Nos enfants nous accuseront Pour la première fois de l’histoire, la prochaine génération ne sera pas en aussi bonne santé que leurs géniteurs. Mais quelles sont les causes de ce phénomène inquiétant? Or, il semble que le mode de vie industrialisée et l’augmentation constante de notre rythme de vie ont des conséquences importantes sur notre environnement. La pollution n’a jamais été aussi importante et l’utilisation des pesticides pour répondre aux besoins alimentaires de la population mondiale causent des dommages sur notre santé. Le taux de cancer est en forte augmentation depuis quelques décennies en Europe, des maladies comme le diabète ou les troubles associés à la reproduction gagnent aussi du terrain. Certaines solutions sont apportées, par exemple favoriser l’agriculture biologique. La santé de chacun débute avec une bonne alimentation pendant l’enfance. Nos enfants nous accuseront, un plaidoyer pour la santé des générations futures et de notre environnement.
Histoire des Anarchies (1/4) : Naissance du mouvement anarchiste Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. dygest 6. Le paradoxe assumé : un vivant moteur de contestation Dubuffet s’attaque à la culture, et prétend également ne pas y avoir recours en tant qu’artiste, là où l’on sent à le lire, qu’il la possède évidemment. Cependant, il soutient que la contradiction est loin d’être invalidante pour la pensée. Ici, la contradiction est présentée comme une méthode. Or pour Dubuffet, « il n’y a pas de vérité » (Id.). Ce contre quoi il y a lieu de s’insurger, ce n’est donc pas la culture elle-même, mais l’usage que l’on en fait, les abus de pouvoir de ses faiseurs d’opinions, et leurs jugements définitifs en toutes choses. Contredire, c’est aussi parler contre soi. C’est pour cela qu’il se définit comme une direction, une tendance, une aspiration.
"Immigration et délinquance" : la fabrique des stéréotypes Si certains sont convaincus, comme le succès public d’Eric Zemmour & Co. l’atteste, de l’existence d’une corrélation mécanique entre immigration et délinquance, et qu’ils ne veulent pas en démordre, on leur déconseille de regarder l’enquête de John-Paul Lepers. Car elle les déstabilisera au point de les contraindre à faire le deuil d’un préjugé tristement installé au cœur de l’imaginaire politique hexagonal depuis des années. Si ce travail visant à “dénaturaliser” le lien entre immigration et délinquance est rigoureusement mené par des sociologues comme Laurent Mucchielli, les médias de masse occultent trop souvent le problème, préférant laisser les préjugés se déployer aussi bêtement que souverainement. D’où l’intérêt de ce documentaire en deux parties, écrit par Christophe Nick et réalisé par Gilles Cayatte, qui part de l’existence de cette croyance collective et tente d’en saisir les mécanismes, avant d’en déconstruire les fondations.
Merde au travail, par James Livingstone – Blog de Paul Jorion Ouvert aux commentaires. Merci à Ronald Grandpey pour sa traduction ! Merde au travail © Aeon.co Les économistes croient au plein emploi. Les Américains considèrent que le travail forge le caractère. James Livingstone enseigne l’Histoire à l’université de Rutgers, New Jersey. Comment transformer le travail ? Le travail représente tout pour nous autres Américains. Mais ces credos ne fonctionnent plus. Chacun, de nos jours, qu’il soit de gauche ou de droite — de l’économiste Dean Baker au sociologue Arthur C. Ne me croyez pas sur parole, observez simplement les chiffres. Et ne venez pas me dire qu’augmenter le salaire minimum à 15 dollars de l’heure résoudra le problème. Mais attendez, notre dilemme actuel ne serait-il pas qu’une simple phase dans un cycle économique plus vaste ? La Grande Récession contemporaine — ne vous leurrez pas, elle n’est pas terminée — est donc véritablement une crise morale, autant qu’une catastrophe économique. Je ne suis pas juste en train de divaguer. Partager
Les spectacles du patrimoine - « Où est le vandale ? » - Éditions de la Sorbonne “Where is the vandal?” History and values of graffiti in France from 1945 to 1968 p. 163-200 Guy Debord, carte à Asger Jorn du 25 octobre 1962, cité dans Guy Debord, Correspondance, volume 2 : septembre 1960-décembre 1964, Paris, Fayard, 2001, p. 173. « Je crois que le papier à lettres sur lequel tu m’écris me donne la touche finale de l’entreprise : on peut opérer avec l’Institut de vandalisme comparé : c’est toute la question du vandalisme qui peut être aussi constructif, si on met en balance les divers résultats. Guy Debord, mots au verso d’une carte reproduisant la photographie de l’inscription « Ne travaillez jamais », adressée à Marc Dachy le 25 août 1994. Voir Jean-Pierre Babelon, André Chastel, Alain Erlande-Brandenburg, « La notion de patrimoine », Revue de l’art, 49, 1980, p. 5-32. Ibid., p. 30. Voir en particulier Horst Bredekamp, Kunst als Medium sozialer Konflikte, Bilderkämpfe von der Spätantike bis zur Hussitenrevolution, Francfort-sur-le-Main, Suhrkamp, 1975. Ibid., p. 9.
Qu'est-ce que l'Univers ? Roland LEHOUCQ Astrophysicien. Commissariat à l'Energie Atomique et aux énergies alternatives Roland Lehoucq est astrophysicien au Commissariat à l'Energie Atomique (CEA) de Saclay, il travaille entre autres sur la topologie cosmique.Professeur à l’Ecole Polytechnique depuis 2006, il est aussi administrateur de l’Association française d’astronomie. En savoir + D'abrutis à médiacrates : du calme ! Eh beh monsieur Brunet ! Je suis tout espanté ! Abrutis ? Abrutis ? Carrément Brunet, là ! Allez, monsieur Brunet, c’est pas de votre faute ! Du calme s’il vous plaît ! Cette fois-ci c’est la fin d’un monde. Le Monde est plus raisonnable. Tout cela n’est-il pas tout à fait excessif ? Ça va trop loin ! « Abrutis » ? On attend encore les cris indignés des habituels gourous qui surplombent la profession dès qu’un mot leur paraît de trop à l’encontre d’un de leurs collègues du troupeau des vaches sacrées ! En fait, monsieur Brunet s’est laissé entraîner. Ça va trop loin ! Des militants politiques honteux Il faut être tout le temps sur ses gardes, se méfier de tous, se protéger. Il est d’ailleurs troublant de savoir que nos adversaires sont souvent d’anciens militants politiques qui ont renié leur engagement initial. Ni ce journal, ni aucun autre, n’admet la moindre mise en cause, quel qu’en soit le motif, de l’un quelconque de ses membres. Les convictions ? Libérer les médias
Ai Weiwei ou l’art de la résistance : retour sur 10 œuvres emblématiques 1 : Étude de perspective, de 1995 à 2003 C’est probablement la série la plus connue de l’artiste chinois. Sous un titre ironique, ce travail est commencé par Ai Weiwei directement sur la place Tian’amen. 2 : Vase de la dynastie Han avec un logo Coca-Cola, 1994 À de nombreuses reprises, Ai Weiwei dira son mépris des conventions et des valeurs données arbitrairement aux choses. 3 : Laisser tomber une urne de la dynastie Han, 1995 Le geste est fort, iconoclaste. 4 : Table et pilier, 2002 Difficile de mettre un nom sur ces différents artefacts étroitement mêlés par les mains de l’artiste. 5 : Paysages provisoires, 2002–2008 Cette nouvelle série de photographies attaque encore davantage de front le gouvernement chinois. 6 : Tremblement de terre du Sichuan, 2008–2010 Dans le même d’ordre d’idée, Ai Weiwei persiste et signe dès qu’il s’agit de publier des témoignages gênants de ce qui se passe réellement en Chine. 7 : Cong, 2008–2011 8 : De la poussière à la poussière, 2008