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Biochar

Biochar
Le biochar se différencie du charbon de bois par son utilisation (comme intrant plutôt que comme combustible) et donc par son impact environnemental (il agit comme un puits de carbone plutôt que de libérer du CO2 dans l'atmosphère lors de la combustion). Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot biochar est un néologisme anglais, composé du préfixe bio- (« organique ») et du mot charchar, qui désigne la partie solide résultant de la pyrolyse d'un combustible solide. Il faut le traduire par : charbon à usage agricole. Une appellation moins courante mais moins ambiguë est celle d'agrichar. L'expression biocharbon, parfois employée comme équivalent de biochar, est impropre. Histoire[modifier | modifier le code] Ils ont découvert que ce sol n'était pas naturel mais transformé par l'homme entre -800 et 500 — raison pour laquelle on le qualifie parfois d'anthrosol. Lorsqu'ils ont été découverts par les colons européens, ces sols ont été appelés terra preta de índio. Elle reste difficile. Related:  permaculture

liste pollinisateurs | Apiterra Les pollinisateurs sont des auxiliaires qu’il faut absolument protéger. S’ils disparaissaient, du fait de l’emploi des insecticides et des herbicides, la production agricole mondiale s’effondrerait. Les experts s’en inquiètent dans le monde entier. Les abeilles sont les pollinisateurs les plus connus et les plus nombreux. Les bourdons sont les meilleurs pollinisateurs des poivrons, tomates et aubergines, dont les fleurs sont délaissées par les abeilles domestiques. Les plus connus de ces pollinisateurs Vous trouverez ci-dessous six polinisateurs parmi les plus connus… Mais bien d’autres insectes butinent le pollen ou le nectar des fleurs, et assurent ainsi une partie de leur pollinisation. Les abeilles solitaires sont peu connues et pourtant très présentes. D’autre part, la plupart des mouches butinent les fleurs de petites dimensions, telles que celles de la carotte, du panais ou du céleri, pour se nourrir. L’abeille domestique L’abeille charpentière L’abeille charpentière © D.R. Le syrphe

Charbon vert & Biochar - Les bon plans pour fabriquer soi-même un four à biochar efficace Avant de détailler les informations concernant le four à Biochar, décrivons le mot « biochar », qui est un néologisme pouvant être traduit par « charbon de bois agricole ». En fait, le biochar, c’est un charbon de bois pilé qui peut être mélangé à un amendement pour améliorer le rendement d’un sol. Il est important de préciser que le mélange de micro-organismes de la gamme TEREM Life avec le biochar est une excellente alternative. En effet, le biochar, grâce à ses micro-cavités, est un excellent réceptacle, un refuge, un incubateur de micro-organismes. Cela permet, avec un mélange correct, de faciliter l’implantation, la multiplication des micro-organismes de la gamme TEREM Life, et la répartition dans le milieu d’implantation. De plus, les vers de terre étant friands de biochar, ils vont le manger, le digérer, le transporter et permettre une répartition et une meilleure diffusion du mélange. Sur le lien suivant : Un plan de réalisation du Four à Biochar. Vous aimez ou voulez nous suivre :

Permaculture La permaculture est, à l'origine, une conception de l'agriculture et de l'horticulture durable fondée sur l'observation minutieuse des écosystèmes et des cycles naturels et leur imitation. C'est un mot-valise anglais formé à partir de « permanent (agri)culture » ; en français : « agriculture durable » ou « culture permanente ». Cependant l'expression « agriculture durable » a aujourd'hui pris un sens plus large. Elle a été élaborée dans les années 1970 par le biologiste australien Bill Mollison et son élève David Holmgren. La notion de permaculture a progressivement été étendue à une conception systématique de l'environnement et à une éthique normative définissant des modes de vie et un fonctionnement de la société souhaitables. En Europe, la permaculture est pratiquée aussi bien dans des jardins privés que dans des fermes de taille moyenne. Définition[modifier | modifier le code] Le terme est toutefois utilisé pour désigner la forme d'agriculture basée sur ces principes. Howard T.

Charbon actif Le charbon actif, aussi nommé charbon activé ou carbone activé[1], est un matériau constitué essentiellement de matière carbonée à structure poreuse. On appelle charbon actif tout charbon ayant subi une préparation particulière et qui, de ce fait, possède à un haut degré la propriété de fixer et de retenir certaines molécules amenées à son contact. Il s'agit d'une structure amorphe composée principalement d'atomes de carbone, généralement obtenue après une étape de carbonisation d'un précurseur à haute température. Un charbon actif présente en général une surface spécifique élevée qui lui confère un fort pouvoir adsorbant. L'adsorption est un phénomène de surface par lequel des molécules se fixent sur la surface de l'adsorbant par des liaisons faibles : forces de van der Waals, interactions électrostatiques, liaisons hydrogène. Des preuves de l'utilisation du charbon actif remontent à l'Antiquité avec des utilisations médicinales par Hippocrate vers 400 ans av.

La Relève et La Peste Depuis 1984, une famille suisse développe des semences anciennes pour les rendre accessibles à tous. A travers la conservation et la vente de semences paysannes libres de droit, ils souhaitent préserver notre biodiversité alimentaire et le savoir-faire des jardiniers. L’entreprise familiale Zollinger a été fondée en 1984 entre le Lac Léman et les Alpes, dans la commune des Evouettes. Après leurs études, les deux ingénieurs agronomes ayant fondé l’exploitation ont réalisé que beaucoup de variétés anciennes étaient sur le point de disparaître. Ils ont alors décidé de répertorier et développer ces semences anciennes pour les vendre en libre reproduction, c’est à dire que les jardiniers et maraîchers qui les achètent une première fois sont libres de les multiplier et ressemer eux-mêmes l’année d’après. « Pour nous, une variété vivante, c’est une variété qui est semée, cultivée et utilisée.

Énergie sombre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'énergie sombre ne doit pas être confondue avec la matière sombre qui, contrairement à l'énergie sombre, ne remplit pas uniformément l'univers et qui interagit normalement (forces attractives) avec la gravitation. Naissance de la notion d'énergie sombre[modifier | modifier le code] L'expression dark energy (énergie sombre) a été citée pour la première fois dans un article de Huterer et Turner[1] en 1998, quelques mois après la découverte de l'accélération de l'expansion de l'Univers[DE 1]. Du fait de sa nature répulsive, l'énergie sombre a tendance à accélérer l'expansion de l'Univers, plutôt que la ralentir, comme le fait la matière « normale ». Mais l'idée d'une composante accélératrice, invisible et diffuse, de l'univers est plus ancienne[DE 1]. Nature de l'énergie sombre[modifier | modifier le code] La nature exacte de l'énergie sombre fait largement partie du domaine de la spéculation. Constante cosmologique[modifier | modifier le code] .

La vérité au sujet des gourmands de tomate Ce soit-disant gourmand est en fait une tige secondaire. Chaque fois que j’ose expliquer ce qui se passe réellement avec les «gourmands» des tomates, ceux que tout le monde nous dit de supprimer, cela suscite un tel tollé que j’en ai pour des semaines de courriels haineux de la part des jardiniers choqués. On dirait qu’ils ne veulent pas entendre la vérité sur la situation, que le concept de «gourmand» leur est si précieux qu’ils y tiennent précieusement. Mais parfois, il vaut la peine d’entendre la réalité. Et la réalité est que les tomates ne produisent pas de gourmands. Et l’on ne peut pas supprimer quelque chose qui n’existe pas! Le mot juste Un gourmand est, par définition, une tige qui ne produit pas. Un gourmand sape l’énergie, une tige feuillue en donne Le mot gourmand est péjoratif. Le mot «gourmand» est lourd de sens et est nettement péjoratif. Car les tiges secondaires qui poussent sur les tomates ne sapent pas l’énergie de la plante. Fausses croyances Une taille à faire WordPress:

Terra preta Ces sols ont pour la plupart été créés par l’être humain entre −800 et 500[5], les plus vieux remontant pour leur part à −2800[6]. Ils sont donc d'origine précolombienne. Des milliers d'années après leur création, ils sont si réputés au Brésil qu'ils sont récoltés et vendus comme terreau à rempoter (voir pédologie). Leur profondeur peut aller jusqu'à deux mètres[6]. Les étendues de terra preta sont généralement entourées de sols infertiles, principalement l'oxisol[3], mais aussi ferralsols, acrisols et arénosols[b 1]. La terra preta est un mélange complexe de terrain « naturel » (jaune ou rougeâtre et acide, dans le cas de l'Amazonie), de charbon, de fragments d’objets de poterie, de déchets organiques (résidus de récolte, déjections animales, os de poisson, etc.) et enfin de milliers de micro-organismes différents[7]. La terra preta est très fertile, ce qui est une anomalie par rapport aux sols peu productifs de la forêt amazonienne[8]. Références de la bibliographie

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