Polygamie en France La polygamie en France concerne la pratique de la polygamie sur le territoire français, ou par des citoyens français. Selon le code civil, un mariage polygame ne peut être contracté en France. Il est impossible de se marier ou de se pacser avec plusieurs partenaires. Toutefois, il peut y avoir situation de polygamie hors mariage ou union civile (polygynie, polyandrie) ou lié à de récents types de concubinages (polyamour, tryade, couple libre, amour libre, etc.). Surtout, en raison des règles du droit international privé et du statut personnel, les mariages contractés à l'étranger, y compris les mariages polygames, ont force de droit, entre les parties uniquement. Pour qu'un mariage, ou tout autre contrat[réf. nécessaire] soumis à une réglementation étrangère, puisse recevoir autorité en France, cet acte devra être soumis à exequatur, c'est-à-dire à homologation par le juge français. Lien entre second mariage et divorce[modifier | modifier le code] Presse[modifier | modifier le code]
L'État long de Poutine - Le Grand Continent On l’appelle parfois l’éminence grise du pouvoir russe. Après le service militaire au sein du spetsnaz (troupes d’interventions spéciales) et le travail de haut niveau dans la communication pour les oligarques Mikhaïl Khodorkovski et Mikhaïl Fridman, Vladislav Sourkov s’est mis au service du président Eltsine dans les derniers mois de son mandat. L’un des créateurs du parti Russie unie, il est, dès l’arrivée de Vladimir Poutine au pouvoir, une figure de premier plan qui façonne l’idéologie et la pratique du régime poutinien. En février 2019, Vladislav Sourkov publie « L’État long de Poutine » dans le journal Nezavisimaya Gazeta. « Il semblerait que nous ayons le choix ». L’illusion du choix est la plus importante des illusions, elle est l’astuce principale du mode de vie occidental en général et de la démocratie occidentale en particulier, elle qui a longtemps été attachée aux idées de Barnum plutôt qu’à celles de Clisthène. L’élite russe est brillante et occupe la scène nationale.
Soninkés Carte de répartition Ethnonymie[modifier | modifier le code] Selon les sources, on observe de très nombreuses variantes : Aswanik, Dafing, Dafi, Dyakanke, Gadyaga, Maraka, Maraxa, Marka, Marka Soninké, Saracole, Sarakolé, Sarakollé, Sarakule, Sarawule, Saraxole, Seraculeh, Serahuli, Serakhulle, Silabe, Soniake, Soninkés, Sonninké, Toubakai, Wakore[1]. Langue[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Guerriers sarakholés (gravure de 1890) L'historien Abdoulaye Bathily évoque une origine saharienne des Soninkés, qui auraient migré vers le Sahel au fur et à mesure de l'assèchement du climat au IIIe millénaire av. Les Soninkés se sont convertis à l'islam au XIe siècle. Au XIXe siècle, Mamadou Lamine Dramé, un marabout soninké du Galam, fut l'un des plus grands résistants contre la colonisation au Sénégal[9]. Population[modifier | modifier le code] Il existe une importante diaspora, notamment en région parisienne depuis la fin des années 1950[12].
Le XIXème siècle ne fait que commencer - Hazukashi - Medium Nous sommes samedi soir et je réfléchis, cocktail à la main. Dans une soirée appart où en échange de la dégradation complète de mon foie, je pourrai élargir mon cercle social en discutant avec une vingtaine de potes de potes. Un ersatz de rallye pour middle-class dans une ville hostile, surpeuplée, et peu propice aux rencontres. Flânant sans but au milieu du salon, soudain me vient une vision dans le gin-tonic : le décor est décadentiste, dépressif, fin de siècle … Cette pièce enfumée peuplée d’êtres pâles et maigrichons, consommant des produits forts pour oublier leurs lamentations intérieures, nostalgiques d’un état de félicité lointain et fantasmé… j’ai plongé en plein Paris de 1878 ! Moi-même, sirotant un Bombay Sapphire agrémenté d’Indian Tonic, drapé dans les volutes de ma cigarette électronique, je fais officier anglais du Raj Britannique. Le voilà, le rapport au monde de ma génération. Arya, Sansa, Bran, Jon, Robb, Theon, c’est nous. Les rebuts de notre génération.
Sexualité tordue La sexualité tordue ou kinky sex en anglais désigne une sexualité qui se revendique hors norme, par distinction de la sexualité dite conventionnelle et socialement acceptable. Elle implique des fantasmes et des pratiques jugées déviantes, ainsi qu'un phénomène social d'appropriation d'un stigmate et la formation d'une sous-culture. Origine[modifier | modifier le code] Le terme kinky vient de l’argot américain et désigne une approche de la sexualité sortant de la norme[1],[2]. Le terme implique donc une grande part de réaction, face à une stigmatisation et à des aspects normatifs entourant la sexualité humaine. Définitions[modifier | modifier le code] La sexualité kinky est l'opposée de la sexualité dite conventionnelle (aussi nommée sexualité vanille)[4]. Dans le domaine de la sexualité humaine, la sexualité kinky s'exprime à travers des pratiques sexuelles ou des fantasmes qui peuvent être vus comme étant déviants. Consentement et sexualité kinky[modifier | modifier le code]
Parution de "Vers les Etats-Désunis ?" de David Teuscher - Le Cercle Aristote La géopolitique contemporaine semble limitée aux zones « classiques » de conflit du Moyen-Orient et de l’Afrique. Ici, il s’agit de confronter leurs facteurs de conflit à un pays développé. Les États-Unis sont un exemple de diversité et de pluralité par ses 50 États, dont chacun dispose de ses propres institutions : gouvernement, parlement, lois… Les lignes de fracture de la société américaine sont nombreuses : idéologies, disparités économiques, aires culturelles, divisions ethniques, flux migratoires, mouvements radicaux… Les États-Unis sont-ils si unis et indivisibles ? Chercheurs et think tanks ont alors développé le concept de « mégarégions ». Ce projet territorial consiste à regrouper des États fédérés autour d’une aire métropolitaine majeure sur une base géographique, économique et culturelle commune, pour répondre aux défis de la société. Livraison standard par relais colis : 24 € Livraison rapide (La Poste) : 26 € Pour commander depuis l’étranger : 31 €
Andrew Sullivan: We All Live on Campus Now NYU students hold a rally calling for the school to become a “sanctuary campus” in November 2016. Photo: Erik McGregor/Pacific Press/LightRocket via Getty Images Over the last year, the most common rebuttal to my intermittent coverage of campus culture has been: Why does it matter? These are students, after all. They’ll grow up once they leave their cloistered, neo-Marxist safe spaces. The reason I don’t agree with this is because I believe ideas matter. And, sure enough, the whole concept of an individual who exists apart from group identity is slipping from the discourse. Polarization has made this worse — because on the left, moderation now seems like a surrender to white nationalism, and because on the right, white identity politics has overwhelmed moderate conservatism. And yes, I’m not talking about formal rules — but norms of liberal behavior. An entirely intended byproduct of this kind of bullying — and Roiphe is just the latest victim — is silence. Microaggressions? Privacy?
Le combat d'une Brésilienne jugée pas assez noire pour devenir procureure Temps de lecture: 18 min Lorsque Maíra Mutti Araújo parle, son accent est immédiatement reconnaissable aux oreilles brésiliennes. C'est celui de Salvador de Bahia, une ville côtière au nord-est du pays, autant célèbre pour ses plages que pour la richesse de son héritage africain. Tout comme sa mère, Araújo est née et a grandi à Salvador. Son père, lui, vient d'un petit village à huit heures de route de là, mais s'est installé dans la capitale au moment de ses études supérieures. Araújo vient d'une famille cultivée. Fin 2015, Araújo louche sur un poste à pourvoir à la direction des affaires juridiques de la mairie de Salvador, sa ville natale. Depuis 2011, l’État de Bahia et sa capitale, Salvador, avaient mis en œuvre une série de mesures visant à lutter contre les inégalités raciales. Salvador, la «Rome noire» de l'Amérique Que Bahia possède la discrimination positive la plus énergique de tout le Brésil fait sens d'un point de vue démographique. Nous ressemblerons tous aux Brésiliens
Au Brésil, pour réduire les inégalités raciales, on en vient à mesurer les crânes et les narines Temps de lecture: 12 min PELOTAS, Brésil En fin d'année dernière, Fernando recevait un message qu'il redoutait depuis des mois. Sauf que l'article ne correspond pas à l'identité que s'assigne Fernando. Si la discrimination positive est arrivée dans les universités américaines dans les années 1970, il faudra attendre 2001 pour que le concept débarque au Brésil, à la faveur notamment d'une remise à plat de l'identité brésilienne. Un mythe Mais comme des militants noirs l'assurent depuis des décennies, le concept est aussi un mythe. Pour ces militants, si le daltonisme racial national a effectivement pris fin, le phénomène a néanmoins suscité de la fraude raciale –des gens profitant de la discrimination positive alors qu'elle n'est pas là pour eux. «Ces places sont pour des individus phénotypiquement noirs», m'explique Mailson Santiago, étudiant en histoire à l'Université Fédérale de Pelotas et membre de l'association «Setorial Negro». Une nouvelle «chasse aux sorcières» «Mon père est noir.
Jean Jaurès, le colonialisme à visage humain Les misères du patronat « Il n’y a de classe dirigeante que courageuse. A toute époque, les classes dirigeantes se sont constituées par le courage, par l’acceptation consciente du risque. Le courage, pour l’entrepreneur, c’est l’esprit de i’entreprise et le refus de recourir à l’Etat ; pour le technicien, c’est le refus de transiger sur la qualité ; pour le directeur du personnel ou le directeur d’usine, c’est la défense de la maison, c’est dans la maison, la défense de l’autorité et, avec elle, celle de la discipline et de l’ordre. Dans la moyenne industrie, il y a beaucoup de patrons qui sont à eux mêmes, au moins dans une large mesure, leur caissier, leur comptable, leur dessinateur, leur contremaître ; et ils ont avec la fatigue du corps, le souci de l’esprit que les ouvriers n’ont que par intervalles. Lorsque les ouvriers accusent les patrons d’être des jouisseurs qui veulent gagner beaucoup d’argent pour s’amuser, ils ne comprennent pas bien l’âme patronale.
01016-20131114ARTFIG00480-un-homme-de-50-ans-sur-5-n-est-pas-pere À 50 ans, 20% des hommes vivants en France ne sont pas pères, et ne le seront probablement jamais. Soit un quinquagénaire sur cinq. C'est l'un des résultats les plus marquants du «Portrait social 2013» de la France effectué par l'INSEE, et publié ce jeudi. Le phénomène est d'autant plus intéressant que du côté des femmes, la proportion de personnes sans enfants est quasiment stable depuis les années 1930: 13,5% des quinquagénaires n'ont jamais enfanté, contre 12% pour les générations précédentes. «Il y a toujours eu un décalage entre les taux d'infécondité des hommes et des femmes dû à la non-reconnaissance de paternité», souligne Luc Masson. Mais la volonté de ne pas être parent n'explique pas à elle seule l'augmentation du nombre d'hommes sans enfants. Il ne faut pas pour autant oublier les hommes exclus du marché conjugal contre leur volonté, que ce soit à cause des aléas de la vie, de la maladie, du handicap ou de la précarité.