Les 5 promesses de notre société de communication Quels sont les 5 concepts clés qui guident notre société de communication ? Beaucoup, mais la préhistoire, et la sédimentation de notre monde moderne d’outils numériques se posent sur 5 piliers. L’internet se pose beaucoup de questions, de réponses, d’analyse, de data-journalisme autour de cette problématique qu’est la communication, via les nouveaux usages web notamment. Le champs de la communication et des sciences de l’information est vaste. Il n’a pas fourni de science exacte, et pour cause, la communication est partout, touche tous les domaines ( techniques, psychologie, épistémologie, histoire, sciences, … ). Pour autant, les années 80 ont vu souder quelques principes de bases, aujourd’hui vérifiés, concernant les couches de sédimentation de notre société de communication. 1. Bien avant l’infobésité qui envahit le web, l’abondance de la communication a démarré par les canaux habituels ou classiques de la communication. La partie visible de l’abondance aujourd’hui se pose sur internet.
Adresse IP - Définition de Adresse IP Définition Toutes les machines connectées à Internet ont une adresse composée de quatre nombres séparés par un point. Obligatoire pour accéder à un serveur et naviguer sur le réseau. Description Si vous avez des questions ou des commentaires à apporter à cette définition, utilisez ce formulaire, merci d'avance ! Partagez cette définition sur Google+ en cliquant sur ce bouton : N'oubliez pas de suivre notre compte Twitter et de rejoindre les autres fans de Dicodunet sur Facebook Auteur Olivier Andrieu : Abondance Commentaires Pour l'instant aucun commentaire n'a été ajouté. Ajoutez votre commentaire
20 ebooks pour réfléchir sur le Web 2 et l'internet d'aujourd'hui - EPN Ressources Réfléchir sur le Web 2, l'Internet d'aujourd'hui et de demain n'est pas si aisé. Des publications en ligne gracieusement téléchargeables, que ce soit des ebooks (livres numériques), ouvrages, travaux scientifiques ou revues thématiques permettent de réfléchir aux pratiques contemporaines de l'Internet pour prendre du recul sur les utilisations et attiser sa curiosité d'esprit. Les animateurs multimédia en EPN sont en première ligne pour promouvoir auprès des publics un internet non pas consommateur mais où l'on est acteur avec un aspect citoyenneté très important. Pour vous guider dans ces réflexions, voici une sélection de 20 ebooks pour réfléchir sur le Web 2 et l'internet d'aujourd'hui : "L'Economie de l'attention" par Eric Scherrer (2008)Etude. 146 pages. "Le Dictionnaire impertinent Du Futur : Se divertir en découvrant l'avenir et... le préSent" par Anne-Caroline Paucot (2008)Livre. 204 pages. "Netvibes : l'internaute au pouvoir ou pouvoir de la contrainte ?"
L’impossibilité de ne pas communiquer L’impossibilité de ne pas communiquer. La communication, à quoi ça sert ? D’abord revenons aux basiques des sciences. Les plantes sont auto suffisantes ; elles produisent la photo synthèse propre à leur survie, et puisent dans leur milieu les éléments organiques essentiels à leur survie. Peu importe la survie de leur copine, le monde végétal est autonome. Pour les animaux, et donc l’homme, la survie est essentielle. Dans les besoins fondamentaux, la survie est donc essentielle. Pyramide de Maslow : premiers besoins , physiologiques : communiquer c’est survivre Au delà de la considération sociale de bien communiquer entre pairs, la communication nait de cette dépendance vis à vis de sa mère, puis des hommes en général. Communiquer et entrer dans l’orchestre. Communiquer c’est d’abord entrer dans un monde déjà communiquant. De là les travaux de l’école Paolo Alto sur la communication. Communiquer implique donc de s’intégrer dans un monde déjà communiquant. A lire pour approfondir : Like this:
Le guide des égarés. » culture de l'information, Information literacy, documentation, CDI, , Pédagogie, sciences de l'information et de la communication, Humanisme numérique.Olivier Le Deuff 1999-2013: Les réseaux sociaux polarisent-ils ou élargissent-ils le débat public ? « InternetActu.net En juin dernier, le Pew Research Center, ce think tank américain “non partisan” dédié à l’étude “des faits et tendances qui transforment notre monde”, a livré une impressionnante étude sur la montée de la polarisation du débat public aux Etats-Unis. L’étude montrait combien l’animosité partisane avait progressé sur 20 ans entre démocrates libéraux et républicains conservateurs, notamment chez les plus actifs politiquement… Elle mettait en avant la progression des chambres d’échos idéologiques – c’est-à-dire le fait que les partisans discutent de plus en plus entre eux -, renforçant ainsi leurs propres convictions, ainsi que la montée de l’antipathie mutuelle entre ce qu’on pourrait rapidement qualifier de droite et de gauche américaine. Le Pew Research Internet Project, la branche technologique du think tank vient de la compléter en s’intéressant particulièrement au rôle des médias sociaux dans la montée de cette polarisation politique. Hubert Guillaud
Éclairages sur la redocumentarisation Je voulais faire un billet sur la rocambolesque et édifiante histoire de l'article de Wikipédia sur l'EPR, mais Olivier m'a devancé et son analyse, en raisonnant sur la redocumentarisation, me paraît très pertinente. Du coup, je me suis dit qu'il serait peut être temps de faire ce billet, toujours remis, pour expliquer la notion. Pour définir la re-documentatisation, il faut commencer par s'entendre sur le terme "documentarisation". Documentariser, c'est ni plus ni moins "traiter un document" comme le font, ou le faisaient, traditionnellement les professionnels de la documentation (bibliothécaires, archivistes, documentalistes) : le cataloguer, l'indexer, le résumer, le découper, éventuellement le renforcer, etc. Le numérique est une opportunité formidable de redocumentarisation. Mais le processus ne se réduit pas à cette simple transposition. Si nous écoutons Roger, la redocumentarisation prend un sens beaucoup plus large.
Document : forme, signe et médium, les re-formulations du numérique Roger T. Pédauque, STIC-CNRS Contacts pedauque@enssib.fr Version 3, 8 -07-2003 Résumé Ce texte présente un travail collectif de réflexion en cours au sein du réseau thématique pluridisciplinaire 33 du département STIC du CNRS. Ces entrées montrent chacune que des transformations radicales sont en cours. Contexte Très peu d'articles scientifiques proposent une définition du document, encore moins la discutent. Nombre de dictionnaires, de répertoires de normes, d'encyclopédies présentent des définitions, qui relèvent plus de la désignation ou de la description que d'une réflexion approfondie sur la notion. Un très grand nombre d'autres travaux de recherche utilisent pour désigner des objets comparables un vocabulaire différent, parfois rigoureusement défini, souvent aussi sujet à des interprétations diverses. Enfin, les documents sont omniprésents dans notre vie courante (notamment au plan administratif et même dans l'activité scientifique). Ce flou fait aujourd'hui problème. Propositions
How Social Media Silences Debate - NYTimes.com The Internet might be a useful tool for activists and organizers, in episodes from the Arab Spring to the Ice Bucket Challenge. But over all, it has diminished rather than enhanced political participation, according to new data. Social media, like Twitter and Facebook, has the effect of tamping down diversity of opinion and stifling debate about public affairs. It makes people less likely to voice opinions, particularly when they think their views differ from those of their friends, according to a report published Tuesday by researchers at Pew Research Center and Rutgers University. The researchers also found that those who use social media regularly are more reluctant to express dissenting views in the offline world. The Internet, it seems, is contributing to the polarization of America, as people surround themselves with people who think like them and hesitate to say anything different. Photo And in some ways, the Internet has deepened that divide.
l’Open Data, la démocratie retrouvée ? Interrogez les Français ! Ils trouvent nos politiques déconnectés de la réalité. Les français connaissent peu le travail parlementaire ; trouvent notre institution politique compliquée. Et qui va dans le sens de notre modernité : transparence, démocratie. L’open data est la publication d’informations publiques, à utilité publique, et de manière la plus large. 1. L’open data est une publication d’information brute. La publication de ces informations permet la transparence : Plutôt que de considérer le citoyen comme "idiot", non compétent, on considère qu’il a droit à être informé. Par les forums, ou par la publication intégrale des articles de loi. 2. Les nouvelles technologies, portées par les services publiques ne doivent pas se résumer à des considération purement techniques. Voter via des machines électroniques est encore peu répandu. L’open data, en ce sens, est l’objet démocratique par excellence. L’information publique comme rempart contre les lobbys Like this: J'aime chargement…
Jeunes - Comprendre et utiliser Internet Mis à jour le 19/11/15 par CANOPÉ académie d'Amiens Le respect du droit d’auteur La première question à se poser avant de télécharger un contenu sur Internet : est-ce légal ? En effet, la plupart des contenus (images, musiques, livres, films…) en ligne sont protégés par des droits d’auteur. Respecter le droit d’auteur, c’est permettre aux auteurs d’être rémunérés et respecter leur travail. Les différents types de téléchargement Le téléchargement légal (payant ou gratuit) : > payant : s’il est autorisé par son auteur et proposé sur un site de vente d’œuvres en ligne. > gratuit : quand l’auteur de l’œuvre autorise son téléchargement sans contrepartie financière. Le téléchargement illégal : il est fait sans l’autorisation de l’auteur de l’œuvre concernée. Le téléchargement gratuit et légal : > Gratuit ne veut pas dire légal… C’est même souvent le contraire. Comment se procurer une œuvre ? Il existe trois façons de se procureur une œuvre : Qu’est-ce que le streaming ? Attention ! Cas pratiques
The Psychology of Online Comments - The New Yorker Several weeks ago, on September 24th, Popular Science announced that it would banish comments from its Web site. The editors argued that Internet comments, particularly anonymous ones, undermine the integrity of science and lead to a culture of aggression and mockery that hinders substantive discourse. “Even a fractious minority wields enough power to skew a reader’s perception of a story,” wrote the online-content director Suzanne LaBarre, citing a recent study from the University of Wisconsin-Madison as evidence. While it’s tempting to blame the Internet, incendiary rhetoric has long been a mainstay of public discourse. Cicero, for one, openly called Mark Antony a “public prostitute,” concluding, “but let us say no more of your profligacy and debauchery.” Anonymity, for one thing. On the other hand, anonymity has also been shown to encourage participation; by promoting a greater sense of community identity, users don’t have to worry about standing out individually.
Ça se passe comme ça chez Mc Donald’s Bon, je voulais mettre "Mes couilles Mickey" en titre, mais les plus jeunes n'auraient pas compris la référence moisie. Peu importe, le sujet est grave et m'a laissé un sentiment de malaise. C'est vrai que la dernière fois que j'ai été dans un Mc Donald's à Paris, je me suis amusé à prendre en photo une souris, ce qui m'avait surpris, mais qui apparemment, vu les réactions que j'ai obtenues sur Twitter, ne choque plus aucun parisien. Ils ont l'habitude et voir une souris est plus fréquent que de croiser des employés souriants. C'est un fait ;-) Mais cette nouvelle histoire m'a juste coupé les bras. Évidemment, ce genre d'appareillage peut soulever beaucoup de questions, et pour lever tous les doutes, lorsque par exemple il passe une frontière (police) ou qu'il se balade dans un musée ("Oh mon Dieu, il photographie les œuvres ou le système de surveillance"), il montre, si on lui demande, une lettre de son médecin (?? Bon, c'est un touriste, on lui pardonne. Une histoire de dingue donc !