Le Pop Art et la Publicité On le sait, l'art a toujours eu une relation particulière avec la publicité. Elle l'inspire, l'alimente et lui permet de se renouveller. Aujourd'hui nous parlons de Pop Art, un art singulier, moderne, aux protagonistes reconnus et qui, on va le voir, se retrouve dans la communication internationale. Mais d'abord qu'est ce que le Pop Art ? Feat Wikipédia Le Pop art est un mouvement artistique qui trouve son origine en Grande-Bretagne au milieu des années 1950, sous l'impulsion de Richard Hamilton et Eduardo Paolozzi. Pour commencer ce court dossier, il semble évident de s'attarder sur l'un des rois du Pop Art américain : Andrew Warhola, plus connu sous le nom d'Andy Warhol. Warhola : Quand le Pop Art permet à la publicité de briller N'importe quelle publicité est une bonne publicité. Figure centrale du Pop-Art dont il est également le pionnier, Andy Warhol est sans doute l'un des artistes qui a le plus participé à l'essor publicitaire du XXème siècle. Miller Shoes : 1956 Des couleurs !
The record industry needs to sort out radio playlist confusion | Media The policy of the playlist – or rather how, exactly, a single gets on it – has always been a hot topic for the record industry. Although the internet gives the public unprecedented access to music, getting playlisted on the radio is still the key way to gain exposure to a wider audience, and sell records, in the UK. In the US, payola – the illegal practice of paying or in any other way bribing a radio station to play your song – has existed since the advent of pop music. The widespread use of payola in the 70s and 80s was described in detail in the book Hit Men, and as recently as 2005-06 three of the major labels were indicted and settled out of court for pay-for-play practices. Although no such lawsuits have been launched in the UK, there have been plenty of accusations of conflict of interest when it comes to those who decide what gets played on the radio. Capital Radio is now owned by Global Radio, which also owns Heart, Xfm and Gold, making it a group with 20 million listeners.
Photo, art ou pub ? Les fêtes de fin d’année ont vu réapparaître sur les panneaux d’affichage parisiens une campagne publicitaire pour le whisky Ballantine’s qui fait explicitement référence au monde de l’art contemporain. Quatre visuels déclinent les contributions de la peinture, de la sculpture, de l’installation et de la photographie. Selon le directeur marketing France du groupe Pernod (à qui appartient cette marque de whisky), “l’art contemporain représente des valeurs d’indépendance, d’élégance et d’intégrité qui sont proches de celles d’un produit premium comme Ballantine’s.” Ajoutant que pour les Ecossais, si la distillation est une science, l’assemblage est un art. La photographie apparaît ici comme l’une des composantes de l’art contemporain, conformément au mode dominant de légitimation culturelle dont ce médium a bénéficié en France depuis les années 1980.
Behind the music: The politics of the playlist The internet has been revolutionary in providing a platform for unsigned and niche artists. Though some people have declared this the demise of radio, judging by the sales charts, it seems getting playlisted on national radio is still incredibly important in reaching the biggest possible audience. The playlist is the guide to what songs a radio station will play at any given time. I wanted to find out exactly who decides what songs get on there and how they reach that decision, so I chatted to George Ergatoudis, the head of music at Radio 1, arguably home to the most powerful playlist of them all. "That's absolutely not true," says Ergatoudis. How often does that music break into the regular playlist? "All the time. So how do you decide who gets on it? "As head of music, I obviously carry the cap, in particular when it comes to mainstream music. The people at the meeting are all there because I believe they have an area of expertise. How many slots for new music are there per week?
Le sens des images » Analyser une affiche : « We can Do It ! » (1943) We Can Do It! (1943) de J. Howard Miller (USA – 43 x 56 cm – couleurs) [domaine public] Cette affiche a acquis au fil des ans un véritable statut d’icône de la pop-culture. American dream La première chose bien sûr tient à la référence à cet âge d’or américain qui se situe entre les années 1940 et 1960 et qui vit l’émergence des pin-ups, des comic books et du pop art, avec leurs couleurs primaires vives (ici le jaune, le bleu et le rouge) et leurs formes épurées détourées avec netteté sur des à-plats unis. Antithèse La seconde chose qui frappe et qui interpelle dans cette image c’est sa construction paradoxale. Une icône féministe Enfin, le dernier point qui pourrait expliquer l’attrait de cette image au fil des décennies, réside peut-être dans ce qu’elle suggère – sans doute involontairement – en terme politique. On comprend que l’image ait plu aux féministes qui l’adoptèrent instantanément à l’orée des années 80. © Régis Dubois 2014 pour le texte > Les sources d’inspiration
Behind the music: What do record labels actually do? You'd be surprised In the thread beneath one of my most recent articles about the 2012 report on digital music from the International Federation of the Phonographic Industry, StevieBee123 asked: "Sorry – what exactly do we need record companies for again?" LawlessGreed replied with a question of his own: "If there is no music industry, how are musicians supposed to earn a living from their work?" to which malcolm replied: "Try, ehhh, selling direct to the pubic … no brainer!" That discussion, as well as one I had on Twitter has highlighted a certain confusion regarding what today's record labels actually do. It's true the internet has been brilliant for artists in many ways, giving them an alternative route to make contact with and sell directly to fans, but record labels do much more than distribute to retailers. There's also something to say for local expertise. It's also simplistic to say majors are evil while indies are good. So, what about those artists who complain about the labels?
3. Analyser une affiche publicitaire | Education aux médias Il existe différents types de publicités : – La pub informative, qui a pour fonction de livrer au récepteur une information. – La pub argumentative qui défend une idée, qui tente de modifier l’opinion des récepteurs. – La pub incitative qui pousse les gens à agir, à acheter un produit Remarque : certaines publicités combinent les différents types La publicité met toujours en évidence un thème (le sujet dont elle parle, le produit qu’elle tente de vendre…). – Pour convaincre le récepteur, le pousser à acheter…, elle prend position en revendiquant une idée, une opinion. C’est la thèse. Elle est parfois implicite (il faut la deviner). – Pour défendre sa thèse, elle utilise des arguments qui tentent de prouver son bien-fondé. Ce sont généralement des faits, des statistiques, des informations exactes… Les publicités sont publiées sur des affiches publicitaires. Les affiches publicitaires respectent généralement une certaine composition : Analyser une publicité en répondant à ces questions I. 1.
L'influence du pop art sur la publicité Partagez-moi ! La société de consommation s’inspire d’un art qui s’inspire d’elle, la boucle est bouclée… En effet, le pop art se veut être un mouvement artistique portant à réflexion sur le statut d’œuvre d’art et la société de consommation naissante. Alors que Marcel Duchamp provoquait le microcosme artistique du début de XXe siècle en exposant un urinoir, Andy Warhol, dessinateur publicitaire et principale tête de gondole du pop art, se plait, lui, à peindre des objets de consommation quotidienne dans les années 60. Warhol reproduit ses peintures jusqu’à l’épuisement, tentant de prouver que l’art peut être une production de masse, telle notre société qui nous gave de produits et artistes prêts à consommer. Au programme : 1. Nous sommes en 1962. Campbell’s Soup Cans : 1962 Pourquoi des cannettes de soupe ? Plusieurs hypothèses existent : Publicité Campbell’s : le vrai chef-d’œuvre est dans la conserve[/caption] Eight Elvises : 1963 Publicité les Inrockuptibles Green Coca-Cola Bottles : 1962 2.