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Médias de masse

Médias de masse
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Naissance du concept[modifier | modifier le code] Le terme a été créé dans les années 1920. Dans un premier temps, du fait des techniques employées, les médias de masse se caractérisent par une logique "push" c'est-à-dire que l'information est poussée par un émetteur vers des destinataires, à grande échelle, d'où un coût par contact très faible pour l'annonceur. Ainsi la télévision est considérée comme le média de masse par excellence. Le sociologue Marshall McLuhan[1], présente le phénomène « des médias de masse » sous quatre caractéristiques principales : la communication de un vers plusieurs.l’uni-latéralité du message : le public n'interagit pas avec le véhicule du message.l'information est indifférenciée : tout le monde reçoit la même information au même moment.l'information est linéaire et présentée selon des séquences pré-définies. Publicité et propagande[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Modèle de propagande Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le modèle de propagande (en anglais « propaganda model ») est une grille d'analyse des médias de masse américains mainstream proposée par Edward Herman et Noam Chomsky en 1988 dans leur livre La Fabrication du consentement[1]. Ce modèle leur sert de base pour montrer que ces médias, bien loin d'être un « quatrième pouvoir », proposent selon eux un traitement biaisé de l'information au service des élites politiques et économiques. Chomsky et Herman analysent – exemples détaillés à l'appui[2] – combien règne une forme particulière de désinformation dans la manière dont ces médias présentent certains événements internationaux. Les cinq déterminants du modèle de propagande[modifier | modifier le code] Le modèle de propagande proposé par Noam Chomsky et Edward Herman se décompose en cinq déterminants essentiels, qui filtrent l'information. Structuration[modifier | modifier le code] Instanciations[modifier | modifier le code]

Le paradoxe:"Je suis Charlie", "je ne suis pas Charlie" Les responsables des grands médias sont convoqués pour évaluer leur couverture médiatique des attentats commis en France ( 17 morts ). Des familles d’otages accusent ni plus ni moins la chaîne BFMTV d’avoir mis en danger la vie des otages en révélant que certains étaient cachés dans une chambre froide. Cela fait effectivement froid dans le dos. Une liberté d'expression à géométrie variable C’est toute l’idée de la liberté d’expression, de la liberté des médias et de la liberté de la presse qui revient sur le tapis. D’un côté, Charlie Hebdo revendique une liberté totale d’expression, et de l’autre, c’est un appel à la prudence et à la responsabilité. La question est enfin posée. il s’agit de vie humaine. Les terroristes islamistes connaissent le fonctionnement de nos médias Les terroristes islamistes ont montré encore une fois leur compréhension du fonctionnement du système médiatique occidental. Comme en septembre 2001, ils connaissent les conséquences de la médiatisation.

Sionisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article se consacre surtout à l'analyse des courants idéologiques sionistes ainsi qu'aux réactions qu'ils ont suscitées. Pour le détail de son histoire, voir aussi : Histoire du sionisme. Le sionisme est une idéologie politique, décrite comme nationaliste par les uns et comme émancipatrice par les autres, prônant l'existence d'un centre spirituel, territorial ou étatique peuplé par les Juifs en Terre d'Israël (Eretz Israel). À la naissance du mouvement, à la fin du XIXe siècle, ce territoire correspondait à la Palestine ottomane, puis après la Première Guerre mondiale à la Palestine mandataire. Sur un plan idéologique et institutionnel, le sionisme entend œuvrer à redonner aux Juifs un statut perdu depuis l'annexion du Royaume d'Israël à l'Empire romain, à savoir celui d'un peuple disposant d'un territoire. Le sionisme doit son nom au mont Sion, une des collines sur laquelle fut bâtie Jérusalem. Terminologie[modifier | modifier le code]

Histoire du sionisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le sionisme est une idéologie politique nationaliste, apparue au XIXe siècle, et qui entend permettre aux Juifs d'avoir un État. Cet article s'intéresse essentiellement à trois problématiques au cœur de l'histoire du sionisme : Les débats et pratiques autour de la construction d'institutions nationales ou prénationales : Organisation sioniste mondiale, partis politiques, Agence juive, groupes armés, puis l'État lui-même.Les débats et pratiques autour de la constitution d'une population juive importante au sein de l'État.Les débats idéologiques entre tendances sionistes, en particulier sur la définition des objectifs. Dans ce domaine, deux questions ont particulièrement divisé (et continuent de diviser) les sionistes : La place de la religion juive dans le sionisme.La question de la localisation de l'État juif, puis de ses frontières. Les faits historiques qui sont cités dans l'article ci-dessous sont donc très incomplets. Moses Hess

Comment les intox sur Rothschild alimentent l’antisémitisme – Agitations Depuis plusieurs semaines nous avons vu le nom de la famille Rothschild sur des pancartes lors de manifestations de Gilets Jaunes. Étant donné tous les agios qu’il nous prennent, il est évident que nous n’aimons pas vraiment les banquiers, mais nous ne souhaitons pas instrumentaliser la haine de la finance à des fins racistes. Historiquement la figure du banquier juif a souvent été utilisée par le discours anticapitaliste du XIXe siècle, et charrie avec elle de nombreux symboles antisémites. Dans le cas de la famille Rothschild, de quoi parle-t-on ? La famille Rothschild est un grand nom de la bourgeoisie d’affaire juive. Originaire du Sainte Empire (l’Allemagne actuelle), la famille se divise en cinq branches (allemande, anglaise, française, autrichienne et italienne) au début du XIXe siècle. Fake news n°1 : « Rothschild a financé Hitler» L’antisémitisme a en effet joué un rôle prépondérant dans la concentration d’une partie du capital financier et industriel occidental.

La vision du monde raciste d’Arthur Balfour Par David Cronin, le 18 octobre 2017 Arthur James Balfour sera sans aucun doute porté aux nues par les fervents inconditionnels de l’État d’Israël dans les semaines à venir, pour un bref document qu’il a signé il y a 100 ans. En tant que Secrétaire du Foreign Office britannique en novembre 2017, A. Balfour a déclaré son appui au projet de colonisation sioniste. Avec sa déclaration, la Grande Bretagne devint le sponsor impérial d’un État juif – appelé par euphémisme « un foyer national juif » – qui allait s’établir en Palestine par l’expulsion massive de son peuple autochtone. Dans ce document, la garantie que les droits des Palestiniens seraient protégés s’est avérée nulle et non avenue. En 1919, il affirma que les aspirations sionistes étaient « d’une bien plus grande importance que les désirs et préjugés des 700.000 Arabes qui habitent actuellement cette terre antique ». De 1887 à 1891, Balfour était à la tête de l’administration britannique en Irlande. Des bienfaits de la civilisation ?

Jour J tome 6 : l’imagination au pouvoir ? Depuis le temps que les ex-soixante-huitards nous bassinent avec leur fameux mois de mai, il fallait bien que l’uchronie sur penche sur leur cas ! C’est ce que se proposent de faire les auteurs de la très bonne série « Jour J » dans ce sixième tome. Mai 1968 : De Gaulle meurt dans un accident d’hélicoptère, en se rendant à Baden-Baden. Massu décide d’intervenir militairement à Paris, c’est le fameux point de divergence avec notre réalité. Mai 1973 : après cinq années de troubles, de guerre civile et de chaos, la France panse ses plaies et s’apprête à se doter d’une nouvelle république. Dans ce marasme politique nage en eaux profondes un électron libre : Georges Delpérier. J’ai déjà eu occasion d’aborder cette série BD d’uchronie sur ce blog, notamment lors de sa première sortie en librairie. Dans ce climat incertain émergent les mêmes grands politiques de notre époque : Mitterrand et Chirac. Jour J tome 6 : l’imagination au pouvoir ?

Khayr ad-Din dit Barberousse 1478-1546 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Né vers 1478 dans l'île de Lesbos, mort le 4 juillet 1546[3], il était le frère cadet d'un autre célèbre corsaire, Arudj Reïs. Biographie[modifier | modifier le code] Beylerbey (pacha) d'Alger[modifier | modifier le code] Khayr ad-Din s'était vu confier l'autorité sur Alger durant la période où Arudj allait à la conquête de l'Ouest algérien. Entre-temps il dut juguler une révolte des Algériens et faire face à un nouvel assaut espagnol. Barberousse sera néanmoins vaincu, mais par une armée de Hafsides alliée à Sidi Ahmed ou el Kadhi, l'émir de Koukou. En 1526, il subit un échec cuisant face à la flotte de Andrea Doria, alors chef de la flotte pontificale, qui attaque avec succès une partie de sa flotte aux abords de Piombino. En 1529, Barberousse entreprit le siège du Peñon. En 1533, Barberousse fut convoqué à Constantinople par Soliman qui le nomma Grand Amiral de la flotte ottomane (capitan pacha) et l'investit du titre de Beylerbey.

24/08/1665 Bataille de Cherchell commandée par le Duc de Beaufort & le chevalier Paul Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. [modifier | modifier le code] [modifier | modifier le code] Pots-de-Fleurs, navire amiral, 30 canonsHillel, 33 canonsChems, 33 canonsCheval Blanc, 30 canonsNekhla, 22 canons Notes et références[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code] Michel Vergé-Franceschi (dir.), Dictionnaire d'Histoire maritime, éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins »,‎ 2002Guy Le Moing, Les 600 plus grandes batailles navales de l'Histoire, Marines Éditions,‎ mai 2011, 620 p.

Beys de la province de Constantine de 1528 à 1830 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Drapeau du Beylik de Constantine à l'époque de Hadj Ahmed Bey[1]. Le premier bey de la province de Constantine fut Ramdane-Tchulak bey qui régna de 1567 à 1574 sur la province de Constantine. Comme pour les autres provinces de la Régence (le beylik d'Oran et le beylik du Titteri), le bey de Constantine est le représentant du dey d'Alger et administrive la province en son nom[3]. Historique[modifier | modifier le code] Liste des beys de la province de Constantine[modifier | modifier le code] De 1528 à 1830, la province de Constantine est gouvernée par quarante-quatre beys, le premier fut Ramdane-Tchulak bey qui régna sur la province entre 1528 et 1567. Références[modifier | modifier le code] ↑ Temimi Abdeljelil. Bibliographie[modifier | modifier le code] Mouloud Gaïd, Chronique des beys de Constantine, Office des publications universitaires,‎ 1983. Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code]

Histoire L’émir Abd El-Kader(né le 6 septembre 1808 près de Mascara en Algérie – décédé le 26 mai 1883 à Damas Syrie), est un théologien soufi algérien, également écrivain-poète et philosophe, homme politique et résistant militaire face l’armée coloniale française. Son père, Sidi Mahieddine, était un cheikh de l’ordre soufi Qadiri, et sa mère, Zora, une femme savante. Il naquit à La Zaayah, une école religieuse de la Guyathnali (les Tentes), dans la région de Mascara, à gauche de la route qui va d’Oran à cette ville. La date la plus probable de sa naissance est le 6 mai 1807. Il eut une éducation religieuse soufiste. L’émir Abd El-Kader fait remonter ses origines à la tribu berbère des Banou Ifren. Mahieddine fit une seconde fois le voyage de la Mecque avec son fils. La prise d’Alger par les Français en 1830 venait de porter un coup terrible à l’empire des deys et à la domination ottomane. Ils arrivèrent à un accord sur les trois dispositions suivantes du traité : 1.

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