Here's What The Sun Looks Like From Every Planet In Our Solar System Our Solar System is a seriously beautiful place. Whether it’s the pockmarked volcanic surface of Mercury, the dusty crimson plains of Mars, the beautiful rings of Saturn, or even the blues and viridians of our own world, it’s a diverse place full of remarkable sights and natural wonders. We’d be nowhere without the Sun, mind you, and a series of truly stunning visualizations of our local star – as seen from each planet, and poor demoted Pluto – by artist and illustrator Ron Miller serve to remind you of this fact. He’s spent more than 40 years illustrating the dark realms of space, both near and far, and has come up with the most realistic depictions of the Sun as seen from these far-flung worlds as possible. “I've taken care in not only making sure the Sun is depicted realistically, but also the surfaces of the planets and satellites as well,” Miller told IFLScience. Thanks to the laws of physics, the brightness of the Sun is equivalent to the square of the relative distance from it.
Prévision des séismes : une technique innovante pour observer les failles sous-marines La faille nord-anatolienne, responsable de tremblements de terre destructeurs en 1999 en Turquie, est comparable à la faille de San Andreas en Californie. Elle constitue la limite des plaques tectoniques eurasiatique et anatolienne, qui se déplacent l'une par rapport à l'autre d'environ 2 cm par an. Le comportement d'un segment sous-marin de cette faille, situé à quelques dizaines de kilomètres au large d'Istanbul, en mer de Marmara, intrigue particulièrement les chercheurs, car il semble exempt de sismicité depuis le 18e siècle. Comment se comporte ce segment ? Observer in situ le mouvement d'une faille sous-marine sur plusieurs années est un vrai défi. © J-Y Royer / CNRS-UBO LDO Zones et années de rupture de la faille nord-anatolienne. Réseau de balises acoustiques (françaises en rouge, allemandes en jaune) déployées en mer de Marmara, de part et d'autre d'un segment sous-marin de la faille nord-anatolienne (FNA), dont la trace présumée est soulignée par des tirets Notes : Références :
Dézoom, de l'échelle de Planck à l'Univers Observable (Animation) Oyez à tous ! Aujourd'hui je vous propose une animation qui nous emmènera de la plus petite échelle, l'échelle de Planck, à la plus grande, l'univers observable, bon je suis clairement pas le premier à le faire, mais j'avais envie de m'y atteler depuis pas mal de temps, j'espère que ça vous plaira, j'en referais peut-être d'autres de temps à autres, comme pour la vidéo des 1000 ans, Bon visionnage à tous ! Un Epic et Massif merci aux tipeurs du mois d'Août !! : Si vous avez apprécié vous pouvez me rejoindre et me soutenir sur: Facebook: Sources: Les dimensions sont approximatives par moment car faites manuellement en calculant les tailles des images comparées aux tailles réelles, j'ai essayé de faire du mieux pour que ça reste compréhensible et réaliste à la fois malgré tout, mais voilà mais ça reste imparfait évidemment. Vidéos Utilisées: Bonus: Clairement la meilleure vidéo dans le domaine, à voir absolument si vous avez aimé le concept !
Tous sur Mars ! - L'Esprit Sorcier - Dossier #14 Regardez l’émission qui accompagne ce dossier : L’aventure martienne Retrouvez toutes nos vidéos sur la chaîne Youtube de l’Esprit Sorcier Suivez-nous sur Facebook et Twitter Soutenez-nous sur Tipeee ! Un dossier préparé parBarbara Gineau Delyon Rédaction en chef Frédéric Courant Direction artistique et technique Pascal Léonard Direction de productionJoël Guillemet Assistante de réalisationAnaïs Van Ditzhuyzen Assistant de productionPatrick Berger Documentaliste Laurence Lebon Montage/Prise de vueTimothée Coignus VoixValérie GuerlainJean-Baptiste Puech MixagePascal Stevens Relation presseNathalie BôGraphisme et animations Christophe Pernoud – BROTHERMAN Productions Web design Olivier Hamon – VO Productions Antoine Chérel – ATALANTA Intégration Florent Chevallier Remerciements Thierry Fouchet , planétologue à l’Observatoire de Paris et professeur à l’Université Pierre et Marie Curie James Lequeux, astronome émérite à l’Observatoire de Paris, co-auteur de « L’exploration des planètes » Crédits images
Qu’est-ce qui fait bouger le manteau terrestre En analysant les défauts microscopiques du minéral qui représente 60 % du manteau terrestre, les chercheurs sont parvenus à expliquer comment la roche solide qui le constitue… s’écoule. « L’homme a marché sur la Lune. Des robots arpentent la surface de Mars. Des sondes vont même jusqu’aux confins du système solaire. Mais l’intérieur de notre propre planète nous reste complètement inaccessible », insiste Patrick Cordier professeur à l’université de Lille 1 et chercheur à l’Unité matériaux et transformation1. Modéliser les profondeurs de la Terre Coincé entre la croûte et le noyau de la Terre, le manteau est soumis à une température de plusieurs milliers de degrés et à une pression plus d’un million de fois supérieure à la pression atmosphérique. Sans observation possible, il nous fallait partir des lois que l’on connaît sur la matière. Il faut avant tout comprendre que, bien que solides aux échelles de temps géologiques, les roches mantelliques ne cessent de se déformer. S.
Autour du Ciel | Les dernières nouvelles de l’Univers & l’actualité de l’observation du ciel SVToCSL : Animations Flash utilisées en SVT au Collège Simon Lucas Suivez le plongeon d’une comète vers le Soleil Depuis quelques heures, l’observatoire spatial SOHO observe la vaporisation spectaculaire d’un noyau cométaire qui plonge vers notre étoile. La comète fonce vers le Soleil (cercle blanc) dans le champ du coronographe LASCO C2 de la sonde SOHO (ESA/NASA). L’éclat éblouissant de notre étoile est occulté (disque rouge) ; sur le côté gauche, une éruption solaire est bien visible, elle n’est absolument pas provoquée par l’arrivée de la comète. Le 2 août au matin, un infime point lumineux est apparu sur le bord du champ du coronographe LASCO C3 de la sonde solaire américano-européenne SOHO, qui est bien plus large que celui du coronographe LASCO C2 visible ci-dessus. En bleu, champ du coronographe LASCO C3 de la sonde SOHO (ESA/NASA). L’astronome américain Karl Battams (Naval Research Lab, Washington DC) estime que ce noyau cométaire appartient au groupe des « comètes de Kreutz ». Ce groupe cométaire porte le nom de l’astronome allemand Heinrich Carl Kreutz. Crédits : ESA/NASA/LASCO/SOHO
PGJ - Date de Passage au périhélie des Comètes La comète C/2012 S1 (ISON) - la grande comète de 2013 La comète C/2011 L4 (PANSTARRS)... probablement visible à l'oeil nu au printemps La comète 103P/Hartley se donne en spectacle Comète C/2009 F6 (Yi-Swan) : une comète de magnitude 8.5 La comète C/2007 N3 (Lulin)... une comète visible à l'oeil nu en Février 2009 Sursaut impressionant d'activité de la comète 17P/Holmes [24/10/2007] Grand spectacle cométaire [21/01/2007] La comète McNaught sous le ciel austral [19/01/2007] La plus brillante comète observée par SOHO [17/01/2007] La comète McNaught visible en plein jour [14/01/2007] STEREO/SECCHI/HI-1B aperçoit la comète McNaught [11/01/2007] La comète surprise !!! La comète C/2006 P1 (McNaught) visible matin et soir [08/01/2007] Une comète dans les lueurs matinales [04/01/2007] Une belle comète : C/2006 M4 (SWAN) 73P/Schwassmann-Wachmann 3, la Comète Fragmentée Un dossier de Cédric BEMER Les Comètes observables en Avril 2006 Les Comètes observables en Mars 2006 C/2004 Q2 (Machholz) La comète 2P/Encke
Animation Système Solaire - P. Cosentino Type : planète rocheuse Satellites : 0 Masse : 4,9.1024 kg Diamètre : 12 102 km Densité : 5,2 Distance au soleil : 1,08.108 km Période de rotation : 243 j Période de révolution : 224,7 j Pression atmosphérique : ??? Températures : moy=462°C, min=446°C, max=490°C Vénus est souvent décrite comme une « sœur jumelle » de la Terre en raison de ses caractéristiques globales très proches de celles de notre planète : son diamètre vaut en effet 95 % de celui de la Terre. Néanmoins, les conditions qui règnent à sa surface diffèrent radicalement des conditions terrestres : son atmosphère, extrêmement dense est occupée par d'épais nuages de dioxyde de soufre. La surface de Vénus est relativement jeune, du fait d'un volcanisme entraînant parfois la présence de lave en fusion au sol. La surface de Vénus photographiée par la sonde Vénéra
Earth Blamed for Cracks in Moon Photo The moon is shrinking, and is to blame for how the ’s crust has cracked. Scientists reported the shrinkage in 2010, when researchers, led by Thomas R. Watters of the Smithsonian’s National Air and Space Museum, picked out cracks in images taken by ’s Lunar Reconnaissance Orbiter. They counted 14 ridges, formed when one side of the fracture slips over the other, but the orbiter’s high-resolution camera had covered only about 10 percent of the moon’s surface. If the moon were shrinking uniformly, then the cracks and ridges should be pointed every which way. What they figured out is that the tidal forces of the Earth pulling on the moon, while small, generated enough stress to break the moon’s crust in the observed pattern.
Kepler-452b, une cousine de la Terre à 1400 années-lumière La Nasa vient d'annoncer la découverte d'une exoplanète de 1,6 rayon terrestre située dans la zone habitable d'une étoile comparable au Soleil. La zone habitable est la région ni trop proche ni trop éloignée, autour d'une étoile, où la température à la surface d'une planète permet la présence d'eau liquide. Si les propriétés de Kepler-452b sont encore trop floues pour estimer sa composition (sa masse, notamment, est inconnue), il s'agit tout de même, avec Kepler-186f, d'une étape intéressante vers la découverte d'une « Terre 2.0 ». Clin d'œil stellaire Kepler-452b a été découverte par le satellite américain Kepler par la méthode dite « des transits ». Depuis son lancement en 2009, Kepler a fourni le plus gros bataillon de planètes extrasolaires découvertes : 1030, sur 1935 à ce jour. Celle-ci, essentielle pour se faire une idée de la composition (gazeuse ou rocheuse), est déterminée essentiellement par la méthode « des vitesses radiales ». Une planète habitable ?