Les jeunes et les réseaux sociaux
Réseaux sociaux, sites communautaires, médias sociaux… c’est quoi la différence ? Un réseau social est un site qui permet aux internautes de se mettre en relation et de se regrouper sur la base de leurs amitiés et/ou de leurs centres d'intérêts communs, comme par exemple des goûts musicaux, des passions, ou même en fonction de leur vie professionnelle ou scolaire. Les réseaux sociaux facilitent l’échange d’informations, de photos, de vidéos… au sein de ces groupes. C'est donc véritablement une toile, un réseau, qui se forme autour d'un individu, selon ses préférences, ses goûts, ses intérêts… Aujourd'hui on parle aussi plus largement des « médias sociaux », qui englobe les réseaux sociaux mais aussi des sites communautaires où les internautes peuvent s’exprimer sans pour autant faire partie d’un groupe.
Les réseaux sociaux favoriseraient le suicide
La réussite véhiculée par les réseaux sociaux favorise le mal-être de certains adolescents qui n'arrivent pas à supporter la pression et les objectifs académiques et athlétiques. Les réseaux sociaux peuvent augmenter le risque de suicide, en particulier chez les adolescents, selon les résultats d'une étude publiée dans la revue médicale American Sociological Review. Ils mettraient en valeur la réussite des uns pour augmenter la pression et le stress de ceux qui n'arrivent pas à atteindre des objectifs. Les chercheurs l'Université de Chicago et de Memphis aux Etats-Unis ont réalisé une étude pendant 15 ans avec une communauté de banlieue de classe moyenne supérieure dans laquelle 19 étudiants ou jeunes diplômés de l'école secondaire se sont suicidés.
L’usage des médias sociaux chez les jeunes : les deux côtés de la médaille
Utiliser les médias sociaux représente l’une des activités les plus courantes chez les jeunes d’aujourd’hui. Un récent sondage mené aux États-Unis démontre que 51 % des adolescents se connectent à leur réseau social favori au moins une fois par jour et que 22 % des jeunes le font plus de 10 fois quotidiennement (Common Sense Media, 2009). Les sites comme Facebook, YouTube ou Twitter, qui se sont développés à grande vitesse au cours des dernières années, s’avèrent hautement populaires auprès des jeunes, notamment parce qu’ils leur offrent l’opportunité de se divertir, mais également de communiquer entre eux (O’Keeffe et Clarke-Pearson, 2011). Il demeure cependant essentiel que les jeunes sachent en faire une utilisation saine et appropriée, sans quoi, certains problèmes pourraient survenir. Un rapport clinique paru dans la revue américaine Pediatrics (2011) met en perspective les différents impacts des médias sociaux sur les enfants, les adolescents et les familles. Vie privée
Éducation à l'utilisation des réseaux sociaux et prévention du cyber-harcèlement
lundi 20 avril 2015. Par Solène Zablot 1.
Addiction aux réseaux sociaux : quels dangers ?
Avec Facebook ou Instagram toujours à portée de main, la consultation compulsive des réseaux sociaux est-elle une addiction ? A quel moment ce comportement virtuel devient-il un problème ? Existe-t-il un danger à trop liker, tweeter, commenter ?
Les enfants et les ados sur les réseaux sociaux.
Quels en sont les aspects positifs ? Les réseaux sociaux regorgent d’avantages dont les internautes, jeunes ou moins jeunes, peuvent tirer parti. Ils sont de véritables services de communication intégrés. Communication, divertissement, amis, groupes d’amis en fonction des centres d’intérêt, hobbies, échanges de photos et d’infos, planification d’évènements, activisme social sont l’apanage des réseaux sociaux.
Suicide des jeunes: l’effet des réseaux ...
Suicide des jeunes: l’effet des réseaux sociaux par Fabio Bonavita, ghi.ch, 21 février 2018 SOCIETE • Les milieux genevois de prévention tirent la sonnette d’alarme. Les réseaux sociaux favoriseraient les pensées suicidaires chez les ados. Berne réagit. «Le taux de suicide chez les jeunes ne recule plus.»
L’addiction chez les jeunes
J’ai réalisé un dessin pour la 19e journée nationale prévention santé, organisée par la fédération des parents d’élèves de l’enseignement public (Peep). Le thème est « l’addiction chez nos enfants ». Mon côté geek m’a tout de suite fait pensé à ce dessin pour ce thème.
Snapchat, Instagram: que font les 11-12 ans sur leurs réseaux sociaux préférés?
Eux, ce sont les "social natives". La génération qui suit les "digital natives", nés avec le web. Ils sont nés avec les réseaux sociaux. Et ils les utilisent en masse, même s'ils n'en ont théoriquement pas encore le droit.
Dangers de Facebook et risques des réseaux sociaux
1- Apprenez à mieux connaitre les réseaux sociaux Facebook Création : 2004 Le réseau social le plus connu. Il permet à ses utilisateurs de publier du contenu (images, photos, vidéos, fichiers…) et d’échanger des messages et d’interagir sur les messages des autres utilisateurs. L’âge minimum requis est de 13 ans. Facebook en quelques chiffres: 48% des enfants entre 8 et 17 ans sont connectés sur Facebook.
Réseaux sociaux
Férus de réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, Snapchat, Google+, Netlog, Twitter, Tumblr, Pinterest, Flickr, etc., les jeunes y consacrent beaucoup de temps.80 % d’entre eux se rendent sur les réseaux sociaux tous les jours ou plusieurs fois par semaine (étude JAMES 2016). Les réseaux sociaux appartiennent à la génération du Web 2.0. Autrement dit, à la différence de l’Internet traditionnel, l’utilisateur n’est pas seulement consommateur, mais aussi acteur, puisqu’il crée du contenu (textes, vidéos ou photos). 94 % des jeunes ont un profil Les réseaux sociaux sont particulièrement appréciés parce qu’ils permettent de nouer des contacts aux quatre coins de la planète, de trouver des personnes partageant ses intérêts et de communiquer avec elles en temps réel.
Les usages des 10-13 ans, ces clandestins du web social
Par Barbara Chazelle, France Télévisions, Prospective et MediaLab de l'Information Bien que légalement ils ne devraient pas y être, il n'est un secret pour personne que les moins de 13 ans ont investi les réseaux sociaux en mentant sur leur âge pour s'inscrire : les 7-12 ans passent 6h10 connectés chaque semaine, un chiffre en hausse de 30 minutes par rapport à 2016 et 45 minutes par rapport à 2015 selon Ipsos. Très influente bien que clandestine, cette « génération tête baissée » fascine par ses usages des plateformes que l'agence Heaven décrypte dans son deuxième baromètre « Born Social »*. Qui sont les clandestins des réseaux sociaux ? L'inscription sur les réseaux sociaux est déjà majoritaire dès la 5e (62,3%) et incontournable à la fin du collège, à 85,4% d'inscrits.