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L'impunité des hommes célèbres.

L'impunité des hommes célèbres.
ATTENTION : TW violences conjugales et viol. Un nouvel article sur un sujet qui me tenait particulièrement à coeur (si vous me suivez sur Twitter vous m'avez probablement vu pété les plombs quelques fois sur ça), j'ai vraiment pris le temps parce que je voulais faire quelque chose de bien mais aussi parce que c'était pas facile de se farcir tous ces articles plus affreux les uns que les autres par ce qu'ils relataient ou les propos des journalistes qui sont plus prompts que l'éclair à défendre ou diminuer les crimes de ces chers messieurs. URG. J'espère que c'était ok à lire, désolée il y a beaucoup de textes mais c'est dur de mettre ce sujet là en image, parfois. Tout un tas de liens sur le sujet :- La vidéo de Laci Green sur les "fausses" accusations de viol - Un très bon article de Brain Magazine sur le sujet et un article de Diglee en réaction. - Un autre article sur le même sujet, qui aborde aussi l'affaire Baupin, sur le HuffPost. - Une liste de mecs célèbres abuseurs (en anglais)

Le victim-blaming (ou pourquoi j’ai grondé mon chat après lui avoir marché sur la queue) | Dans Mon Tiroir [1] – L’expression viendrait du livre « Blaming the Victim, Globally » publié dans les années 70 par William Ryan. [2] – Selon les études Insee, les femmes sont plus souvent agressées par un proche. Vous pouvez aussi regarder cette vidéo à ce sujet. [3] – The Just World Theory, Markkula Center for Applied Ethics [4] – Why do we blame victims? WordPress: J’aime chargement… Articles similaires

Raymond, reviens, t'as oublié tes chiens ! – Trans et méchante. C’est mon ressenti – Raymond, reviens, t'as oublié tes chiens ! Je fréquentais des milieux “underground” à une époque. Un ensemble de métalleux-es, gothiques, nerds, autant de gens qui se mettaient volontairement dans une position de relative marginalité par rapport à la société. Ces groupes n’avaient ni ambition ni revendication politique, ils étaient constitués de fait par des gens partageant les mêmes hobbies et goûts. L’un des éléments marquants pour moi de ces milieux, c’est qu’il y avait toujours une sorte de code permettant de s’identifier. Dans certains milieux féministes/queer, en ligne ou hors-ligne, j’ai l’impression que le genre et la sexualité deviennent de tels élément d’identification. Alors c’est plutôt chouette, de se nommer et de s’identifier d’après son ressenti, et de se faire un petit groupe de gens « qui en sont ». Effectivement, il me semble qu’il y a bien une part de libération. Malheureusement, ça coince. L’exemple de l’asexualité En ce qui concerne les hommes, c’est effectivement des doutes sur sa virilité. Like this:

Le viol du jeune homme noir par la BST : un acte masculiniste et colonialitaire | Joelle Palmieri Le viol du jeune homme noir par la BST : un acte masculiniste et colonialitaire Posted by joellepalmieri on 16 février 2017 · 5 commentaires Jeudi 2 février 2017 vers 17h à Aulnay-sous-Bois. Le premier est seul, de sexe masculin, jeune, noir ; footballeur en formation, il habite la Cité des 3000, autant dire qu’il n’est pas très aisé. Revenons aux faits. Tout d’abord, Théo Luhaka, 22 ans, n’est ni le premier ni le dernier jeune homme racisé des quartiers à tomber sous les crimes des forces de répression françaises. Ensuite, les faits décrits par les deux parties, même s’ils paraissent contradictoires, convergent. L’usage du terme « bamboula », considéré comme « convenable » dans le registre des injures policières, est à ce titre révélateur. Le système qui associe crime/répression et virilité fait ainsi référence aux modes d’intervention des militaires en période de conflit. Un peu plus loin dans le temps, ce système renvoie aux relations entre maîtres et esclaves. [1] Marie Treps, 2017.

Face au féminisme radical, quatre positions-type chez les hommes (Léo Thiers-Vidal) | Singulier masculin Je suis en train de lire la thèse de Léo Thiers-Vidal, De « L’ennemi principal » aux principaux ennemis (L’Harmattan 2010), qui est très inspirante sur l’analyse de la position des hommes vis-à-vis de leur propre genre. Je publie ici d’abord une courte citation, qui résume bien sa « base de départ » (les 121 pages de la première partie). A partir de là, il examine comme hypothèse l’affirmation que les hommes, dès le plus jeune âge, sont conscients qu’ils dominent les femmes et que c’est même ce qui définit le genre masculin, comme position sociale vécue. Thiers-Vidal part de l’idée que les dominants ont une difficulté à « travailler de manière critique leurs positions et pratiques d’oppression » (p. 141). Il construit dès lors l’hypothèse (qu’il va par la suite « démontrer » par un travail d’enquête) que les hommes sont conscients de dominer les femmes. Il y a d’abord les masculinistes heureux, qu’il appelle les tenants du « masculinisme explicite ». WordPress: J'aime chargement…

stop aux violences familiales, conjugales et sexuelles: 2018 À vous toutes et tous, Un vent d’espoir s'est levé en 2017 avec un mouvement inédit de libération de la parole des femmes victimes de violences sexuelles. Que cette nouvelle année nous donne toute l’énergie, la détermination et la puissance nécessaires pour l’amplifier, le concrétiser, et en finir avec le déni, la loi du silence, la culture du viol et l’impunité ! Faisons le vœux d’être de plus en plus nombreuses et nombreux à nous lever contre toutes les formes de violences et de domination, et à nous battre pour un monde meilleur, plus juste et solidaire, un monde à l’endroit, féministe, sans discrimination, respectueux de la dignité et des droits de chacun.e, où les enfants et les personnes les plus vulnérables seront enfin protégé.e.s, où les victimes ne subiront plus abandons, mises en danger, pertes de chance pour leur santé et injustices en cascade. Pour le bureau, Dre Muriel Salmona, présidente de l’association Mémoire Traumatique et Victimologie

Le « neutre » d’une langue sans neutre Genre grammatical et dénomination de la personne Lucy MICHEL, Université de Bourgogne (GreLiSC – EA 4178 CPTC) MaJ 20/10/15 – coquilles. Résumé Le genre grammatical, en langue française, est bipartite : masculin, féminin, et rien d’autre. Abstract The French language only includes two grammatical genders : masculine and feminine. Introduction La langue française, comme toutes les langues romanes (à l’exception du roumain), ne connaît pas le genre grammatical « neutre ». Le premier renvoie à ce que C. Une autre compréhension de la « neutralité » s’est développée en français : elle ne concerne que les noms référant à des animés humains ou anthropomorphisés, dont le sens n’est pas indéfini et qui permettent de désigner des individus singuliers. Notre étude sera principalement centrée, malgré son aspect restrictif, sur cette seconde compréhension du « neutre » (ou plutôt du « masculin-neutre ») et sur toutes les difficultés théoriques et pratiques qu’elle soulève. I. I.1. I.2. II. II.1. II.2.

Pour une lutte queer révolutionnaire en France Par Dawud pour QTR « Les théories queers abordent sans les séparer le genre, les sexualités, le racisme, la colonialité, le génocide, l’esclavage, le post-esclavage et l’exploitation des classes » selon Paola Bacchetta et Jules Falquet (Théories féministes et queers décoloniales : interventions Chicanas et Latinas états-uniennes, Les Cahiers du CEDREF). Ainsi, les enjeux pour les queers racisé.e.s en France sont de repolitiser la lutte queer, une lutte portée par des non-blanc.he.s révolutionnaires, et de se la réapproprier dans le contexte français. L’arrivée du queer dans les années 2000 à Paris Dans les années 2000, les stars queers du milieu mondain parisien ont travaillé à la dépolitisation du queer une fois exporté outre-Atlantique. Comprenons ainsi que ce qui est queer, c’est uniquement ce qui est subversif sur le plan sexuel. Ce queer blanc et bourgeois n’a rien à voir avec le queer américain d’origine, héritier de Stonewall. La confusion entre le queer et le mouvement TPG

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