DÉLOCALISATIONS En France, les délocalisations font souvent la une des médias, mais le phénomène est à la fois mal défini et mal compris. Elles sont souvent assimilées à des pertes d'emplois « causées » par l'implantation d'unités de production dans des pays à bas salaires, voire à toute importation en provenance de ces pays. Cette acception très large ne permet pas de comprendre les mécanismes économiques qui lient les échanges internationaux et le territoire français. Elle exclut par ailleurs les délocalisations d'activités de haute technologie vers d'autres pays développés. Lorsqu'elles sont identifiées, celles-ci suscitent des réactions très différentes de celles occasionnées par les délocalisations dans les pays à bas salaires. Personne ne songerait, pour enrayer le mouvement, à exiger des États-Unis qu'ils réduisent le salaire des chercheurs, sensiblement plus élevé qu'en France, ou que leurs grandes universités abaissent le niveau d'exigence de leurs formations.
En Inde, près de 5 millions d'enfants de moins de 14 ans travaillent - Asie-Pacifique Environ 5 millions d'enfants de moins de 14 ans sont employés en Inde, principalement dans l'agriculture et dans de petites usines clandestines. Dans ce pays, la loi n'interdit pas le travail de ces mineurs, sauf dans les métiers les plus dangereux, comme les mines ou ceux qui requièrent des produits chimiques. Cependant, un projet de loi interdisant complètement l'emploi des moins de 14 ans a été approuvé par le gouvernement et pourrait être présenté au Parlement dans les mois qui viennent. Cela fait trois ans qu'un projet de loi interdisant l'emploi des moins de 14 ans attend d'être présenté au Parlement. « Si je suis assis dans le magasin de mon père quand il est parti déjeuner, je ne suis pas un enfant travailleur. 80% des enfants travaillent à la campagne, principalement dans les champs, et même si la loi est votée, il faudra du temps pour la faire appliquer dans ces régions éloignées où la police et la justice sont peu efficaces. « J'ai des blessures sur les mains.
Les Grands Lacs menacés par la pollution malgré une entente Canada États Unis Le Canada et les États-Unis n'arrivent pas à diminuer la pollution dans les Grands Lacs malgré une entente visant à améliorer la qualité de l'eau qui avait été conclue il y a trois ans entre les deux pays. Des dizaines de groupes écologistes se préoccupent de la santé des cours d'eau et ils feront part de leurs inquiétudes dans une lettre qui sera envoyée lundi au comité exécutif des Grands Lacs - organisation responsable de surveiller la mise en place de l'accord. Les militants affirment que peu de progrès ont été accomplis par le sous-comité chargé d'enrayer le problème de la pollution. L'Association canadienne du droit de l'environnement en était venue à la même conclusion dans une nouvelle étude. Selon eux, l'approche «lente» du comité n'est pas en phase avec le problème, qui est urgent et grave, rappellent-ils. L'Accord relatif à la qualité de l'eau dans les Grands Lacs laisse la responsabilité au sous-comité d'identifier les produits chimiques les plus dangereux.
Fermeture de Gentilly-2 : s'inspirer de Boisbriand | Anne-Marie BischoffL'auteure travaille dans un organisme qui favorise la réinsertion sur le marché du travail. Elle réside à Drummondville. | Votre opinion Rappelons-nous l'histoire de l'usine GM de Boisbriand. Tant qu'il y avait un espoir de repartir la production d'automobiles Camaro, les citoyens et la communauté de Boisbriand se battaient pour maintenir l'usine en activité au nom des nombreux emplois bien rémunérés et de l'économie de la région. Lorsque le premier ministre Bernard Landry est revenu des États-Unis avec une fin de non-recevoir, le discours de la communauté de Boisbriand a changé. Finalement, on y a construit le Faubourg Boisbriand, complexe immobilier de 1700 logements qui rapporte 10 millions de dollars de taxes, soit quatre fois plus que l'ancienne usine GM. Aujourd'hui, Boisbriand n'a plus l'usine GM, mais elle ne s'en porte pas plus mal. Nous sommes privilégiés au Québec de compter sur les services d'Emploi-Québec et de ressources en recherche et développement et 800 travailleurs spécialisés dans l'exploitation d'une centrale nucléaire.
AGRICULTURE - Agriculture et industrialisation AGRICULTURE - Histoire des agricultures jusqu'au XIXe siècle Écrit par : Marcel MAZOYER, Laurence ROUDART Il y a dix mille ans, au début du Néolithique, les quelque cinq millions d'êtres humains, généralement nomades, qui peuplaient la Terre se nourrissaient des produits de la chasse, de la pêche et de la cueillette. AGRICULTURE - Histoire des agricultures depuis le XXe siècle Au début du xxe siècle, après dix mille ans d'évolution et de différenciation, les agricultures du monde étaient très diversifiées. AGRICULTURE - Politiques agricoles et négociations internationales Écrit par : Laurence ROUDART Les politiques agricoles, qui sont aussi des politiques alimentaires, environnementales et d'aménagement du territoire, sont un sujet de discorde dans les relations internationales : entre les pays de l'Union européenne (U.E.), entre l'U.E. et les États-Unis, entre les pays émergents et les pays pauvres, entre les pays développés et les pays en dé… Lire la suite Écrit par : Isabelle SAVINI
Marteau-pilon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] Le marteau-pilon du Creusot Le pilon est utilisé depuis longtemps pour moudre les grains. Toujours en Chine, Song Yingxing, en 1637 dans le, présente un moulin à eau, faisant fonctionner plusieurs marteau pillons par alternance[1]. L'origine du marteau-pilon fait l'objet de contestation, exposée en détail[2] sur le site de l'Académie François Bourdon et sur le site de l'ASME[3]. Sans en reprendre tous les arguments on peut dire : Le principe avait été déjà exprimé par Watt en 1774 et un premier brevet sur un marteau actionné par la vapeur avait été déposé en 1806 par William Deverell ;De l'aveu même de Nasmyth dans ses mémoires, il est certain que le premier pilon qui ait fonctionné est celui construit par François Bourdon au Creusot dès 1841 et le brevet déposé cette date est accordée en 1842. Le marteau-pilon est l'emblème de la ville du Creusot. Fonctionnement[modifier | modifier le code]
Ces Mexicains vivent sans accès à l’eau potable à cause de Coca Cola ! Au Mexique, Coca-Cola a acquis un pouvoir considérable. Dans le sud du pays, au Chiapas, l´un des états les plus pauvres, la multinationale américaine a fait main basse sur l´eau et sur la vie de ses habitants. Le Chiapas est considéré comme le réservoir d´eau du Mexique. Dans les années 80, la firme Coca Cola installe à San Cristobal de Las Casas sa plus grosse usine, qui emploie près de 300 personnes. Elle y pompe l´eau nécessaire à sa production, puisant directement dans la nappe phréatique de la ville jusqu´à en assécher certaines communautés alentours. Pour fabriquer 1 litre de Coca, il ne faudrait pas moins de 6 litres d´eau. La multinationale américaine s´est ainsi immiscée partout. Face à ce fléau, certains habitants tentent se mobilisent et tentent de se réapproprier leur ressource naturelle. Boire Coca Cola c’est participer à ça : Source : PublicSenat.fr – EspoirChiapas.blogspot.fr – Communiqué de presse en espagnol – Brochure informative Être certain de voir nos publications
La ville américaine de Detroit renaît après la faillite La ville de Detroit (Michigan), berceau de l'industrie automobile américaine, est devenue en juillet 2013, la plus grande ville américaine à se déclarer en faillite. Mais début 2014, la ville est déjà en train de se rétablir. Les habitants de la ville cherchent à se défaire de cette image de ville délabrée. Alors certains détruisent pour mieux reconstruire. Les maisons abandonnées ont été cédées pour un dollar symbolique par la municipalité. Une association les achète et les rase avec les moyens du bord, à coups de masse. De son côté, Dan Gilbert, un milliardaire natif de la ville qui a fait fortune dans la finance, est devenu l'ambassadeur de la relocalisation à Detroit.
untitled Erie Canal | canal, United States Design and construction “Road and Bridge over the Mohawk”Library of Congress, Washington, D.C.Beginning in the 1780s, various plans were proposed to improve navigation on the Mohawk River. In 1792 the Western Inland Lock Navigation Company was incorporated by the state of New York and given the rights to improve navigation on rivers and lakes west of Albany. The Western Inland Lock Navigation Company, which found itself short of funds and snarled in state partisan politics, never completed its plans. Buffalo: view of Buffalo before the completion of the Erie CanalLibrary of Congress, Washington, D.C.Meanwhile, a new canal project had been gaining momentum. With a typical canal prism shape—12 metres (40 feet) wide on the top, 8.5 metres (28 feet) wide at the bottom, and 1.2 metres (4 feet) deep—the engineers patterned the Erie Canal after the Middlesex Canal in Massachusetts. Work was undertaken by multiple contractors who agreed to dig small sections of the canal. Frances C.