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Dilemme du prisonnier Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le dilemme du prisonnier, énoncé en 1950 par Albert W. Tucker à Princeton caractérise en théorie des jeux une situation où deux joueurs auraient intérêt à coopérer, mais où, en absence de communication entre les deux joueurs, chaque joueur choisira de trahir l'autre lorsque le jeu n'est joué qu'une fois. Lorsque le jeu est joué plusieurs fois de suite, il sert d'illustration au folk theorem (en) voulant que toutes les issues du jeu peuvent être des équilibres d'un jeu répété un assez grand nombre de fois. Le dilemme du prisonnier est souvent évoqué dans des domaines comme l'économie, la biologie, la politique internationale, la psychologie, le traitement médiatique de la rumeur[1], et même l'émergence de règles morales dans des communautés. Il a donné naissance à des jeux d'économie expérimentale testant la rationalité économique des joueurs et leur capacité à identifier l'équilibre de Nash d'un jeu. Principe[modifier | modifier le code]
Hyperactivité Adulte TDAH TDA Déficit d'Attention Probleme concentration Procrastination Cyclothymie Impulsivité. cerveau droit hp Coaching Inférence Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'inférence désigne les actions de mise en relation d'un ensemble de propositions, aboutissant à une démonstration de vérité, de fausseté ou de probabilité, sous la forme d'une proposition appelée conclusion[1]. Dans sa définition classique, l'inférence est une opération logique portant sur des propositions tenues pour vraies (les prémisses) et concluant à la vérité d'une nouvelle proposition en vertu de sa liaison avec les premières. C'est pourquoi l'inférence est souvent réduite à la déduction nécessaire dans laquelle la vérité des prémisses assure totalement la vérité de la conclusion. Exemples[modifier | modifier le code] L'inférence implique le recours à l'interprétation, peu importe qu'il y ait une suggestion. « Imaginez, vous vivez en famille dans une maison. En pensant à la scène, en vous imaginant en situation, il est peu probable que vous ne fassiez pas d'inférence. En pragmatique linguistique[modifier | modifier le code]
Comment débuter "la Réévaluation par la Co-écoute" Si vous avez entendu parler de la Réévaluation par la Co-écoute et des bénéfices que son utilisation apporterait dans votre vie, et que vous êtes impatient de l'essayer, ce qui suit vous aidera à démarrer. Dans sa forme fondamentale, la pratique de la Co-écoute consiste simplement en un tour de rôle entre deux personnes s'écoutant mutuellement. D'une certaine manière, c'est comme une conversation, mais d'une espèce différente. C'est une écoute plus attentive et plus effective. Il s'agit d'une écoute dans laquelle on prête attention à ce que l'on entend. On pense à la personne qui parle, et on pense à ce qu'elle dit, sans interrompre l'écoute en faisant des suggestions ou des commentaires, juste en écoutant de bon cœur. Le début est très simple. A la fin du temps sur lequel vous vous êtes mis d'accord, la personne qui parlait devient la personne écoutante, et celle qui écoutait parle maintenant sur n'importe quel sujet de son choix. Il s'agit d'un échange juste. "Les Bonne Nouvelles"
HGEC au LI » Découvrir mon profil d’apprentissage Bonjour à tous, l’un d’entre vous m’a demandé comment apprendre par coeur ; Il n’existe pas une mais de très nombreuses méthodes qui diffèrent selon votre profil de mémorisation. Alors je vous propose ce test… et les conseils qui vont avec TEST : Suis-je plutôt visuel, auditif ou kinésthésique ? Apprendre à apprendre Extrait de l’article paru dans ça m’intéresse Il n’y a pas deux personnes qui apprennent de la même manière. « Ceux qui ont le plus de chance de réussir dit-il sont ceux qui s’interrogent sur leur propre façon d’apprendre et cherchent d’autres moyens de faire pour être plus efficaces. Notre mémoire se spécialise en fonction de nos sens Chacun de nous utilise les trois systèmes de perception (ouïe, vue, ressenti) mais consciemment ou pas, privilégie l’un d’entre eux. Le test d’André Giordan (noter vos résultats au brouillon, par exemple 1b, 2c …..) à vous de jouer ! Vous devez monter un jouet lego :a. Maintenant, il faut voir les résultats du test puis lire les commentaires !
Guide L'Accueil Collectif des Mineurs pour des temps de loisirs éducatifs dans l'Ain ggplot2 courbe de distribution : Guide de démarrage rapide - Logiciel R et visualisation de données Ce tutoriel R décrit comment créer une courbe de distribution (ou densité) avec le logiciel R et le package ggplot2. La fonction geom_density() est utilisée. Vous pouvez également ajouter une ligne spécifiant la moyenne en utilisant la fonction geom_vline. Les données suivantes seront utilisées dans les exemples ci-dessous: set.seed(1234) df <- data.frame( sex=factor(rep(c("F", "M"), each=200)), weight=round(c(rnorm(200, mean=55, sd=5), rnorm(200, mean=65, sd=5))) ) head(df) ## sex weight ## 1 F 49 ## 2 F 56 ## 3 F 60 ## 4 F 43 ## 5 F 57 ## 6 F 58 library(ggplot2) p <- ggplot(df, aes(x=weight)) + geom_density()p p+ geom_vline(aes(xintercept=mean(weight)), color="blue", linetype="dashed", size=1) ggplot(df, aes(x=weight))+ geom_density(color="darkblue", fill="lightblue") ggplot(df, aes(x=weight))+ geom_density(linetype="dashed") Lire plus sur ggplot2 et les types de traits : ggplot2 types de traits Calculer la moyenne de chaque groupe : ## sex grp.mean ## 1 F 54.70 ## 2 M 65.36
Kay Nielsen (1886-1957) Kay Nielsen (1886-1957) était un illustrateur danois populaire au début du vingtième siècle, lors de 'l'âge d'or de l'illustration'. Il illustra, entre autres, Les contes de Grimms, d'Andersen et participa au Fantasia de Disney. Getting Psychopaths to Empathize Feeling for other people may not come naturally to psychopaths, but they could be capable of putting themselves in others’ shoes. Christian Keysers performs an fMRI scanEUREKALERT, ROYAL NETHERLANDS ACADEMY OF ARTS AND SCIENCES Psychopathy is a disorder characterized by extreme heartlessness toward other people. However, according to a study published today (July 25) in the journal Brain, psychopathic criminals may be able to muster some empathy when asked to imagine themselves in another person’s situation. “The predominant notion had been that they are callous individuals, unable to feel emotions themselves and therefore unable to feel emotions in others,” coauthor Christian Keysers of the University of Groningen in the Netherlands told BBC News. “Our work shows it’s not that simple. But Essi Viding, who studies developmental psychopathology at University College London and was not involved in the study, was skeptical.