[ITW] « Récupérer un espace qui appartient à tout le monde et à personne »
Geoffrey Dorne, graphiste et auteur de Vendredi c’est Graphism était invité à la Lift. Il revient pour OWNI sur les raisons et les façons de hacker la ville. De quelles façons les technologies envahissent l’espace et la ville et quelles peuvent être les conséquences ? Les nouvelles technologies permettent aux gens moins riches d’avoir les mêmes outils et les mêmes possibilités que ceux des quartiers plus aisés : les réseaux sociaux, les moyens pour échanger les objets, etc. Certains outils comme les hobo signs en QR Codes [en] du F.A.T. En adaptant la technologie à la ville, on la hacke pour que les citoyens se la réapproprient ? Oui c’est tout à fait ça. Autre exemple en Chine. Quel est le sous-entendu de telles démarches ? Qui dit se réapproprier la ville dit qu’elle ne nous appartient plus. C’est comme si le lien social avait plus ou moins disparu et qu’il était nécessaire de le retrouver. Michel Mafesoli disait que « le lieu fait le lien ». Mais qui sont les hackers de la ville ?
QR Code Services Directory
Dead Drops | Un-cloud your files in cement! 'Dead Drops’ is an anonymous, offline, peer to peer file-sharing network in public space.
Molotov Cocktails on Fire Art
You can always count on the Russians to come up with some disturbing yet innovative art. This new flame kissed portrait based installation by t-radya employs artist developed techniques including pasting bandages on wooden panels, and pelting canvasses with flaming molotov cocktails. As the fires burn out, the charred surfaces that appear create shading and outlines of the faces of well known soldiers. The finished pieces were transported to and hung on the walls of an abandoned WWII hospital in Yekaterinburg, Russia.
Location-based Messaging - Geoloqi Developers
Send messages to your users across a variety of channels with Geoloqi's location-based messaging tools. Messages can be sent upon arrival, after dwelling, or leaving a place. The Geoloqi SDK will automatically manage your users' battery life to minimize battery drain. Your app sets up the trigger by sending Geoloqi a latitude, longitude, radius and message. Trigger messages based on events like entering, dwelling, or leaving a placetime of daycrossing a speed thresholdentering a city, state or country (coming soon)after traveling a given distance (coming soon)after a particular change in altitude (coming soon) Broadcast messages to users by targeting an area (circle)a city, state, country (coming soon)previous behavior (if they were there at some point) (coming soon)tag (coming soon)if they have used the app in the last 1, 2, 3, days (coming soon) Works with any carrierBattery Safe - minimal effect on battery lifePush Notifications for iOS and AndroidSMS MessagesE-mail notifications
La Demeure du chaos, promenade idéale pour votre belle-mère
Certains articles résistent à s’écrire. Non que vous n’ayez rien à dire sur le sujet (il suffit alors de se documenter) ou que vous craigniez les représailles de quelqu’image castratrice du père. La difficulté vient d’ailleurs : de l’affect que ledit sujet déchaîne chez ses partisans et ses détracteurs. Pour le blogueur n’adhérant pas au mythe de l’objectivité, il s’agit de se positionner en évitant de pondre un article fadasse. Il y a quelques temps, nous vous avions promis la chronique de la visite de la Demeure du chaos en compagnie de son directeur artistique, Pierrick, graffeur, a.k.a Cart 1. Située dans le très cossu village de Saint-Romain-aux-Monts-d’Or, à quelques kilomètres de Lyon, la Demeure du chaos est tout à la fois le bébé d’un businessman fou, une pépinière artistique et un feuilleton médiatico-judiciaire à la Dallas. Cendres chaudes et chaos fertile Le choc initial semble venir du 11 septembre 2001. Regard de l’abyme, regards en abyme Mickey, par Jace morceau du bunker
Droppd pour iPhone, iPod touch et iPad sur l’iTunes App Store
La Commune de Paris » Article » OWNI, Digital Journalism
Nouveau coup de cœur de David Dufresne («Prison valley») pour un webdocumentaire en temps réel. Entretien avec ses auteurs, la Raspou Team. Depuis quelques jours, c’est la guerre à Paris. Une guerre de rue, une guerre artistique, un combat de street art. C’est La Commune de Paris qu’on ressuscite. La Commune de Paris est un journal, entre agit-prop et webdocumentaire en temps réel, d’un genre nouveau, simple et redoutable, signé du collectif Raspou Team. Depuis quelques jours, donc, c’est la guerre à Paris. La Commune de Paris a un but, et il est atteint: « ne pas laisser les outils (narratifs) aux vendeurs de lessive ». Pouvez-vous nous en dire plus sur la genèse de La Commune de Paris? On s’intéresse à la Commune depuis longtemps, et c’était le seul sujet pour lequel nous avions rédigé deux fiches dans notre précédent projet Désordres Publics. Ce flou est renforcé par le street art qui illustre chacun des articles. Votre idée, c’est surtout la confrontation, non?