ses congrès rassembleront les militants de l'éducation nouvelle, permettant des échanges sur les pratiques et les travaux de recherche de chacun. Parmi les cofondateurs figurent John Dewey, Jean Piaget, Maria Montessori, Beatrice Ensor et Adolphe Ferrière. La charte de l'éducation nouvelle[modifier | modifier le code] La charte de l'éducation nouvelle est rédigée par Adolphe Ferrière pour le premier congrès du lien en 1921. Les différents congrès[modifier | modifier le code] Congrès fondateur à Calais (6 août 1921)[modifier | modifier le code] « Ce Congrès était le résultat du mouvement pacifiste qui avait succédé à la Première Guerre mondiale. C'est à l'occasion de ce premier congrès qu'est fondée la revue Pour l'ère nouvelle.

Célestin Freinet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Freinet. Célestin Freinet est un pédagogue français, né le à Gars dans les Alpes-Maritimes, mort le à Vence dans les Alpes-Maritimes. D'abord au Bar-sur-Loup, puis surtout à Vence, il développe avec l'aide de sa femme Elise Freinet, et en collaboration avec un réseau d'instituteurs, toute une série de techniques pédagogiques, basée sur l'expression libre des enfants : texte libre, dessin libre, correspondance interscolaire, imprimerie et journal scolaire, enquêtes, réunion de coopérative etc. Militant engagé, politiquement et syndicalement, en une époque marquée par de forts conflits idéologiques, il conçoit l’éducation comme un moyen de progrès et d’émancipation politique et citoyenne. Son nom reste attaché à la pédagogie Freinet qui se perpétue de nos jours notamment via le Mouvement de l'École moderne. Biographie[modifier | modifier le code] Les débuts[modifier | modifier le code]

Benigno Cacérès Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Cáceres. Benigno Cacérès ( - ) est un militant, historien autodidacte, figure de l'éducation populaire au sein du mouvement Peuple et culture. Il contribue à la fondation du mouvement Peuple et culture qu'il préside de 1970 à 1973 avant d'en devenir le président d'honneur. Il est missionné par l'UNESCO pour son expertise dans les problèmes de la formation. Cet homme qui a quitté l'école à 12 ans finit par présenter un doctorat. Bibliographie[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code] Dictionnaire biographique de militants. Liens externes[modifier | modifier le code]

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