Petit résumé du théorème de Gödel
Petit résumé du théorème de Gödel 15 juin 2002 (cf. Le théorème de Gödel [Gödel] a été publié en 1931. Russell et Whitehead avaient tenté de fonder l'ensemble de la logique sur une base axiomatique. Cette découverte a été déchirante pour beaucoup de mathématiciens. La démonstration de Gödel est très technique et sa lecture est difficile. 1) Supposons qu’il existe une Théorie Complète (TC) fondée sur un nombre fini d'axiomes et permettant, si l’on considère une phrase quelconque, de décider sans jamais se tromper si cette phrase est vraie ou non. 2) Considérons la phrase « TC ne dira jamais que la présente phrase est vraie ». 3) Soumettons G à TC et demandons à TC de dire si G est vraie ou non. 4) Si TC dit que G est vraie, alors G est fausse. 5) Si « TC ne dit jamais que G est vraie », G est vraie. 6) Il ne peut donc pas exister de Théorie Complète, c’est-à-dire de théorie permettant, quelle que soit la phrase que l'on considère, de dire si elle est vraie ou non.
#5. A Summary of ‘A Universe from Nothing: Why There Is Something Rather than Nothing’ by Lawrence Krauss
‘A Universe from Nothing: Why There Is Something Rather than Nothing’ by Lawrence Krauss (Free Press; January 10, 2012) Table of Contents i. Introduction/Synopsis 1. From Newton’s Laws of Physics, to Einstein’s Theory of Relativity 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. Our best science tells us that the universe is an ever expanding entity consisting of some 400 billion galaxies that began with a very powerful and very hot explosion from a single point precisely 13.72 billion years ago. However, the picture of the universe that these theories have furnished us with still leaves us with an apparent problem: What existed before the big bang? The apparent contradiction between the universe beginning at a finite time, and the premise that something cannot come from nothing, has often been used as an argument for the existence of an uncaused cause, or creator (most often understood as God). A nebular dust and gas cloud
Quantum Diaries
This is an age old question, always asked (and always fervently!) of the person with the better vantage point: the older sibling peering into the next room through the keyhole; the watchman scanning the horizon from the ship’s crows nest; and now us, AMS, taking our first glance out over the universe from the space station. What do you see, what do you see?!?! The answer, as we squint through our sights, trying to make out shapes of unknown and unexpected things, is also age-old: “I’m not sure yet, gimme more time!” The first AMS-02 results– the positron fraction–were announced this week. So I thought I’d come here and give a few answers to some obvious (or not-so-obvious) questions. If we can’t tell what we see, why are we publishing? Well I guess I shouldn’t be so glib: we can tell you exactly what we see and how precisely we see it. With AMS-02 we are at the first moment where we are ready to report what we see, and it may or may not point to new physics. Yes, in fact.
The Cosmological Constant Paradox
David H. Bailey 1 Jan 2014 (c) 2014 Perhaps the most startling "cosmic coincidence" that modern scientists have noted in the structure of our universe is the fine-tuning of the cosmological constant [Vilenkin2006, pg. 121-126]. The paradox derives from the fact that when one calculates, based on known principles of quantum mechanics, the "zero-point mass density'" or the "vacuum energy density" of the universe, focusing for the time being on the electromagnetic force, one obtains the incredible result that empty space "weighs" 1093 grams per cc. The actual average mass density of the universe is 10-28 grams per cc [Susskind2005, pg. 70-78], which is roughly 120 orders of magnitude lower than the predicted value. As Stephen Hawking has quipped, this is arguably the most spectacular failure of a physical theory in history [Davies2007, pg. 147]. For additional discussion, see Anthropic principle, Cosmic coincidences and Multiverse . References [See Bibliography].
Vacuité et physique quantique - Bouddhisme dans l'Aude
Préparation du discours pour l’intervention du 30 Novembre 2008 Monastère Nalanda (Lavaur - 81) Rencontre « bouddhisme et sciences » Physique quantique&Vacuité Introduction1) Non cours magistral mais envie de partager réflexions sur ce que peut apporter la physique moderne, et particulièrement la physique quantique, dans la compréhension de la vacuité, telle que décrite par la vue bouddhiste, ET ainsi de contribuer à changer notre perception ordinaire du monde, fondée sur des apparences trompeuses ; 2) Afin d’être utile directement dans la pratique méditative, parti pris d’aller de différents aspects liés à la vacuité vers la physique, en citant pour chacun d’eux des exemples précis d’expériences ou de théories physiques illustrant l’aspect évoqué. Les 3 aspects qui seront illustrés sont : la non solidité intrinsèque des phénomènes ; l’impermanence et l’interdépendance ; Avant de rentrer dans le vif du sujet, quelques remarques générales sur la physique : A parte : L’impermanence Conclusion
Bouddhisme : conceptions du réel et physique quantique.
Qu’est-ce-que la réalité ? Les modes de pensée du monde moderne sont prêts à répondre de quatre facons différentes entre lesquelles elles oscillent : 1. Les religions juives, chrétiennes et islamiques parlent d’un dieu créateur, qui maintient le monde. Il représente la réalité fondamentale. 2. 3. 4. Le bouddhisme rejette ces 4 conceptions de la réalité. Les choses dépendent d’autres choses, avec lesquelles elles ne sont pas identiques, mais elles ne tombent pas en morceaux objectifs et indépendants, elles ne sont ni objectives ni subjectives. Mais il y a un modes de pensée moderne qui a des points communs. La physique quantique est arrivée à un résultat qu’elle exprime avec les notions clé de complementarité, interaction et du phénomène d’intrication [anglais : entanglement]. compte rendu : source : (Visited 1 078 times, 1 visits today)
Has Physics Made Philosophy and Religion Obsolete? - Ross Andersen - Technology
"I think at some point you need to provoke people. Science is meant to make people uncomfortable." It is hard to know how our future descendants will regard the little sliver of history that we live in. In January, Lawrence Krauss, a theoretical physicist and Director of the Origins Institute at Arizona State University, published A Universe From Nothing: Why There Is Something Rather Than Nothing, a book that, as its title suggests, purports to explain how something---and not just any something, but the entire universe---could have emerged from nothing, the kind of nothing implicated by quantum field theory. By early spring, media coverage of "A Universe From Nothing" seemed to have run its course, but then on March 23rd the New York Times ran a blistering review of the book, written by David Albert, a philosopher of physics from Columbia University. I know that you're just coming from Christopher Hitchens' memorial service. Krauss: That's a good question. Krauss: It is.
La nature de la réalité …
… ou comment des travaux de physiciens des liquides français vont peut-être changer notre vision du monde microscopique La mécanique quantique est le domaine de la physique à la fois le plus mystérieux et le plus popularisé auprès du grand public. Lorsqu’elle a été inventée dans les années 20, ses propriétés mathématiques parraissaient si étranges que de nombreux débats philosophiques ont eu lieu pour comprendre l’implication de cette physique sur la notion de réalité même. (source image) Ce qu’il y a d’étonnant dans la mécanique quantique est qu’elle donne une vision fondamentalement incertaine du monde. D’un point de vue purement scientifique, une école de pensée, dite de Copenhague, a fini par s’imposer. Einstein (parmi d’autres) n’accepta jamais cette interpétation. Instabilité de Faraday (tiré de Bush JW, PNAS, 2010) Transportons-nous maintenant au début des années 2000. (pour les non-anglophones, une version sous-titrée de cette vidéo est disponible sur dot sub ) Comment ? Références