Tous-au-potager Je m’appelle Gilles Dubus et je suis maraîcher bio en Dordogne. J’anime également, à mes heures perdues (et oui, il y en a…), le Blog du Jardinier Bio, sur lequel je partage les quelques connaissances que j’ai pu acquérir au fil des ans. C’est avec grand plaisir que je réponds aujourd’hui à l’invitation d’Aurélien à publier un article sur son blog. J’ai souhaité partager ici quelques petites astuces qui, je pense, vous seront utiles pour réussir vos légumes au potager biologique. 3 astuces pour réussir toutes vos cultures Commençons par 3 petits conseils applicables sur la plupart des cultures… Trempez vos semences dans une décoction de prêle Si vous faîtes vous même vos plants, vous avez certainement déjà subi la fonte des semis ; les plants s’étiolent, se couchent puis meurent rapidement. Il existe une technique efficace pour éviter ces désagréments : tremper simplement les graines dans une décoction de prêle. Étalez vos semis Les saisons sont parfois capricieuses. Surveillez cette vitre.
Henri Christiné Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Henri Marius Christiné est un auteur, compositeur et éditeur français d'origine suisse, né à Genève le 27 décembre 1867 et mort à Nice le 23 novembre 1941. Selon l'article de Pierre Chapelle dans Le cornet (1922, cf. source), Christiné « aurait débuté brillamment dans la pédagogie à 90 francs par mois, après de fortes humanités ». Avant la Première Guerre mondiale, il écrit de nombreuses chansonnettes pour Fragson (Je connais une blonde, Reviens), Mayol, Polin, ou encore Yvonne Printemps. En tant qu'éditeur, il publie les premières chansons de Vincent Scotto (dont il réécrit également les paroles de La Petite Tonkinoise). Œuvres[modifier | modifier le code] Opérettes[modifier | modifier le code] Chansons[modifier | modifier le code] Notes[modifier | modifier le code] Sources historiques[modifier | modifier le code] Ecouter[modifier | modifier le code]
LEO FERRE - Au Théatre des Champs-Elysées (1984) Jacques Roubaud Pour les articles homonymes, voir Roubaud. Jacques Roubaud en 2008. Membre de l'Oulipo[1], il a développé une œuvre abondante, qui comprend des ouvrages de prose, de poésie, des écrits autobiographiques et des essais. Jacques Roubaud a reçu plusieurs prix littéraires couronnant l'ensemble de son œuvre : le Grand prix national de la poésie (1990) et le Grand prix de littérature Paul-Morand de l'Académie française (2008)[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Fils de Lucien et Suzanne Roubaud, Jacques Roubaud a une sœur et deux frères, dont Jean-René, qui s'est suicidé en 1961 à 22 ans. Véritablement fasciné par les formes fixes des poèmes comme le sonnet (il dit en avoir lu plus de cent cinquante mille), le renga et la sextine (L'OuLiPo qualifie de « n-ine » ou encore « quenine » les généralisations de la sextine à des nombres autres que 6[5]), il apprend depuis tout jeune des milliers de vers et des centaines de poèmes par cœur[6]. Il a présidé le cipM de 1992 à 1997.
Boris Vian, documentaire Michel Delpech Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Delpech. Jean-Michel Delpech, dit Michel Delpech, né le 26 janvier 1946 à Courbevoie (Hauts-de-Seine, France) est un auteur-compositeur-interprète et acteur français. Les débuts[modifier | modifier le code] Les succès[modifier | modifier le code] En 1967, Johnny Stark, l'impresario de Mireille Mathieu, le prend en main. Dépression[modifier | modifier le code] Malgré ses succès, le chanteur connaît une grande période de doute et même de dépression. Retour[modifier | modifier le code] En 1983, il rencontre Geneviève Garnier-Fabre, artiste qu'il épouse en 1985, année où sort l'album de son retour, Loin d'ici. En 2004 sort son disque Comme vous. Michel Delpech a un fils, Emmanuel, né en 1990, qui l'accompagne comme guitariste dans ses tournées depuis 2007. Les 30 et 31 mars 2007, il donne deux concerts au Grand Rex à Paris puis part en tournée en France. Discographie sélective[modifier | modifier le code] Disques Vogue
Boris Vian – Le Déserteur « J'ai la mémoire qui chante Pour lire les commentaires sur cet article cliquez ici Boris Vian (1920-1959) a écrit la chanson "Le Déserteur" en 1954. Elle raconte l’histoire d’un conscrit, qui écrit une lettre au Président pour lui annoncer sa décision de déserter et qui encourage tout le monde à faire de même. Cette chanson a suscité, à l’époque de sa création, une grande polémique et sa première version publique a été interdite, en France, pendant toute la durée de la guerre d’Indochine. Tout le monde connaît évidemment Boris Vian. On connait plusieurs versions à cette chanson Le 15 février 1954, Boris Vian écrit Le déserteur sur le coin de la table d’un restaurant parisien et propose sa chanson à de nombreux artistes. plus tard, retiré du commerce pendant de longues années. Écoutons donc, en tout premier lieu, cette version "adoucie" et interdite malgré tout, interprétée par Mouloudji dans une vidéo où l’on peut entendre un Mouloudji vieillissant côtoyer un Mouloudji dans la force de l’âge: Une chanson pacifiste
Renaud Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « article de qualité ». Renaud Renaud en 2006. Renaud Séchan, dit Renaud, est un auteur-compositeur-interprète et poète français né le 11 mai 1952 à Paris. Avec 23 albums totalisant quasiment 20 millions d'exemplaires, Renaud est l'un des chanteurs les plus populaires en France et l'un des plus connus dans la francophonie[1],[2]. Il s'est lui-même surnommé « le chanteur énervant » en raison de ses multiples engagements pour des causes comme les droits de l'homme, l'écologisme ou l'antimilitarisme qui transparaissent fréquemment dans ses chansons et qui ont suscité de nombreuses réactions tout au long de sa carrière. Biographie[modifier | modifier le code] L'enfance et l'adolescence (1952-1968)[modifier | modifier le code] Renaud Pierre Manuel Séchan est né le 11 mai 1952 au centre du 14e arrondissement de Paris. Sources : GeneaNet.org, Lexilogos.com, SharedSite.com Les débuts dans la musique (1968-1977)[modifier | modifier le code]
Danyèl Waro Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Danyèl Waro Danyèl Waro (Daniel Hoareau à l'état-civil), est un musicien, chanteur, poète de l'île de La Réunion né le 10 mai 1955 au Tampon. Il est à l'origine d'un renouveau du maloya dans l'île et de sa reconnaissance en France. Artiste très influent à La Réunion, il est reconnu par beaucoup de groupes locaux pour l'aide qu'il a apportée à l'émergence de la musique traditionnelle. Biographie[modifier | modifier le code] Danyèl Waro est né à Trois-Mares (Le Tampon), où son père, ancien travailleur journalier, a acheté trois hectares de terrain qu’il cultive. Dans cette vie dure et austère, la notion de plaisir n’a pas sa place. Cela lui donne l’envie de mettre son goût pour les mots au service de la langue créole. Instrumentalisée, cette musique traditionnelle héritée du temps de l’esclavage devient le symbole des revendications identitaires. Seul, il apprend le rythme, commence à fabriquer ses propres percussions. Danyèl Waro sur Akout
Georges Brassens Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Georges Brassens Georges Brassens en concert au TNP, Paris,1966, photo : Roger Pic. Georges Brassens, né à Sète le [1] et mort à Saint-Gély-du-Fesc le , est un poète auteur-compositeur-interprète français. Il met en musique et interprète, en s’accompagnant à la guitare, plus d'une centaine de ses poèmes. Biographie[modifier | modifier le code] Georges Brassens est né dans un quartier populaire du port de Cette (le nom de la ville n'est orthographié Sète qu’en 1928 ; un changement d'orthographe qu'il évoque dans la chanson Jeanne Martin). Sa mère, dont les parents sont originaires de Marsico Nuovo dans la région de Basilicate en Italie du Sud, est une catholique d'une grande dévotion. Les années trente : Sète[modifier | modifier le code] Selon le souhait de sa mère, Georges commence sa scolarité, à l'âge de 4 ans, dans l’institution catholique des sœurs de Saint-Vincent. Alphonse Bonnafé[modifier | modifier le code]
Jean Ferrat Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean Ferrat Jean Ferrat en 1980 (photo Erling Mandelmann) Auteur de chansons à texte, il alterne durant sa carrière, chansons sentimentales, poétiques et engagées et a souvent maille à partir avec la censure[3]. Fidèle, sa vie durant, à ses idéaux communistes, il n'en conserve pas moins sa liberté de penser et n'hésite pas à se démarquer du parti communiste français, en raison des positions de ce dernier sur l'URSS[4]. Bien que peu présent dans les médias et malgré son retrait de la scène à quarante-deux ans, cet ardent défenseur de la chanson française connaît un grand succès critique et populaire[5]. Biographie[modifier | modifier le code] Sa jeunesse[modifier | modifier le code] Origines familiales et enfance[modifier | modifier le code] Jean Ferrat est le fils de Mnacha (dit Michel) Tenenbaum[7], Juif russe naturalisé français en 1928, et d'Antoinette Malon, Française[N 1] née à Paris[N 2] d'une famille originaire du Puy-de-Dôme[8].
Du Temps des cerises aux Feuilles mortes - Un site sur la chanson française de 1870 à 1945 Guy Béart, la mort du dernier troubadour DISPARITION - Le chanteur est mort mercredi à l'âge de 85 ans apprend-on de son entourage. Il restera certainement comme le grand chanteur français le plus sous-estimé de tous. Il était certainement le grand chanteur français le plus sous-estimé de tous. Une situation à laquelle ce misanthrope n'était pas étranger. Né le 16 juillet 1930 au Caire en Égypte, Guy Béart passe une partie de son enfance à suivre les nombreux déplacements de son père spécialisé dans les créations d'entreprises. Il en ressortira avec un diplôme d'ingénieur spécialisé dans les cristaux et l'étude de la fissuration du béton. C'est Patachou qui, la première, lui donne un coup de pouce en interprétant sa chanson Le Bal chez Temporel (sur un texte du poète André Hardellet). Le troisième grand B de la chanson avec Brel et Brassens En 1963, il devient le «premier autoproducteur indépendant dans le monde du disque». Cette dépossession le pousse à créer de nouveaux titres, à sortir de nouveaux disques.
Les Contemplations Les Contemplations est un recueil de poèmes, écrit par Victor Hugo, publié en 1856. Il est composé de 158 poèmes rassemblés en six livres. La plupart de ces poèmes ont été écrits entre 1841 et 1855, mais les plus anciens de ce recueil datent de 1830. Les Contemplations constituent un recueil qui aborde les thèmes du souvenir, de l’amour, de la joie mais aussi de la mort, du deuil et même d'une certaine foi mystique[1]. Le souvenir, surtout, y prend une place prépondérante, puisque Victor Hugo y expérimente le genre de l'autobiographie versifiée. Ce recueil est également un hommage à sa fille Léopoldine Hugo, morte noyée dans la Seine à Villequier. Structure du livre[modifier | modifier le code] Le livre s'organise en deux parties, respectivement intitulées Autrefois et Aujourd'hui, comprenant chacune trois chapitres. Autrefois (1830 - 1843) I. À première vue, le recueil semble organisé selon un ordre chronologique. Les Contemplations comme recueil de l’amour[modifier | modifier le code]