Hans Freudenthal Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hans Freudenthal Hans Freudenthal (17 septembre 1905 – 13 octobre 1990) était un mathématicien juif allemand, naturalisé néerlandais, spécialiste en topologie algébrique mais dont les contributions ont largement débordé ce domaine. Il s'intéressa à l'enseignement des mathématiques. Il fut président de l'ICMI (Commission internationale de l'enseignement mathématique) et une récompense portant son nom est attribuée[1]. Il inventa le Lincos : un nouveau langage destiné à permettre la communication avec d'éventuels extraterrestres[3]. Biographie[modifier | modifier le code] Sa qualité de Juif lui valut d'être suspendu de son poste à l'Université d'Amsterdam pendant la Seconde Guerre mondiale. À partir de 1946, il fut titulaire de la chaire de mathématiques pures et appliquées à l'université d'Utrecht, jusqu'en 1975. Apports en éducation[modifier | modifier le code] Le problème de Freudenthal[modifier | modifier le code] Trouvez X et Y.
Le top 7 des loses des mathématiciens de génie - Le Généraliste : Culture générale and co. Certains sites internet présentent des classements souvent drôles mais néanmoins très instructifs sur des thèmes très variés, du type "Top 5 des présidents américains les plus pourris" ou encore "Top 5 des films dont on a massacré la fin" (en anglais). A mon tour d’en faire un ! Je vous propose mon Top 7 des loses des mathématiciens de génie. Ce classement présente donc des mathématiciens qui ont été très influents voire essentiels dans leur domaine, et à qui il est arrivé une ou plusieurs "lose(s)" au cours de leur existence. Certains d’entre eux ont réussi à surmonter leurs loses, d’autres… n’y ont pas survécu. Ce classement est bien sûr complètement subjectif. #7 : Sophie Germain (1776 – 1831) La lose de Sophie Germain fut d’être… une femme. Sophie Germain travailla entre autres sur le théorème de Fermat, l’un des problèmes de maths les plus difficiles de ces cinq derniers siècles, auquel elle apporta une contribution importante, sans pour autant le résoudre. #6 : Archimède (287 av.
mathématiciens, de 1900 à nos jours - classification thématique Écrit par : Bernard PIRE Mathématicien allemand, spécialiste de la logique. Né le 29 mars 1896 à Schönebeck, près d'Altena en Westphalie (alors en Prusse, aujourd'hui en Allemagne), Wilhelm Ackermann fait ses études supérieures à l'université de Göttingen. Mathématicien finlandais, un des deux premiers lauréats de la médaille Fields en 1936. Né le 14 novembre 1916 à Rouen, Roger Apéry est le fils unique d'un ingénieur grec, qui a émigré en France en 1903. Le mathématicien russe Vladimir Igorevich Arnold, décédé le 3 juin 2010 à Paris des suites d'une opération chirurgicale, a marqué le développement des mathématiques dans de nombreux domaines. Écrit par : Jean-Luc VERLEY On peut considérer Artin comme un des fondateurs de l'algèbre contemporaine ; par exemple, de l'aveu de son auteur, le livre Moderne Algebra de Van der Waerden, qui fut l'ouvrage de référence pendant trente ans, est issu de leçons professées par Emil Artin et Emmy Noether. Écrit par : Universalis Mathématicien français.
Andrew Wiles - MathVIP Andrew Wiles est probablement le mathématicien contemporain le plus connu du grand public. En effet, il a réussi l’exploit de mettre le point final à la démonstration du « Dernier théorème de Fermat » (DTF), énoncé 358 ans auparavant par le Français Pierre de Fermat, mathématicien « amateur » du 17e siècle (1601-1665). Ce qui est remarquable, dans l’histoire d’Andrew Wiles, c’est qu’il a découvert l’énoncé de ce problème lorsqu’il avait 10 ans, en 1963, dans un livre de problèmes mathématiques emprunté à la bibliothèque de sa municipalité en Angleterre. Quel était ce DTF ? a2 + b2 = c2. On peut trouver une infinité de triplets de nombres entiers positifs qui satisfont cette égalité, un théorème démontré par Euclide (-325, -265), et dont le triplet le plus connu est (3, 4, 5), car 32 + 42 = 52. De plus, Fermat affi rmait avoir trouvé une merveilleuse preuve de son « dernier théorème ». Toute sa vie, il a été guidé par cette idée d’être celui qui allait résoudre le DTF. Notes Références
Les plus grands mathématiciens de tous les temps J'ai cherché une liste des plus grands mathématiciens de tous les temps sur Internet et je n'ai rien trouvé en français. J'ai donc décidé d'en reproduire une avec les liens Wikipédia. Toute liste est sujette à polémique. Le classement que je propose en est un parmi d'autres. Je l'ai d'ailleurs repris sur ce site ( en anglais) et je ne pense pas que ma contribution apporte énormément à l'affaire. La discussion au sujet de l'ordre choisi peut d'ailleurs être intéressante, ainsi que les grands absents de cette liste. 1 Archimède de Syracuse H Tag 2 Isaac Newton H Tag 3 Carl F. 6 Bernhard Riemann H Tag 7 Henri Poincaré Tag 8 David Hilbert Tag 9 Joseph-Louis Lagrange 10 Pierre de Fermat Tag 11 Niels Abel 12 Alexander Grothendieck Tag 13 Évariste Galois Tag 14 Srinivasa Aïyengar Ramanujan Tag 15 Leonardo Pisano Fibonacci Tag 16 Gottfried Wilhelm Leibniz Tag 17 Eudoxe de Cnide Tag 18 Karl Wilhelm Theodor Weierstrass 19 Blaise Pascal Tag 20 René Descartes H Tag 26 Carl G.
Mikhaïl Gromov ou les mystères de l'abstraction Lauréat des prix les plus prestigieux, Mikhaïl Gromov est l'un des mathématiciens contemporains les plus importants par l'ampleur de son oeuvre. Une oeuvre définitivement impénétrable au commun des mortels. "Vous expliquer ce que je fais ? C’est absolument impossible ! On peut dire que c’est intéressant, donner des perspectives historiques, mais rien de plus. D’après ses collègues, cette œuvre est considérable : le mathématicien franco-russe est le père du "h-principe", des fondements de la topologie symplectique, des notions de courbe pseudo-holomorphe ou de groupe hyperbolique. Tellement nouveaux que, comme l’explique celui que ses confrères comparent volontiers à Bernhard Riemann (1826-1866) ou Henri Poincaré (1854-1912), deux monstres sacrés de la discipline, "le plus difficile est souvent de transformer une idée en un langage intelligible pour les autres. Mikhaïl Gromov est assis au milieu de son vaste bureau donnant sur le parc de l’Institut.
Emile Borel, un mathématicien dans la cité Laurent Mazliak, mathématicien, dresse le portrait d'Emile Borel (1871-1956), «intellectuel militant sans relâche pour mettre les découvertes scientifiques et technologiques au service de la vie sociale», et, en bon probabiliste, défenseur du hasard et de la nécessaire liberté des chercheurs. Le 10 décembre 2010 s'est tenue, dans les locaux de l'Institut des sciences de la communication du CNRS, une après-midi consacrée à la présence des mathématiciens dans la cité illustrée par le cas d'Emile Borel. Borel a voulu saisir, avec une énergie jamais démentie, toutes les occasions où l'expertise de l'homme de science paraissait indispensable pour prendre des décisions stratégiques ou pour élever la conscience de ses contemporains vers une meilleure connaissance du monde. Les trois axes d'approche qui avaient été choisis pour l'après-midi reprenaient trois grandes composantes de cette riche activité. Au début des années 1920, il entame comme on l'a dit une carrière politique au sens propre.
Alexandre Grothendieck Journaliste, ancien rédacteur en chef de Libération et Télérama. Le portail gris aurait besoin d’un coup de peinture, mais la maison résiste au temps et au manque d’entretien. On n’ose pas frapper, l’homme qui vit là a fini par se fâcher avec ses voisins, un homme d’une cinquantaine d’années et sa mère, qui lui rendaient quelques services. La raison de cette ultime chamaillerie ? « J’ai arraché quelques brins d’herbes qui poussaient sur la partie goudronnée du chemin qui mène à la maison. L’un des plus grands esprits du XXe siècle vit comme Edmond Dantès au château d’If. À La recherche d’un mystère En 1988, l’une de ses dernières photos connues Alexandre Grothendieck, 83 ans [2], ne veut voir personne et ceux qui veillent sur lui, à distance, refusent de vous donner le nom de son village. Un coup d’œil chez les voisins d’en face Du point de vue mathématique, l’idée nouvelle d’Einstein était banale. Une pensée féconde En guise de casse-noisettes... Arpenter l’infini
Evariste Galois | MON PREMIER SITE INTERNET Hommage au plus gros badass des mathématiques et encore trop ignoré à ce jour : Evariste Galois vous défonce la gueule proprement et vous fait prendre conscience que vous êtes une grosse merde toute molle. Ne vous fiez pas à son air de petite pute mal baisée, car sous ses airs faussement prudes se cache une intelligence fulgurante. Tentative de présentation du personnage. Pour commencer, Evariste Galois naquit à Bourg-la-Reine, si c'est pas un début de vie de motherfucker, je sais pas ce qu'il vous faut... Du coup Evariste, les autres matières qu'il y a en classe, il s'en bat les couilles. Le contexte historique était assez particulier, puisque c'était pile pendant la révolution de 1830. Lors d'un banquet, il appelle au meurtre de Louis Philippe en levant sa bite et son couteau en l'air, et Alexandre Dumas - convive à la soirée - témoigne des faits. Selon les textes et différentes biographies, Galois se bourre la gueule en prison et participe à des concours de bite.
Récoltes et Semailles Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Récoltes et Semailles, sous-titré « Réflexions et témoignage sur un passé de mathématicien », est un texte d'Alexandre Grothendieck. Grothendieck y passe en revue son œuvre mathématique et y analyse le milieu des mathématiques, avec un regard parfois très critique. Ce texte constitue la trace d'une longue méditation que Grothendieck mena, durant plusieurs années, sur les mathématiques et sur les relations qu'il tissa avec ses collègues et ses élèves. Ce texte n'a jamais été publié. Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Alain Herreman, « Découvrir et transmettre : la dimension collective des mathématiques dans Récoltes et Semailles d’Alexandre Grothendieck », Texto ! Articles connexes[modifier | modifier le code] Alexandre Grothendieck Liens externes[modifier | modifier le code] L'ouvrage sur le site Web consacré au mathématicien Grothendieck Circle.
Israel Gelfand Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Gelfand. Biographie[modifier | modifier le code] Israel est cloué dans un lit d’hôpital pour une appendicite à l’âge de 15 ans, il en profite pour maîtriser un traité de calcul infinitésimal en moins de deux semaines. En 1930, à 17 ans, il vit à Moscou ; il cherche du travail avant même d'avoir terminé ses études au lycée. Préoccupé par l’enseignement des mathématiques, il est à l’origine d’une série de cours par correspondance destinés à des adolescents doués ne pouvant pas bénéficier, pour différentes raisons, d’un enseignement de qualité. Le décès de l’un de ses fils des suites d’une leucémie le conduit à s’intéresser de près à la biologie à partir de 1958. Il émigre aux États-Unis à la fin des années 1980 et continue d’enseigner à Harvard, au Massachusetts Institute of Technology et enfin à l’université Rutgers où il accepte un poste de Professeur Visiteur Distingué en 1990.