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Point de basculement dans l’adoption d’idées

Point de basculement dans l’adoption d’idées
Un point de basculement sociologique ou tipping point en anglais est le moment à partir duquel le comportement ou une conviction d’un groupe de personnes finit par être adopté par plus de la moitié de la population. Des chercheurs à l’Institut Polytechnique de Rensselaer aux Etats-Unis ont découvert que le point critique de basculement pour l’adoption d’idées se situait à 10%. Cela veut dire que quand plus de 10% de la population est convaincu qu’une idée est la bonne, l’adoption par la majorité de la société (+ de 50%) se fait en un temps record. Deux bons exemples sont les renversements des gouvernements tunisien et egyptien. Des décennies de dictature sont tombées en quelques semaines. Dans ce cas-ci les réseaux sociaux comme Twitter ont largement contribué à l’accélération des révoltes. Dans le cas contraire, lorsque moins de 10% adopte un comportement ou une idée, l’adoption de masse par au moins 50% de la société ne se fera jamais ou bien seulement après des siècles et des siècles…

http://www.vincentabry.com/des-chercheurs-decouvrent-un-point-de-basculement-dans-ladoption-didees-12568

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Comment devient-on un "mouton" ? Allégorie de l’ascenseur - marketing social - le conformisme Dr. Andrew Moulden nous montre le test de l’ascenseur. Bienvenue dans l’esprit d’un mouton ! Lorsque nous réfléchissons dans notre coin, le comportement de nos dirigeants ou de certains groupes peut sembler irrationnel voir stupide. Les décisions prises paraissent aussi dépourvues de bon sens, contraire à l’intérêt commun ou simplement purement égoïstes.

La Troisième Vague Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Préambule d'avertissement[modifier | modifier le code] Chronologie de l’expérience d’après Ron Jones[modifier | modifier le code] Lundi[modifier | modifier le code] Jones donne une allocution sur la discipline : comment elle est nécessaire aux athlètes, aux artistes, aux scientifiques, et comment, par la maîtrise de soi, elle assure la réussite des projets.

Épidémie de danse de 1518 Selon le récit qui en est généralement fait, l'épidémie aurait commencé en juillet 1518, lorsqu'une femme appelée Frau Troffea commença à danser dans les rues de Strasbourg et ne s'arrêta pas avant quatre ou six jours. D'autres personnes l'imitèrent : à la fin de la semaine, 34 personnes dansaient et, à la fin du mois, 400. Des dizaines d'entre eux n'y auraient pas survécu et auraient succombé à l'épuisement ou à des crises cardiaques. Représentation de l'épidémie de danse Si l'on en croit certaines descriptions, les victimes auraient eu l'air apeurées et désespérées et ne semblaient pas prendre tirer plaisir du fait de danser. Des nobles inquiets auraient demandé conseil à des médecins, qui auraient écarté la possibilité d'une cause astrologique ou surnaturelle à l'épidémie et déclaré qu'elle était due à une « maladie naturelle ».

Le principe de précaution: un principe fondamental totalment maisconnu - Maître muriel bodin Les maires peuvent faire usage de leur pouvoir de police dans un périmètre délimité de leur commune, implicitement au nom du principe de précaution! Mais il faut préalablement l'existence d un risque et une proportionnalité de la mesure. La difficulté avec le principe de précaution, c'est que celui ci suppose la démonstration a priori de l'existence d'un péril imminent et réel. Faute de démonstration alors pas d'application et donc pas d'arrêté légal. La portée et la nature du principe de précaution ont été précisées par des décisions du tribunal de première instance des communautés européennes lors de la l'examen de décision de retrait de médicaments anorexigènes prises par des institutions communautaires, au nom de la protection de la santé.

Expérience de Stanford L’expérience de Stanford (parfois surnommée effet Lucifer) est une étude de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale, ayant eu un très grand écho social et médiatique. Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer que c'était la situation plutôt que la personnalité autoritaire des participants qui était à l'origine de comportements parfois à l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de l'étude.

Mémétique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mémétique utilise le concept de mème, pour étudier les évolutions de la culture avec une approche Darwinienne étendue. Si la génétique se base sur le concept de gène, pour étudier la nature, la mémétique se base sur le concept de mème, pour étudier la culture. On y étudie le comportement des codes et schémas informationnels appelés mèmes, dans leurs milieux physico-chimiques et socio-culturels : l’homme, l’animal, la machine (tout support mémoriel). Portrait du psychopathe intégré dans la société… « Pervers Narcissiques – Manipulateurs Pervers -Portrait du psychopathe- Portrait du psychopathe intégré dans la société Les psychopathes ( comme les pervers narcissiques) semblent avoir en abondance les qualités humaines les plus désirées, mais surtout ( et là c’est différent!!) le calme et la confiance en soi tranquille… Qualité que tout le monde désirerait obtenir et tente d’atteindre grâce aux cours de relaxation et de sophrologie… Le psychopathe n’a pas besoin de relaxation, il est impassible, intouchable, tout au moins en apparence; il ne s’agit pas de le contrarier ou de toucher son égo!!!

Expérience de Milgram Graphique montrant que 65% des sujets de l'expérience infligent des souffrances maximales si on le leur ordonne Reconstitution de l'expérience de Milgram (extrait)[1]. L’expérimentateur (E) amène le sujet (S) à infliger des chocs électriques à un autre participant, l’apprenant (A), qui est en fait un acteur. La majorité des participants continuent à infliger les prétendus chocs jusqu'au maximum prévu (450 V) en dépit des plaintes de l'acteur. L’expérience de Milgram est une expérience de psychologie publiée en 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram[2].

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