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FABRICE LUCHINI : NIETZSCHE et les déglingués de la littérature

FABRICE LUCHINI : NIETZSCHE et les déglingués de la littérature

Réveille-toi ! Le gnosticisme et le bouddhisme dans Matrix Cypher sait que la Matrice n'est pas réelle et que tous les plaisirs qu'il éprouve ne sont que des illusions. Pourtant, "l'ignorance" du samsâra lui paraît préférable à l'éveil. Niant la réalité qu'il sait en dehors de la Matrice, il utilise une formule à la négation redoublée : " Je ne veux pas me souvenir de rien. De rien. Tandis que Cypher et Mouse représentent ceux qui s'abandonnent au samsâra, le reste de l'équipage incarne la modération et le calme prêchés par le Bouddha. La solution de la connaissance-éveil. Mais Matrix contient également des notions que l'on trouve dans le bouddhisme Mahâyâna, notamment son attention particulière à la libération de tous les êtres sous la direction de ceux qui demeurent dans le samsâra et qui diffèrent leur propre éveil afin de secourir autrui sous la forme de bodhisattvas [46]. Neo en tant que Bouddha. L'hypothèse d'un Neo réincarnation du Bouddha est corroborée, dans le film, par la prédominance des images de naissance qui lui sont associées.

===> DOKS ALEX JONES - Alex Jones - Reportages Sous Titrés en Français - VOSTFR : Alex Jones : Free Download & Streaming : Internet Archive Reportages d'Alex Jones sous titrés en Français. Alex Jones est un producteur de reportages et d'une émission de radio diffusée aussi sur internet en Anglais, qui parle des manipulations médiatiques de l'élite corrompue qui ne pense qu'a s'enrichir toujours plus au dépend de la population. A propos d'Alex Jones (Anglais): Site Officiel d'Alex Jones: Site Vidéos Officiel Alex Jones: Youtube d'Alex Jones: Traductions d'Interview / Bulletins Infowars d'Alex Jones en Français: Emissions d'Alex Jones sur les Mensonges de Ben Laden: Vidéos aussi disponibles sur Dailymotion: Télécharger les Vidéos: Police State 4

architecture, urbanisme, paysage, patrimoine...: SI LA VILLE M’ÉTAIT CONTÉE | GOTHAM CITY : VILLE FICTIVE Batman, est une des fictions les plus influencées par l’architecture. En effet, elle se déroule quasiment uniquement dans la ville de Gotham, dont les architectes ont été des personnages représentés dans certaines des histoires. Chaque ville, réelle ou fictionnelle, possède un caractère unique qui se définit par sa géographie et son histoire. Mais plus qu’un simple résultat de l’architecture et de l’urbanisme, les villes sont aussi un reflet de la conscience de ceux qui y vivent. Batman est intégralement lié à sa ville, cette ville qu’il a juré de protéger. Depuis ses débuts, Gotham city est représentée comme l’incarnation des peurs urbaines qui ont aidé à la formation des banlieues américaines (ces quartiers paradisiaques à l’extérieur des villes et donc en sécurité). Les villes semblent souvent plus dangereuses et effrayantes la nuit où les hommes deviennent plus violents, plus sauvages. En fait, Gotham est vraiment le travail d’hommes fous. Sources : www.archidayly.com

Ciné US, ups and downs « Je ne sais rien, mais je dirai tout 2012 ne fut pas un millésime folichon pour le ciné américain. Au moment de dresser mon top 10 de l’année, j’ai eu du mal à y glisser un film US. Cosmopolis n’était pas loin, mais c’est une production européenne réalisée par un Canadien. 4h44 de l’increvable « Aibeul » était également proche de mon cut. Pour une cinématographie aussi riche et puissante, le bilan est quand même maigrichon. Il faut aussi préciser que je n’ai vu ni Looper ni Avengers, deux films passionnants si j’en crois mes amis et collègues. Par contre, j’ai bien vu le dernier James Bond, et passée l’ébouriffante séquence d’ouverture, je m’y suis bien endormi. Le cinéaste égyptien Yousry Nasrallah faisait remarquer que le film de Nolan érotisait la police, se plaçait du côté de l’ordre. On va me dire, les blockbusters recèlent souvent une vision critique du système, comme chez Nolan. Heureusement, 2013 annonce un retour en force de ce ciné US qui m’a tant déçu en 2012. Bonnes fêtes à tous et à l’année prochaine.

“White epilepsy” de Philippe Grandrieux: beau, puissant, hypnotique « Je ne sais rien, mais je dirai tout Vu le nouveau film de Philippe Grandrieux, White epilepsy, beau titre velvetien. Un objet singulier, « différent », à mi-chemin du cinéma et de l’installation vidéo. Difficile de parler du travail sensoriel de Grandrieux : ses films se vivent, se ressentent, s’expérimentent, échappent aux mots. Le format, déjà, est inédit : une bande plus haute que large, un rectangle mais vertical, mettant le spectateur dans la position de celui qui observe à travers l’embrasure d’une porte. Mais on met du temps à identifier ce format, parce que White epilepsy, ce sont des corps blancs sur fond noir, et il est évidemment difficile de remarquer au premier regard la suture entre le noir filmé par Grandrieux et le noir du reste de la surface de l’écran. Comme il est difficile de savoir tout de suite d’où viennent les images de Grandrieux : un corps nu, d’une aveuglante blancheur, filmé de dos, tête « coupée’ par les ténèbres, se mouvant minimalement, comme au ralenti.

La conspiration contre la Syrie, c'est pas du cinéma Photo publiée avec l’aimable autorisation de Najdat Anzour L’année dernière, en signe de soutien à l’opposition contre Bachar al-Assad, des chaînes de télé qataries et d’autres pays du Golfe ont refusé de diffuser les films syriens et les séries télé liés au régime en place, menant à une chute des productions syriennes. Cette censure a touché de plein fouet Najdat Anzour, un réalisateur syrien majeur qui a réalisé Hour al-ain, un film de 2005 qui dénonce les kamikazes et les terroristes. En 2007, il a fait la Une des journaux quand il a été choisi pour réaliser un film à partir d’un script de Mouammar Kadhafi – plus tard, on a su qu’il devait disposer d’un budget de 50 millions de dollars, entièrement financé par le dictateur. Depuis, le projet a été abandonné. J’ai appelé Najdat et appris qu’il avait soif de liberté et qu’il était opposé à l’Armée syrienne libre – ceux-là même qui s’opposent à un régime qui se préoccupe assez peu de la liberté d’expression.

La beauté, selon les étudiants de l’Académie royale des beaux-arts de La Haye Le monde moderne et parfois superficiel dans lequel nous vivons est magnétisé par le concept de beauté. Qu’est-ce qui est beau ? Qu’est-ce qui est laid ? Ne vous attendez pas à une série de belles photos. J’ai choisi de vous montrer une sélection de 27 photos issues de cette exposition. www.expolook.nl

La vie américaine Cette série de Polaroïd a été présentée lors de l’exposition An American Way of Life à l’Impossible Gallery de Barcelone. Comme l'expo est finie, pour ceux qui n'auraient pas eu l'occasion de la voir (on suppose que vous êtes nombreux dans ce cas), on vous a fait une sélection de nos clichés préférés. Cette série est centrée autour des États-Unis des années 1970 et 1980 : coupes de cheveux douteuses, vêtements de style « rideaux », grand-mères racistes et souriantes – tous les bons et les mauvais côtés des Yankees. Plus de photos : LES OS CASSÉS DES NAINS ITALIENS – Souffrir beaucoup et gagner quelques centimètres VINGT ANS DANS LE CANIVEAU – Jeff Bierk prend des photos géniales et déprimantes des junkies et des sans-abri LA BEAUTÉ, SELON LES ÉTUDIANTS DE L’ACADÉMIE ROYALE DES BEAUX-ARTS DE LA HAYE – Sous-vêtements correctifs, oreilles décollées et slips de bain

De Bagdad à Jérusalem : L'Orient indiscret François Hollande a raison de dire, comme il l’a fait lors de ses vœux au corps diplomatique jeudi, qu’il « ne suffit pas de répéter à l’envi qu’il faut parler à la Russie » pour régler la crise syrienne. « Nous ne cessons de le faire, a poursuivi le président de la République. Les problèmes ne disparaissent pas dès lors que nous en parlons, ce serait tellement simple ». Certes, la France parle à la Russie. Le problème, c’est qu’au cours des six années écoulées depuis le déclenchement de la guerre en Syrie, où Paris et Moscou se retrouvent dans deux camps différents, les diplomates français ont souvent usé d’un ton extrêmement dur, voire même fort tranchant et peu diplomatique à l'égard de la Russie, une posture qui s’est révélée finalement contreproductive. Petit florilège de ce dialogue franco-russe. Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères de Nicolas Sarkozy, compare le soutien russe à Assad à une « tache indélébile » sur la réputation de la Russie.

Humanitaire ou Social : l'investissement étudiant par excellence - Pratique Activités sportives, organisation de soirées, junior entreprises… Dans l’enseignement supérieur, les étudiants ne manquent pas de choix lorsqu’ils souhaitent s’engager dans une association. Ils sont aussi de plus en plus nombreux à participer à des activités à vocation humanitaire, caritative ou sociale. Les initiatives au bout du monde se multiplient. Rien ne sert cependant d’aller risquer sa vie, dans la zone subsahélienne (Algérie, Niger, Nigeria, Tchad, Mali) ou, actuellement, en Côte d’Ivoire. Il est tout à fait possible de s’investir près de chez soi. « Un moyen de garder les pieds sur terre » « Je suis étudiante dans une université prestigieuse, et je ne voulais pas rester cantonnée à cet univers.» « Je souhaitais profiter de mes études pour élargir mon spectre et être utile en agissant directement sur le terrain social », raconte Sandra Dayan. « C’est plus compliqué que je ne l’imaginais, explique- t-il. « Leur regard a changé, constate Manuelle Malot.

Profession, domestique, par Julien Brygo Une route sinueuse, des forêts de pins verdoyantes et des hommes en uniforme. Soudain apparaissent les images de carte postale de la baie de Hongkong, ses haies d’immeubles et son essaim de navires. Au volant de sa berline décapotable, Charlotte fait signe de la tête à l’agent de sécurité ; et la barrière du Tertre de Stanley, un village privé portant le nom du célèbre explorateur britannique, se lève. Depuis 2005, cette expatriée franco-belge et son mari français coulent des jours heureux dans leur maison avec terrasse, à trente minutes du cœur de l’« économie la plus ouverte du monde ». Charlotte, qui n’a « pas mis les pieds dans un supermarché depuis quatre ans » et vit cette exonération des tâches domestiques comme une « véritable libération », s’étonne encore que son employée fasse sécher son maillot de bain quand elle rentre de la plage, sans qu’elle le lui demande. Taille de l’article complet : 4 607 mots. Vous êtes abonné(e) ? Vous n'êtes pas abonné(e) ? Accès sans abonnement

Le dormeur du val - Arthur RIMBAUD Arthur RIMBAUD (1854-1891) C'est un trou de verdure où chante une rivière,Accrochant follement aux herbes des haillonsD'argent ; où le soleil, de la montagne fière,Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,Tranquille. Les Etats-Unis —et les Européens— ne doivent pas intervenir en Syrie Et c’est reparti. Une étrange ligue d’interventionnistes néoconservateurs et libéraux réclame de nouveau et à grands cris une approche américaine plus musclée de la Syrie. Et sans surprise, ils cherchent des coupables dans l’interminable débat «Qui a perdu la Syrie?» publicité Ne les écoutez pas. La rengaine «Il faut en faire plus» s’est intensifiée à la lumière des événements spectaculaires et tragiques d’Alep, où l’armée syrienne semble une fois de plus être en train de dévaster une grande ville dans l’espoir d’en extirper ses opposants. Fin juillet, le Washington Posta de nouveau appelé à une série de démarches—donner des armes aux rebelles et mettre sur pied des plans d’urgence de zones d’exclusion aérienne—sans la moindre analyse pour savoir si de telles mesures affecteraient de façon sensible la situation sur le terrain, sans parler de la moindre considération des coûts engendrés au cas où elles ne serviraient à rien. Aucune force sur le terrain capable d'imposer l'ordre

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