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Sémiologie graphique

Sémiologie graphique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sémiologie graphique est une discipline qui s'occupe : de la transcription, dans le système graphique d'un signe, d'un ensemble de données ;du traitement de ces données afin de faire apparaître l'information d'ensemble recherchée;de la construction d'images les mieux adaptées à communiquer cette information. Au sein de la géographie, la sémiologie graphique a trouvé un champ d’application privilégié dans les processus d’élaboration d’un des outils fondamentaux de la géographie : la carte et, par extension, à l’ensemble des techniques qui permettent sa production (SIG et télédétection)et le Design de l'information. Définition de la Graphique[modifier | modifier le code] Les significations que l'homme attribue aux signes peuvent être monosémiques, polysémique ou pansémiques: La Graphique utilise le système monosémique, chaque élément est définie à l'avance. Un système monosémique[modifier | modifier le code] Les variables visuelles - La couleur

Sémiotique La tradition sémiotique explore l'étude des signes et des symboles en tant que partie importante des communications. Contrairement à la linguistique, la sémiotique étudie également les systèmes de signes non linguistiques. La sémiotique comprend l'étude des signes et des processus de signes, l'indication, la désignation, la ressemblance, l'analogie, l'allégorie, la métonymie, la métaphore, le symbolisme, la signification et la communication. On considère en général que la sémiotique a des dimensions anthropologiques et sociologiques importantes. Par exemple, le sémioticien et romancier italien Umberto Eco a proposé que tout phénomène culturel pouvait être étudié comme une communication[2]. La sémiologie, issue de la tradition saussurienne, est un sous-ensemble de la sémiotique et ne doit pas être confondue avec elle[3],[4]. Histoire et terminologie[modifier | modifier le code] John Locke[modifier | modifier le code] Ferdinand de Saussure[modifier | modifier le code] Charles W. Thomas A.

Design de l'information Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le design de l'information, ou traitement graphique de l’information, a été défini[Par qui ?] comme « l’art et la science de la préparation de l’information pour elle puisse être utilisée par les êtres humains avec efficience et efficacité »[réf. souhaitée]. Le terme est apparu dans les années 1970. Le design d’information signifie à la fois dessin et projet, qui[Quoi ?] traduit une information claire et directe. Le design d’information ou le traitement graphique de l’information se traduit comme l’arrangement des modèles d’organisation[pas clair] afin de fournir à l’utilisateur un contexte et un sens à l’information. Le design d'information croise plusieurs disciplines telles que la sémiologie graphique, la sémiotique, la psychologie cognitive, la cartographie, la sociologie, la Gestalt theorie (ou psychologie de la forme), etc. Le design d'information prend ses origines comme un sous-ensemble ou un synonyme du graphisme.

Cognition Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La cognition est souvent étendue au-delà du seul cadre de la cognition humaine pour inclure tous les processus « intelligents » y compris chez les animaux non-humains ou mis en œuvre au sein de systèmes artificiels, comme les ordinateurs. Les sciences cognitives rassemblent l'ensemble des domaines scientifiques consacrés à l'étude de la cognition notamment, les neurosciences, la psychologie, l'intelligence artificielle, les mathématiques appliquées à la modélisation des fonctions mentales, l'anthropologie, ou la philosophie de l'esprit. La définition exacte de la cognition et des relations entre activités mentales et cérébrales (le « Problème corps-esprit ») reste l'objet de nombreux débats dans les sciences contemporaines (psychologie, intelligence artificielle, philosophie, etc.). Cognition froide contre cognition chaude[modifier | modifier le code] Cognition artificielle[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]

Mémoire (psychologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Mémoire. Les formes et fonctions de la mémoire en sciences. En psychologie, la mémoire est la faculté de l'esprit permettant de stocker, conserver et rappeler les expériences passées, des informations ou encore des gestes. C'est un domaine qui est traité par différentes approches : cognitivistes, comportementaliste, psychanalytique et en neuropsychologie. Pyramide des 5 systèmes de mémoires Le courant cognitiviste classique regroupe habituellement sous le terme de mémoire les processus d'encodage, de stockage et de récupération des représentations mentales. Le plus influent des modèles structuraux de la mémoire est le modèle modal, qui divise la mémoire en trois sous-systèmes : registre sensoriel, mémoire à court terme et mémoire à long terme. Les trois composantes de la mémoire dans le modèle modal sont : Les trois sous-composants du modèle de Baddeley et Hitch sont :

Représentation mentale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La représentation mentale est une représentation que l'on se fait, par la pensée, d'une projection sensorielle, d'un concept ou d'une situation. Une représentation mentale peut être de l'ordre du réel ou du fictif. Généralités[modifier | modifier le code] La représentation mentale ne doit pas être confondue avec les techniques d'imagerie cérébrale. Du point de vue du matérialisme identité, une représentation sera un état du système nerveux, ayant des relations avec des objets - états de l'organisme ou environnement. Statut de la représentation[modifier | modifier le code] Les représentations sont variées : images, mémoire, concepts, émotions... Il est également possible de distinguer représentations du monde et représentations de soi. La psychologie cognitive considère que toutes les représentations ne sont pas conscientes, bien que ce point diffère de la notion d' inconscient en psychanalyse. Informations[modifier | modifier le code]

Psychologie cognitive Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Plus généralement la cognition se définit comme l'ensemble des activités mentales et des processus qui se rapportent à la connaissance et à la fonction qui la réalise. La psychologie cognitive part du principe que l'on peut inférer des représentations, des structures et des processus mentaux à partir de l'étude du comportement. Contrairement au béhaviorisme, elle défend la thèse que la psychologie est bien l'étude du mental et non du comportement. À la différence des autres courants mentalistes, elle ne pense pas que l'introspection soit une voie d'accès particulièrement fiable pour explorer le mental. Historique[modifier | modifier le code] La psychologie cognitive est véritablement née dans les années 1950, en même temps que l'intelligence artificielle. Notions de base[modifier | modifier le code] Bibliographie (manuels et textes introductifs)[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Précurseurs :

Mémoire sémantique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. C'est une base de connaissances, un magasin d'information que nous possédons tous et dont une grande partie nous est accessible rapidement et sans effort. Selon Endel Tulving en 1972, c’est la mémoire nécessaire à l’utilisation du langage, c’est un thesaurus mental, le savoir organisé qu’un individu possède pour les mots, les symboles non verbaux et leurs significations. La mémoire sémantique n’enregistre pas les propriétés des stimuli mais plutôt les référents cognitifs des signaux d’entrée. La mémoire sémantique, préservée dans le syndrome amnésique, constitue la mémoire des mots, des concepts, des connaissances générales sur le monde, situés en dehors de tout contexte d’encodage. Ce répertoire de connaissances est organisé au sein du cortex temporal, latéral et inférieur, de façon hiérarchique, avec une convergence des informations qui semblerait s'établir selon un axe postéro-antérieur.

Concept Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les différents philosophes ne sont pas nécessairement d'accord sur ce qu'est exactement un concept, au-delà de cette définition générale, bien que des lignes centrales puissent être dessinées. Ainsi, un concept est souvent une idée générale (le concept de chien rassemble tous les chiens existants et possibles), mais pas nécessairement (chez Leibniz, la notion complète exprime la substance individuelle et ne correspond qu'à elle ; par ailleurs, un nom propre peut être considéré, selon certaines théories philosophiques, comme exprimant le concept d'un individu[1]). Sens étendu[modifier | modifier le code] Par extension (et, selon plusieurs, par abus), on désigne comme concept toute idée, le plus souvent commerciale, plus ou moins novatrice. Le concept dans la philosophie du langage[modifier | modifier le code] Au XXe siècle, Frege et Carnap, opposés au « psychologisme », préféraient considérer les concepts comme des entités abstraites[3].

Philosophie du langage Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Ménines de Diego Velázquez (1657). « Mais le rapport du langage à la peinture est un rapport infini (...) Ils sont irréductibles l'un à l'autre: on a beau dire ce qu'on voit, ce qu'on voit ne loge jamais dans ce qu'on dit, et on a beau faire voir, par des images, des métaphores, des comparaisons, ce qu'on est en train de dire, le lieu où elles resplendissent n'est pas celui que déploient les yeux, mais celui qui définissent les successions de la syntaxe. Or le nom propre, dans ce jeu, n'est qu'un artifice: il permet de montrer du doigt, c'est-à-dire de passer subrepticement de l'espace où l'on parle à l'espace où l'on regarde, c'est-à-dire de les refermer commodément l'un sur l'autre comme s'ils étaient adéquats (...) Peut-être y a-t-il, dans ce tableau de Velázquez, comme la représentation de la représentation classique, et la définition de l'espace qu'elle ouvre. » Michel Foucault, Les mots et les choses, introduction.

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