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30 idées pour enterrer un projet

30 idées pour enterrer un projet
/ 1 : - maintenant, réussissons on peut essayer autrement...les conditions ont changé ça a marché ailleurs… vous avez donc l’expérience pour aller plus loin et éviter les écueils / 2 : - soyons créatifs voilà un véritable argument pour commencer / 3 : - les hommes se sont longtemps passé de machine à laver le linge…ou d’électricité / 4 : - nous trouverons les moyens nécessaires !!! on peut négocier / 5 : - nous avons moins besoins d’hommes que d’idées on peut revoir l’organisation / 6 : - changeons la carte scolaire faites en sorte d’en bénéficier revoyons notre projet / 7 : - qui en bénéficiera ? de quels risques parlez vous ? / 9 : - le moment est venu qu’est ce <qui justifie votre attente ? / 10: - voyons votre expérience, parlons en… ton expérience servira donc à contredire la théorie / 11: - ne partons pas battus d’avance nous le convaincrons rédigeons le courrier ensemble et par rapport aux évaluations nationales ? on n’est pas dans une dynamique de compétition…

Quel type de manager ? Leadership ? Tout le monde s'étonne lorsqu'un manager, dont on disait qu'il ne réussirait jamais, change de job et arrive au sommet dans sa nouvelle entreprise... C'est qu'à chaque contexte, circonstance, genre d'équipe à encadrer, un type de manager correspond mieux qu'un autre. Hervé Bommelaer, consultant chez Leroy Dirigeants- BPI Group, en est convaincu. "Prendre conscience de son style, de sa posture de management, vaut mieux que de se dire : je vais appliquer tel modèle. Seulement, au gré des changements, un certain type de manager est plus demandé que d'autres. Le contexte des entreprises dicte le style de manager à recruter pour telle ou telle, expliquent Pascale Bottela (directrice Ile-de-France) et Philippe Lesage (consultant et coach), du cabinet Alexandre Tic. L'habit fait-il le moine ? Le style "engagé" est "tout à fait adapté au monde de l'entreprise aujourd'hui", estime Hervé Bommelaer. Jean-Louis Muller ne constate pas l'émergence significative d'un type de managers.

Arbre de décision Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Introduction[modifier | modifier le code] Dans les domaines de l'aide à la décision (informatique décisionnelle et entrepôt de données) et de l'exploration de données, certains algorithmes produisent des arbres de décision, utilisés pour répartir une population d'individus (de clients par exemple) en groupes homogènes, selon un ensemble de variables discriminantes (l'âge, la catégorie socio-professionnelle, …) en fonction d'un objectif fixé et connu (chiffres d'affaires, réponse à un mailing, …). À ce titre, cette technique fait partie des méthodes d’apprentissage supervisé. Il s’agit de prédire avec le plus de précision possible les valeurs prises par la variable à prédire (objectif, variable cible, variable d’intérêt, attribut classe, variable de sortie, …) à partir d’un ensemble de descripteurs (variables prédictives, variables discriminantes, variables d'entrées, …). lisibilité du modèle de prédiction, l’arbre de décision, fourni.

Etes-vous positif ? | Les coulisses de la communication Le système éducatif français ne nous prépare pas à prendre la parole. Pendant notre scolarité, on compte nos fautes, on souligne nos erreurs. Pour développer nos capacités à l'oral, c'est l'inverse qu'il faudrait faire. Pas de compétence à l'oral sans dynamique positive. Je vous conseille donc de traduire vos éléments de langage négatifs et de trouver leur équivalent positif. Prenons par exemple une phrase négative : " Tu es incapable de faire les choses correctement " (ce n'est pas, heureusement, le genre de phrase qu'on entend tous les jours en entreprise, mais c'est une phrase que j'ai pu entendre, en laissant traîner une oreille ici ou là.) Première erreur : on n'a aucun droit de dire à une personne ce qu'elle est. Il vaut également mieux s'appuyer sur des faits précis, pour lui permettre de comprendre comment elle aurait pu s'y prendre pour réussir : " pour bien le faire, tu aurais pu... ca aurait sans doute mieux fonctionné si tu avais... ".

Faciliter l’adoption de l’Agile grâce au «Shu Ha Ri» Lors de mes deux dernières missions, j’ai participé à l’accompagnement d’une équipe projet pour l’adoption de la méthode Agile. Ce qui m’a frappé dans ces missions c’est que bien que les deux missions soient très semblables (même objectif, même équipe OCTO, même caractéristiques de l’équipe côté client) nous avons pu améliorer significativement le passage de compétence à notre client grâce à l’adoption de la méthode « ShuHa Ri ». Cet article aura comme objectif d’expliquer le « Shu Ha Ri », d’exposer comment nous l’avons adopté et les bénéfices que nous avons pu en tirer. Présentation du « Shu Ha Ri » Le « Shu Ha Ri » est, à l’origine, un concept décrivant les différentes étapes d’apprentissage des arts martiaux. Ce concept a été, par la suite, appliqué dans le cadre de l’approche Lean chez Toyota (« The Toyota Way to Lean Leadership: Achieving and Sustaining Excellence through Leadership Development », Jeffrey Liker, Gary L. Application du « Shu Ha Ri » en mission Conclusion

Comment une liste de tâches peut-elle nous faire perdre notre productivité De ce postula, je suis parti, il y a quelques années dans ce que nous pourrions appeler une todolistomanie frénétique m’imposant de noter toutes les choses à faire. Quoi de plus judicieux me diront certains. Et pourtant, comme tout extrême, cette façon de faire s’est révélée totalement inefficace. Aujourd’hui j’utilise une méthode bien plus fine et efficace ne s’appuyant que très peu sur des TodoLists. Pourquoi tout noter ne marche pas Les TodoLists présentent une utilité indéniable. Cependant, au fur et à mesure du temps, nous voyons notre liste s’allonger toujours un peu plus amenant à un constat simple et sans détour : nous n’avons pas suffisamment de temps pour tout faire. Ainsi, pour palier cette difficulté vient la phase d’élimination où nous épurons notre TodoList des éléments les moins pertinents. Le dernier point qui dessert plus encore notre TodoList est le mélange de tâches de qualités différentes. Une méthode à base de sélection naturelle Photo : Andrew Magill

Sipina - Arbres de décision Communication professionnelle La connaissance et la maîtrise des principaux outils de communication professionnelle au sein d'une organisation du ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche constituent un préalable à un management individuel et collectif efficace pour son équipe de direction. Circonscrire les différentes situations de communication, connaître les différentes techniques de communication, comprendre son style managérial, identifier et comprendre les acteurs, peser et prioriser les enjeux, former et accompagner les personnels constituent autant d'éléments qui vont permettre à l'équipe de direction d'acquérir un "savoir agir en situation". Contenus Les ressources proposées pour traiter chacune des thématiques sont les suivantes : un clip vidéo (3 à 5 minutes) mettant en scène des situations professionnelles générant des dysfonctionnements provoqués ou amplifiés par des pensées, stratégies, paroles, comportements ou actions inadaptés à la situation. Publics

Le poulpe à lunettes, laboratoire de recherche conviviale sur les échanges non-marchands, l'autoproduction et la culture libre | Textes / Qu'est-ce qu'un outil convivial ? Revue de la culture libre et du non marchand La notion d'outil convivial a été développée initialement par Ivan Illich. Elle s'oppose à l'idée d'outil industriel ou aliénant. La notion d'outil est entendue dans un sens très vaste. L'outil est convivial: s'il ne crée pas chez l'usager une dépendance à son égard, ou une dépendance accrue à l'égard d'autres outils, s'il peut être utilisé, produit, détruit simplement, avec un minimum de technique, s'il demeure sous le contrôle de celui qui l'utilise. En d'autres termes, l'outil est convivial, si chacun peut l'utiliser « sans difficulté, aussi souvent ou aussi rarement qu'il le désire, à des fins qu'il détermine lui-même. Le rapport entre la personne et l'organisation qui gère ces outils est celui d'un « usager-producteur » intégré dans les processus qui sont contrôlés par des organisations ouvertes. Donc, l'outil est convivial s'il est construit et conçu de manière ouverte. Mais on peut aller plus loin. Notes

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